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14 novembre 2008

Blog catalogué "indésirable"

En cliquant de matin sur le blog de "Une Autre Vie", je suis surprised eocnstater que le blog de mes amis est catalogue comme blog indésirable.
Ce monde virtuel est décidément pavé d'intentions bizarres...
Avec eux, je croise les doigts pour que l'erreur soit vite reconnue...

Steph et Mimile soyez assurés de tout mon soutien..

13 novembre 2008

La République des Blogs, 7eme Edition

)7( Edition de la République des Blogs Toulouse

La 7ème édition de la République des blogs de Toulouse aura lieu le vendredi 28 novembre 2008. Monsieur Poireau s'en va dans le plat pays réveiller les blogueurs politiques, nous lui souhaitons du courage pour rassembler ceux qui l'avaient commencée. Nous le regretterons dans nos débats houleux, mais espérons qu'il reviendra nous revoir sur Toulouse...

Philippe auteur du blog Vu de Droite , l'intrépide globe trotter entrepreneur nous rejoindra dans la gestion de la co-organisation...Le sujet sera ouvert, on y échangera entre autres nos avis sur Le Congrès de Reims et sur les Elections américaines, la mondialisation, la crise fiancière, autant de sujets que nous pouvons développer à votre guise.

Inscrivez vous dans les commentaires et/ou sur le Wiki de la République des Blogs que nous puissions vous comptabiliser et organiser cette soirée avec notre partenaire Le Ferdillon.

12 novembre 2008

De la violence en Institution toujours.: Texte donné dans les sessions de formations

VIOLENCE, J'ECRIS TON NOM

MOI, LE MALADE...


- lorsque je suis considéré comme un cas interessant, comme un numéro, comme une pathologie ou comme un organe, et que mon intimité, ma dignité sont bafoués. Objet d'actes techniques effectués par des soignants dont les mains, parfois, sont le prolongement d'un corps non présent dans " l'ici et maintenant " ; des soignants qui, tout à leur dialogue intérieur ou extériorisé, ne perçoivent pas les signaux de mon corps douloureux ;

- lorsqu'à la phase terminale d'une pathologie incurable, je dois subir la volonté de ceux qui ont décidé de m'infliger des investigations et des traitements relevant de l'acharnement ;

- lorque je ne suis pas reconnu en tant que personne et que je doive vivre mes derniers jours dans le non-respect de ma culture, de mon histoire, de mes idées, de mes valeurs, de mes priorités ;

- lorsque je suis manipulé avec des gestes sans bienveillance ou blessé par des paroles maladroites ; lorsque je suis humilié, infantilisé, brimé, jugé par du personnel peu motivé ou qui ne peut pas supporter l'image que je lui renvoie : ne suis-je pas quelquefois un exutoire au mal-être personnel ou professionnel de ceux qui sont sensés prendre soin de moi ?

- lorsqu'un visiteur ou un soignant pénètre dans ma "bulle" brutalement, sans délicatesse, sans compassion, sans m'avoir prévenu ou sans y avoir été autorisé;

- lorsque j'ai besoin d'exprimer mes interrogations, mon angoisse, mes doutes, ma révolte, ma douleur, ma souffrance, et qu'en réponse je reçois banalités, humour, digression ou dérision ; lorsque le medecin évite ma chambre ou mon regard, qu'il reste sur le pas de la porte ou sur ses gardes parce qu'il ne peut pas me guérir ou qu'il est démuni, désemparé ;

- lorsqu'on me cache la vérité que je voudrais connaitre ou lorsqu'on m'impose celle que je ne suis pas prêt à entendre ; lorsque les paroles, les discours sont de couleur blanche tandis que tout ce qui appartient au registre de la communication non verbale est de couleur noire ;

- lorsqu'au seuil de la mort je reste seul avec ma peur, ma colere, mes regrets, mon ressentiment, mes émotions et mes désirs non entendus : ni un parent, ni un ami, ni un soignant, ni un bénévole pour me permettre de cheminer à mon rythme jusqu'à mon dernier soupir ;

MOI, LE MALADE,
qui suis entrain de vivre ma mort, ma sensibilité est perméable à tout ce qui émane de vous ; je perçois la violence dans le mensonge, dans la discrimination, dans l'incohérence, dans l'indifférence, dans l'abandon.

VIOLENCE, JE CRIE TON NOM
Et dans cet espace intérieur ainsi libéré, si je suis soulagé de tous mes maux, je pourrai recevoir les bienfaits d'une authentique rencontre dans la réalité qui est la mienne, une relation de soin unique, alliance de deux consciences... Une utopie ? un espoir ? un privilege ? un acte de solidarité ? un acte d'amour ? un cadeau ?


<< Ce texte est distribué dans les instituts de formation . mais personne n'en tient compte. Je l'ai constaté à mes dépends dans un tel institut. Organisme qui a pignon sur rue et est partie prenante avec l'anpe pour la formation des personnels...Mais l'hypocrisie va jusqu'à vous obliger à vous nier en niant la personne résidente..
Que ce soit l'institut de formation avec lequel je me suis battue, ma formatrice elle-même qui s'est permis du chantage et du harcèlement moral pour me faire taire ou bien le personnel de la maison de retraite, jusqu'aux stagiaires...
Tais-toi ou tu n'auras pas ta validation de stage.. que j'ai obtenu pour ces mêmes raisons n'en déplaise à ces stagiaires, mais je m'en fichais. Je préfère quitter un emploi plutôt que de me rendre complice d'un quelconque acte malveillant de ma part..
Partout où je suis passée j'ai toujours dénoncé. C'est une question d'éthique..POINT FINAL !
Certes on m'a cataloguée d'instable.. Pas drôle, le chômage mais encore moins drôle de participer à cela:


Cette expérience montre à quel point nous avons le cerveau lavé et délavé..>>
La maltraitance
Il existe différentes formes de maltraitance : psychologiques (humiliations, infantilisation…) verbales (insultes, menaces…), physiques (brutalités, privations, violences sexuelles…), financières (spoliation d'argent ou de biens…), médicamenteuses (non respect des doses prescrites…), civiques (atteintes aux droits des personnes…), structurelles (locaux, mobiliers inadaptés...). Tout ces comportements traduisent une volonté de prendre l'ascendant sur l'autre, un mépris de sa personne et une atteinte à sa dignité.
Mise en œuvre d’une politique de prévention et de lutte contre la maltraitance en institution
Pour lutter contre les maltraitances institutionnelles des enquêtes "préventives" pour repérer les risques de maltraitance et identifier les situations de violence sont diligentées par les DDASS sur la base d'un programme pluriannuel de contrôle des établissements. Des inspections inopinées sont également réalisées sur la base des informations, signalements et plaintes reçus.
Le signalement d'un acte ou d'une suspicion de maltraitance est un devoir citoyen et une obligation légale.
Suspicion : A qui en parler ?
- maltraitance sur enfants
numéro de téléphone 119 (appel gratuit)
ou le 0800 559 557 (Minitel dialogue pour les déficients auditifs)
plus d'info.
Somme Espace des Droits de l'Enfant : 03 22 97 22 97 (appel payant)

- maltraitance sur personnes âgées :
ALMA – "Allô maltraitance personnes âgées "
Numéro national 24 h / 24 h : 08.92.68.01.18 (appel payant).
Antenne locale dans l'Aisne : 03 23 20 30 41 (le lundi de 14h 30 à 17h)
plus d'info

Témoins, victimes : alerter les autorités administratives ou judiciaires
- autorités judiciaires : police, gendarmerie ou procureur de la république
- autorités administratives :
DDASS du département dans lequel sont constatées les violences.

 

11 novembre 2008

Vive Gaêl et Vive Boris Vian..

Images d'Epinal  revues et corrigées par Vian.



Mais, avant tout , faisons de la prévention
Car, c'est dangereux pour les soldats de l'ombre. 




Aller un peu de devoir de mémoire.

Mais on en fait trop paraît-il, qui cela dérange -t'il ?

10 novembre 2008

La pêche à la souris

Impossible de faire  bouger ma souris hier, j'ai fini par donner la langue au chat qui m'en a retrouvé une autre pour ne pas s'ennuyer..




09 novembre 2008

Bloguer ou ne pas bloguer...

Combien de fois, il m'est arrivé de me dire:
" Je ferme ce blog!"

Si peu convaincue que je suis de son utilité. Du temps passé à copier-coller, la majeure partie de mon activité.

Pour le reste de mes réflexions, je ne trouve pas actuellement l'énergie pour développer , du moins par écrit. Aussi vite qu'aille ma capacité de frappe par rapport à l'écriture manuscrite, s'entend, ça me prend un temps fou..
Du temps que j'ai mis en oeuvre pour représenter Fiston dans toutes les instances où cela est possible. Je passe mon temps à réfléchir sur son avenir et sur:
"Comment aider un gamin qui a, indéniablement de grandes capacités intellectuelles - que certains disent de surdoué mais que je nomme simplement intelligence - comment donc aider ce gamin à ne pas sombrer et ne pas finir dégouté de tout avenir scolaire et studieux?"

Dans cette société où le regard de l'autre fait notre bonheur ou notre  malheur, il ne fait pas bon être là où nulle part commence.

Il ne fait pas bon être trop différent.
Je me répète, je le sais.

Comme me disait avant-hier, le représentant de l'Association Française Contre les Myopathies, nous ne sommes pas des parents "traditionnels", en tout cas je ne sens pas dans la peau d'une mère traditionnelle.

Bien consciente pourtant des enjeux, de TOUS les enjeux que représentent la façon dont je procède.
Dans mon cas, certains parents diraient:
"Aller Fiston, en cours et bouche-toi les yeux et les oreilles"

Ce que je dis  aussi mais avec une nuance:
"J'exige le respect de l'élève, ce qui dans le monde de l'Education Nationale est une injure!"

Certains élèves souffrent de l'indifférence des adultes jusqu'à en devenir barbares eux-même et s'abîmer dans un conformisme dont ils sortiront peut-être un jour par la porte de sortie qui leur conviendra.


Certains vont jusqu'au suicide social, intellectuel, psychologique et physique...Le jour où leur vie d'adolescent ou d'adulte ne peut plus être vécu sur ce mode "choisi-imposé".

Ou bien développent des maladies graves et incurables.
On aura beau me dire que j'expose Fiston dans ce carcan d'hyper-protection, mais donner la vie n'est-ce pas déjà exposer l'enfant à tous les dangers...

Et c'est bien de cela dont je veux parler sur ce blog.
Mais souvent le regard que je ne retrouve que glissant, découragé peut-être par un domaine si difficile à ressentir, par toutes ces choses qui échappent parce que ce n'est pas simple à imaginer.

A se demander qui cela intéresse que des enfants soient maltraités à cause de leur handicap, de leur différences intellectuelles (hautes ou basses), et là je désigne tous ces enfants, adolescents que je connais, que j'ai rencontrés et qui vivent sous le regard indifférent d'une société qui rejette ce qui lui ressemble trop dans le difforme.

Parfois, ce monde superficiel du blogage me déçoit, me rebute...et parfois, l'envie de fermer boutique me prends et me poursuit.. Le virtuel n'est-il que trop virtuel et donc superficiel ??

Mais M veille et continue de m'encourager. Et son rôle est prépondérant.
En aparté, elle m'a encore montré le chemin et encouragée à continuer.

Alors parfois, un mot, un signe me fait écrire encore..

Le mot de la Fin ?

Merci à toi M.