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29 novembre 2009

Le piège de la vaccination: Attention poison !

Pour qu'un vaccin soit efficace, il faut lui rajouter des doses de mercure et autres adjuvants pour que soi-disant il fasse effet.

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Vaccins et Adjuvants de l’Immunité ! Vacciner, pourquoi ? - O.G.M. agricoles
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Cela n'empêche que pour certaines catégories de personnes on propose des vaccins sans adjuvants qui mettent un peu plus de temps à faire effet.

Pourquoi courir alors que la santé de la population risque de décliner à plus ou moins long terme  comme le souligne M. avec toutes les saletés que l'on ingurgite quotidiennement et pourquoi en rajouter ?

Plusieurs médecins à tendance homéopathes ont donné  à Fiston des traitements de détoxication contre les métaux lourds.

Beaucoup m'ont demandé quels vaccins lui ont été administrés.

Dernièrement, les ostéopathes m'ont demandé la liste ET la date de vaccination.
Pour eux la vaccination est le facteur aggravant.

Et depuis que l'on fait des recherches sur les métaux lourds et leurs méfaits, sur le conseil de M., j'ai regardé les dates et ce qui, jusqu'à présent, ne m'avait pas sauté aux yeux m'est apparu très clair:

A chaque vaccination, du R.O.R., notamment, il y a eu une poussée de la maladie.

A la première injection, au rappel, suite au vaccin contre l'hépatite B et ses rappels, chaque fois, quatre ou cinq mois après sont apparus des symptômes de fatigue, de pertes musculaires, de déformations des pieds..

Tous ces paliers ont été suivi de périodes de stabilisation.

Mais à chaque dose supplémentaire il y a eu surenchère médicale.
A la première injection avant ses 1 an,  Fiston a arrêté son processus de la marche.
il lui a fallu huit mois supplémentaires pour se lancer tout seul alors qu'il y était presque.
Personne n'a compris ce qui se passait et par la suite cela a été mis sur le compte de la maladie.
Ce qui était bien pratique.

Au rappel, sa kiné m'a fait comprendre qu'il fallait impérativement consulter un spécialiste.
Elle ne pouvait plus contenir à elle seule la rétractation musculaire et la déformation des pieds.

A l'âge de trois, suite à la vaccination contre l'hépatite B
Les pieds de Fiston ont commencé à se rétracter.

Sa kiné, excellente a pu, grâce à l'intensification des séances, les lui redresser avec le port de semelles orthopédiques et remettre lui rallonger les talons sans autre intervention.

Le rappel du R.O.R. à l'âge de huit à signer le début de notre quête médicale.


Le médecin que l'on a consulté sur Paris et qui m'a donné le nom de cette maladie, m'avait bien dit que d'après son expérience mon fils ne devait pas subir d'aggravation.

Elle fait partie du conseil scientifique de CMT-France

La plus-part des membres de la familles n'ont pas développé ou presque.

Alors que c'est-il passé ?

Et c'est ce qu'elle m'a répété lorsque je l'ai rencontrée de nouveau à la journée des familles de l'AFM.

Elle m'a redit ceci:
"Je ne comprends pas, d'après l'histoire familiale, c'est rare qu'il y ait des poussées  d'aggravation aussi fortes."
Elle a rajouté:
" Il y a autre chose c'est obligé"

D'après tout ce que j'ai observé, ce quelque chose ne peut-être que la vaccination.

Et si l'on étudie de près la maladie chez les gamins atteints de cette maladie de l'âge de Fiston ou plus jeune.
L'un de ses petits cousins développe, en plus, une sclérose en plaque.

Sa mère m'a fait lire le compte-rendu médical.
Et il y était bien fait mention de cette maladie supplémentaire.

De quoi me faire dresser les cheveux sur la tête.

Et cela expliquerait les migraines violente dont ils souffrent tous.
Les miennes aussi avec ma bouche bien plombée..

J'ai vu qu'il y avait un rappel conseillé de je ne sais quoi..
Mais j'ai officiellement perdu le carnet de santé sauf pour prouver la concordance des dates.
Rigoureusement perdu.
STOP, on ne touche plus à mon gamin et leur vaccin de la grippe peut toujours attendre, il ne passera plus par nous.

Si l'on doit y passer et soit..

Mais stop à l'empoisonnement pour remplir les poches des labos pour qui la valeur humaine n'est que de la valeur ajoutée en bourse. 
Comme le prouve ce site, c'est édifiant:

Et ceux-là également sur la nocivité des vaccins:


Effets secondaires du R.O.R.

Ils ne sont pas rares, contrairement aux idées reçues et sont recensés dans une banque de données (Belgian university System). Ils sont cités par le Pr R. Mendelsohn (USA), dans sa revue "People's doctor" de novembre 1984, ainsi que dans "The truth about immunizations" d'avril 1978.


I) Réactions neurologiques:


43% des cas présentent les premiers symptômes dans les 72 heures. Les localisations sont fréquemment les membres ou les nerfs crâniens.

Névrite péribracchiale, pouvant conduire à une paralysie du bras: apparition d'une faiblesse dans le membre, dans un délai de 6 à 21 jours après l'injection de l'anatoxine (4 cas).

Neuropathie périphérique. [Reinstein L, and al, "Peripheal neuropathy after multiple tetanus toxoïd injections", Arch.Phys. MedRehabil., vol.63, n7, p.332, 10/1982].

Névrite périphérique.
["Unusual reactions to tetanus toxoïd" JAMA, vol 199, p. 125, 1967]

Paralysie motrice et sensorielle du nerf radial
droit (étudiant de 23 ans).

Atteinte du système nerveux généralisée
: injection du vaccin dans le bras gauche, chez une femme de 36 ans, blessée au doigt; apparition au 5ème jour, d'une faiblesse du bras droit, puis du gauche, des deux jambes, associés à des vertiges, une instabilité (titubait en marchant et ne pouvait faire plus de quelques pas), une léthargie, des malaises, une difficulté pour avaler et pour parler (paroles inarticulées). EEG perturbé. Après une hospitalisation d'un mois, les troubles nerveux ont régressé, et la jeune femme a pu rentré chez elle. Mais la faiblesse a persisté, ainsi que l'angoisse. Les examens pratiqués dans l'année qui a suivi, ont montré une instabilité émotionnelle prolongée et quelques paresthésies (engourdissement, fourmillement) dans les extrémités. Le diagnostic posé fût:" névropathie avec atteinte des nerfs crâniens, myélopathie et encéphalopathie". [Semaine des Hôpitaux de Paris, vol 53, n36, p. 1965, octobre 1978]

Paralysie du nerf laryngé récurrent
(nerf commandant les cordes voccales): le patient était atteint d'enrouement, et incapable de parler à haute voix; l'atteinte disparut au bout de deux mois. [Revue Médicale Allemande, 1969]. [Eicher W.and al, "Paralysis of the récurrent laryngeal nerve foffowing a booster injection of tetanus toxoïd", Munch. Meti Wochenstr., vol. 111, n°34, p. 1692, 12/1992].

Syndrome de Landry:
développement rapide de paralysies extensives bilatérales et symétriques selon un mode ascendant débutant aux membres inférieurs et frappant ensuite l'ensemble de la musculature striée.

Syndrome de Guillain et Barré
: polyradiculonévrite aigüe, c'est à dire, atteinte ascendate, étendue et habituellement symétrique, du système nerveux périphérique rachidien (racines et nerfs), s'accompagnant fréquemment d'une atteinte des nerfs crâniens. [New.S.MecLJ (Nouvelle-Zélande) vol 94, n°695, p.359, 11/11/1981.] [Dev. Biol. Stand. (Suisse), vol 43, p.25, 1979].

Paralysie faciale a frigore apparue, deux jours après la vaccination, et du côté de l'injection de l'anatoxine. [Concours Médical, vol. 104, n29, 1982].

Paralysies.
(Harrer-G and al., "Paralysis following tetanus toxoïd booster inoculation",Wien. Med Wochenschr, vol. 121, n°l5, p.296, 8/1971)

Encéphalite

Hémiplégie

Sclérose latérale amyotrophique
, apparue après séro-vaccination antitétanique. [Pr Mande, Concours Médical, 3/12 1977].

Sclérose en plaques. Cas personnel: Mr C. fait une première poussée de Sclérose en Plaques (SEP) en 1989. Le patient retrouve son état neurologique normal en septembre 89. En mai 1993, le patient reçoit un rappel antitétanique. En juin 93, soit dans le mois qui a suivi l'injection, deuxième poussée de SEP, alors qu'il était en rémission depuis 3 ans 3/4. Cette nouvelle poussée a été plus sévère, et moins régressive que la précédente, puisqu'en mai 94, le patient en garde toujours des séquelles.

Tensions intracrâniennes
(USA). [Am.JDix.Child., vol. 133, n°2, p.217, 2/1979.]

Autres références bibliographiques:
[Tsairis P. and al, "Natural history of brachial plexus neuropathy: report on 99 patients", Arch.Neurol., vol.27, p. 109, 1972. "Adverse events associated with childhood vaccines: evidence bearing on causality", Institute of medicine, Washington D. C. National Academy Press, 1994, références citées dans JAM4, vol. 276, n°23, p. 1869, 1996].

JNeur.Sci., vol.37, n°1/2, p. 113, 6/1978.
Munch.Med Wochenschr., vol. 107, n°45, p.2258, 5/11/1965.
Pediatriia (Russe)., vol.47, n°l1, p. 19, 11/1968.
Brit.Med.J., vol.4, n°575, p.320, 11/11/1967.
Psychiatr.Neur.MecLPsychoi. (Leipzig), vol.26, n°1l, p.685, 1974.
Arch.Dis.Child., vol.48, n°10, p.829, 10/1973.
JNeurol., vol.222, n°2, p. 131, 1979.
Med Well, vol. 29, n°44, p. 131, 3/11/1978.


II) Réactions allergiques et d'hypersensivité:


-Hypersensitivité à la toxine tétanique, Journal of Allergy and Clinical Immunology, 1973.
-Réactions cliniques à la toxine tétanique, Compte rendu du 2ème congrès international sur la tétanos, de Hans Huber, Beme, Suisse, 1967.
-Allergie induite par l'immunisation à la toxine tétanique, JAMA, 1940.
-Allergie à l'anatoxine tétanique: la survenue de réactions indésirables plus fréquentes encore après des rappels, a été rapportée très officiellement par de nombreux auteurs. [Annales de l'Institut Pasteur, vol. 120, p. 791, 1991, avec des articles de Bizini, Turpin, Raynaud (Ref de JAUA, Néw England, J of Med., British Med J.)].
-Anaphylaxie suivant l'administration de la toxine tétanique, British Médical Journal, 1940.
-Chocs anaphylactiques: nombreuses publications dans la littérature médicale.
Quelques exemples:
3 semaines après sa primovaccination, une femme est atteinte d'une rigidité brutale, suivie d'une urticaire sévère avec irritation intense de l'épiderme. Malgré ces symptômes, un rappel fut fait 6 semaines plus tard. La patiente s'est écroulée 5 minutes après l'injection. [CunninghaM "Anaphylaxis after injection of tetanus toxoïd", Brit. Med J., p. 522, 1940].

Garçon de 14 ans égratigné en jouant avec un chien; le propriétaire de l'animal exigea que l'enfant soit vacciné: celui-ci en mourut 5 minutes après [Pr W. Spann, Médical Tribune, n°l9, p - 10, 1986].
Un patient allemand fait un choc anaphylactique 8 heures après sa 2ème injection; la 3 ème injection faite 6 mois plus tard entrainera sa mort par choc anaphylactique, 2 heures après l'injection.
Un médecin allemand de 44 ans, est mort 30 minutes après un rappel antitétanique.
Une femme de 24 ans est morte 30 minutes après son rappel antitétanique.
Un homme de 34 ans fut victime d'un choc très grave, accompagné d'un syndrome de Lyell (la peau se décolle par lambeaux), et de courbatures.
[Ces 4 derniers cas ont été publiés par le Dr Kris Gaublomme, the International Vaccination IVewsletter, p. 10, sept 1996].
[Zaloga G. and al, "Life threatening anaphylactic reaction to tetanus toxoïd", Ann.Allergy, voi.49, n°2, p. 107, 8/1982].
[Ehrengut W. and al, "Anaphylactic reaction following injection of tetanus toxdid", Dtsch.Med Wochenschr., vol.98, n10, p.517, 3/1973].


[Staak M; and al, "Choc anaphylactique après anatoxine", Dtsch.Med.Wochenschr., vol.98, n°3, p. 110, 1/1973; et vol.98, n°13, p.682, 3/1973].
["Choc anaphylactique suivi d'un arrêt de l'ovulation", Med.Trial tech., vol. 13, n°2, p.87, 12/1987].

Autres manifestations allergiques:
-Urticaire accompagné de vertiges, de difficultés respiratoires, survenus dans les 2 heures après la vaccination ["Unusual réactions to tetanus toxoïd" JAMA, vol 199, p. 125, 1967].
-Oedème des lèvres, des paupières, asthme, maladie sérique
, [Dr Kris Gaublomme, the International Vaccination Newsletter, p. 10, sept 1996].

Fiston a été diagnostiqué comme étant en déficit de fer.


Effets secondaires du vaccin contre l'hépatite B. 

MERCURE dans les vaccins:

Le Merthiolate, un dérivé organique du mercure utilisé comme agent conservateur, est considéré comme l’un des déclencheurs potentiels dedésordres neurologiques tels l’ autisme, les troubles déficitaires de l’attention avec hyperactivité (THADA), et les troubles du développement du langage.
En Suisse, d’après l’Office fédéral des assurances sociales, les cas d’autisme notifiés ont augmenté de 91% chez les garçons et de 67% chez les filles de 1993 à 2003.
Et selon des statistiques californiennes, le nombre d’enfants autistes s’élevait à 20 377 en 2002, soit une augmentation de 634% par rapport à 1987.
En raison de la multiplication des vaccins contenant du thiomersal administrés pendant cette même période aux Etats-Unis, certains soupçons se sont portés sur l’existence d’un lien de causalité entre cette substance et l’autisme.

http://www.swissmedic.ch/files/pdf/Merkblatt_Konservierungsmittel_in_Impfstoffen%20F.pdf

Source.

A lire aussi:


Tout élément infectieux pénétrant dans un organisme vivant, a fortiori ensuite dans une cellule, possède un arsenal d’invasion, majoritairement sur sa surface puisque c’est cette surface qui est aux premières loges du contact. Ces éléments de surface sont l’objet, en réaction, de la synthèse des anticorps par l’organisme. Ces derniers vont amarrer l’agent infectieux à une cellule ou à des protéines, afin de l’absorber et de le digérer. Si l’organisme gagne le combat, alors il persiste, en règle mais pas toujours, des anticorps dits mémoire qui anticiperont la réinfection par le même type d’agent. C’est ce principe, louable, qui a été mis en place dans la vaccination. Dans certains cas, les vaccinations font mieux que la nature, en apparence du moins, puisque les anticorps rémanent plus longtemps. Pour immuniser artificiellement, on choisit soit un élément dit vivant proche de l’agent infectieux, soit une soupe de particules obtenues par lysat cellulaire, soit des éléments spécifiques à l’agent infectieux, obtenus, en principe, par méthode OGM.
Parmi ces éléments doivent figurer des protéines de surface car seuls les anticorps contre la surface sont neutralisants. Jusque là, pas de problème…. sauf qu’il n’a pas été tenu compte d’une première particularité, à savoir le rôle des éléments de surface des agents infectieux.



Et bizarrement, le médecin traitant de Fiston m'a déconseillé de le faire vacciner contre
la grippe H1N1.