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15 février 2008

La protection des sources des journalistes.

Bientôt une loi sur la protection des sources des journalistes
Challenges.fr | 15.02.2008 | 10:24 | Réagir à l'article

Le texte interdira toute mesure coercitive telle qu'une perquisition dans une entreprise de presse ou au domicile d'un journaliste, sauf dans certains cas graves.

 (c) Reuters

Un projet de loi qui va renforcer le droit des journalistes à protéger leurs sources va être prochainement transmis au Conseil d'Etat pour avis, avant une présentation au Parlement prévue au printemps, a annoncé jeudi 14 février le cabinet de la ministre de la Justice, Rachida Dati.
Ce texte, en consacrant dans la loi la protection des sources, interdira par voie de conséquence toute mesure coercitive telle qu'une perquisition dans une entreprise de presse ou au domicile d'un journaliste, sauf dans certains cas particulièrement graves concernant des affaires de terrorisme ou de grande criminalité.
Dans ces cas, la saisie de documents ou les mesures pouvant permettre d'accéder aux sources des journalistes seront soumises à un juge des libertés, au cas par cas, sur le modèle du régime régissant par exemple la profession d'avocat, a expliqué le porte-parole de la place Vendôme Guillaume Didier.

source et suite.

Méditation

La qualité n'est jamais un accident; c'est toujours le résultat d'un effort intelligent.
Ruskin, John

14 février 2008

Au Lecteur


La sottise, l'erreur, le péche, la lésine,
Occupent nos esprits et travaillent nos corps,
Et nous alimentons nos aimables remords,
Comme les mendiants nourrissent leur vermine.

Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches;
Nous nous faisons payer grassement nos aveux,
Et nous rentrons gaiement dans le chemin bourbeux,
Croyant par de vils pleurs laver toutes nos taches.

Sur l'oreiller du mal c'est Satan Trismégiste
Qui berce longuement notre esprit enchanté,
Et le riche métal de notre volonté
Est tout vaporisé par ce savant chimiste.

C'est le Diable qui tient les fils qui nous remuent.
Aux objets répugnants nous trouvons des appas;
Chaque jour vers l'Enfer nous descendons d'un pas,
Sans horreur, à travers des ténèbres qui puent.

Ainsi qu'un débauché pauvre qui baise et mange
Le sein martyrisé d'une antique catin,
Nous volons au passage un plaisir clandestin
Que nous pressons bien fort comme une vieille orange.

Serré, fourmillant comme un million d'helminthes,
Dans nos cerveaux ribote un peuple de démons,
Et quand nous respirons, la Mort dans nos poumons
Descend, fleuve invisible, avec de sourdes plaintes.

Si le viol, le poison, le poignard, l'incendie,
N'ont pas encore brodé de leurs plaisants dessins
Le canevas banal de nos piteux destins,
C'est que notre âme, hélas! n'est pas assez hardie.

Mais parmi les chacals, les panthères, les lices,
Les singes, les scorpions, les vautours, les serpents,
Les monstres glapissants, hurlants, grognants, rampants,
Dans la ménagerie infâme de nos vices,

Il en est un plus laid, plus méchant, plus immonde!
Quoiqu'il ne pousse ni grands gestes, ni grands cris,
Il ferait volontiers de la terre un débris
Et dans un bâillement avalerait le monde.

C'est l'Ennui!- L'oeil chargé d'un pleur involontaire,
Il rêve d'échafauds en fumant son houka.
Tu le connais, lecteur, ce monstre délicat,
Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère!

Charles Baudelaire

Sarkozy nous voilà!


Sarkozy nous Voila !

source: encore Lui, mais qu'est-ce qu'on rigole aussi.

Sue site de "Que Choisir"

Plaintes

Les télécoms dans le rouge


Selon les services de la DGCCRF, les fournisseurs d'accès à Internet et les opérateurs de téléphonie arrivent toujours largement en tête des plaintes des consommateurs. Pour avoir une idée plus précise du nombre de récriminations, un nouveau baromètre sera publié tous les 6 mois.






Les années se suivent et se ressemblent. En 2007, les professionnels des télécommunications remportent une fois de plus haut la main la palme du secteur le plus décrié par les consommateurs. Environ un tiers des récriminations adressées aux services de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) concernent un fournisseur d'accès à Internet ou un opérateur de téléphonie. Les défaillances techniques et les demandes de résiliation non prises en compte restent les motifs d'insatisfaction les plus fréquents, mais les problèmes de facturation et les abonnements forcés ont fait un bond (+30 % entre le 3e et le 4e trimestre 2007 !). Les sociétés de vente à distance, parmi lesquelles de plus en plus de cybermarchands, sont aussi dans le collimateur des consommateurs, tout comme l'automobile et les services à la personne.

Au final, la DGCCRF a recensé 109 000 plaintes en 2007 contre 75 000 l'année précédente, une hausse impressionnante de 46 % qu'il convient de relativiser un peu. Car entre 2006 et 2007, la méthode de calcul a changé. En juillet dernier, la DGCCRF a mis en place un nouvel outil destiné à mieux recenser les plaintes reçues par les services départementaux de la répression des fraudes, qu'elles aient été reçues par courrier, par courriel, par téléphone ou aux guichets d'accueil du public.

En présentant ces résultats, hier mercredi, le ministre de la Consommation a promis qu'un baromètre des plaintes serait désormais publié tous les 6 mois et servirait à prendre des mesures destinées à renforcer le droit des consommateurs. Luc Châtel a également annoncé qu'il allait convoquer dans les jours qui viennent les représentants d'une société engendrant à elle seule 5 % des plaintes (sans donner son nom) et que les 10 sociétés les plus génératrices de litiges (20 % du total des plaintes) allaient être rappelées à l'ordre.

Ce n'est pas trop tôt. Même si les précédents chiffres n'étaient pas aussi fiables, cela fait plusieurs années que la DGCCRF constate une augmentation récurrente des plaintes liées au secteur des télécommunications. Le ministre aurait pu aussi s'appuyer sur les chiffres que d'autres organismes publient régulièrement. Les plaintes reçues à la fédération UFC-Que Choisir, par exemple, ont augmenté d'environ 13 % en 2007 avec, là aussi, une nette prédominance des FAI et des opérateurs de téléphonie.



Cyril Brosset

13 février 2008

Sur le site de Psychologie Magazine

DOSSIER : PARENTS :
AIMER ET PUNIR

Marcel Rufo, pédopsychiatre : « Les ados ont horreur des positions tièdes »
De nombreux parents craignent, en étant trop sévères, de se sentir moins aimés par leurs enfants. Bien vécue, l’autorité est, au contraire, un acte d’amour qui renforce la relation.

Propos recueillis par Erik Pigani

Pédopsychiatre à l’hôpital Sainte-Marguerite, à Marseille, conférencier apprécié et auteur doué d’un talent pédagogique inné, il est considéré comme l’un des meilleurs spécialistes de l’enfant et de l’adolescent.

Psychologies : Les parents vous consultent-ils parce qu’ils rencontrent des problèmes d’autorité ?
Marcel Rufo : Leur demande n’est jamais clairement définie, mais elle est presque toujours sous-jacente puisqu’ils ont besoin d’une "autorité" tierce pour résoudre leurs problèmes ! Les parents sont aujourd’hui très informés sur le développement de l’enfant et ils ont fait beaucoup de progrès en matière d’éducation. En revanche, ils s’effondrent sur des choses toutes simples. Beaucoup, par exemple, sont en faillite de « oui » et de «non>>

Pourquoi ?
Parce qu’ils ne savent plus montrer ce qu’ils veulent à leurs enfants. Prenons l’exemple des pères divorcés. Ils deviennent de plus en plus des "papas Club Med", des sortes de copains de jeu qui font tout pour plaire à leur enfant. Leur peur est que, en adoptant la moindre attitude autoritaire, ils ne soient plus aimés. C’est totalement faux, et dramatique.

Les pères qui reçoivent leurs enfants le week-end doivent réapprendre à dire non, à poser des limites, à expliquer qu’ils sont fatigués parce qu’ils ont travaillé toute la semaine… Ils ne seront pas moins père parce qu’ils s’opposent parfois aux exigences des enfants ! Bien au contraire : plus l’adulte montre ce qu’il espère réellement, plus la relation est claire.

Que répondez-vous à un parent quand il vous demande s’il doit être autoritaire ?
« Oui. » Mais avec des nuances. L’autorité est un élan physique, un système de pensée immédiat, non "secondarisé", sans avant-coup, ni après-coup. C’est être dans l’instant présent avec soi-même et poser une limite, un interdit, une obligation ou une loi. C’est donc se permettre de rétorquer, quand il le faut : « Maintenant, ça suffit, et c’est comme ça » ou « Fais ce que je dis, point final. » C’est ce que je fais parfois dans mes consultations avec certains enfants. Cette prise de position clôt ainsi toute interprétation.

Malheureusement, dans notre société, on a très peu conscience de l’importance de cette notion "d’instant présent".

Notion qui est, en revanche, très présente dans certaines philosophies orientales...

En effet. Chez nous, on passe trop de temps à analyser, à décortiquer, au lieu de vivre la réalité comme elle se présente. La véritable autorité est un instant de vie qui n’a pas à être justifié. Paradoxalement, ce moment où tout semble s’arrêter peut être une véritable plate-forme d’échange. Elle peut relancer une communication qui risque de se distordre ou de s’échapper. Bien vécue, elle est une nouvelle chance pour la relation parents-enfants. Pour moi, c’est une "soupape de conflits".

Et avec les adolescents ?
Les ados ont besoin de conflits bien réels. Plus encore que les jeunes enfants, dès l’entrée en sixième, il faut leur dire, avec la plus grande assurance possible, « oui » ou « non ». Jamais « peut-être » : ils ont horreur des positions tièdes. Si vous adoptez une attitude floue, ils ne sauront pas quoi penser de vous ni d’eux-mêmes. Face à un ado, il suffit de rester soi-même. Quitte à ce qu’il vous déteste pour avoir posé tel ou tel interdit.

Mais attention ! Je ne veux pas que mes idées cautionnent une attitude militaire et transforment une famille en caserne. Je ne dis pas : « Autorité un jour, autorité toujours. » C’est une conduite qui doit s’exercer à un moment déterminé pour poser une limite, faire un choix ou répondre à une exigence.

Quelle est la part de l’amour dans l’autorité ?
Si l’amour fait partie de la vie tout entière, un acte d’autorité est aussi un acte d’amour. Vous pouvez expliquer à votre enfant que si vous faites un choix à sa place, c’est parce que vous avez confiance en lui, et que vous vous occupez de lui. Il le comprendra très vite. La pire attitude que l’on peut avoir face à un enfant, c’est le mépris. Là, il saura immédiatement qu’il n’est pas aimé.

L’autorité peut-elle être partagée par d’autres membres de la famille ?
Oui. Avec les grands-parents, par exemple, qui ont repris une place très importante dans l’éducation des enfants depuis que les mères travaillent. L’autorité peut se répartir dans la famille parce que c’est une loi spécifiquement intra-familiale, plus intime, plus malléable et, même si cela paraît paradoxal, plus conviviale…

A LIRE :
De Marcel Rufo
• “Œdipe toi-même !”
Un éclairage nouveau sur l’éducation, l’autisme, le développement psychique (Anne Carrière, 2000).

• “Comprendre l’adolescent”
Analyse et décodage des ados dans la vie quotidienne. Ecrit en collaboration avec Christine Schilte (Hachette pratique, 2000).

source

A Toulouse

Les handicapés de Toulouse se rappellent au bon souvenir du candidat Sarkozy

Sous le titre “Pauvres et soumlmis, ça suffit !”, les handicapés toulousains et leur famille se retrouveront jeudi 14 février à 15 heures, place Saint-Etienne à Toulouse pour remettre chacun au préfet un chèque de 6,85 euros à l'ordre de Nicolas Sarkozy.

Soit le mirifique montant de l'augmentation mensuelle de 1,1% accordée au 1° janvier 2008 au titre de l'Allocation Adultes Handicapés.

C'est un retour à l'envoyeur: «Nous n'acceptons pas l'aumône qui nous est faite», protestent les organisateurs.

Cette remise de chèques sera accompagnée d'une lettre ouverte au Président de la République dénonçant le peu de considération qu'il aurait envers les personnes en situation de handicap.

Ce sont les “Folles de Mai” Argentines qui ont inspiré les handicapés toulousains : chaque 14 de tous les mois prochains, ils viendront déposer leur chèque jusqu'à ce que satisfaction leur soit donnée.

Ils ne sont pas très exigeants : les manifestants handicapés de l'Association des paralysés de France (APF) et Act-Up demandent «au moins» le respect des engagements du candidat Sarkozy :

«Les personnes handicapées doivent pouvoir vivre décemment, ce qui est actuellement impossible avec une allocation adulte handicapé (AAH) de 621 euros. Il n'est pas acceptable que le montant de l'AAH n'atteigne même pas le seuil de pauvreté de 788 euros. Plus de 700.000 personnes sont concernées. Afin de remédier à cette situation, je propose de revaloriser l'AAH de 25%»,
a précisément déclaré Nicolas Sarkozy alors qu'il était en campagne présidentielle.

Avec cinquante autres associations, les handicapés seront en manifestation le 29 mars à Paris pour lui rappeler ses généreux propos.

Le montant mensuel de l'Allocation est pour l'heure inchangé à 628,10 euros. Le seuil de pauvreté étant fixé à 817 euros. Les Paralysés de France persistent à demander un revenu d'existence égal au SMIC brut. «Nous en sommes bien loin», fait observer Yannick, un de leur porte-parole.

C'est la montée d'un cran: les handicapés ne protestent plus. Ils manifestent.

GLv.

12 février 2008

Message d'Olivier Bonnet trouvé chez fanette

Olivier Bonnet : La grande manipulation. Dénonciation d'une imposture

source

La grande manipulation. Dénonciation d'une imposture

A faire circuler dans vos blogs et carnets d'adresses ! Merci !

Message d'Olivier Bonnet

Chers lecteurs, chers camarades, chers amis,

Pardon d'avance pour l'impudeur de cette confession mais je suis au regret de vous informer que je suis aujourd'hui dans une situation catastrophique. Licencié il y a quelques années par le groupe de presse auquel j'appartenais, quand il a déposé le bilan, je ne vis que des piges que je parviens à vendre. Ces derniers mois, à la suite de la revente de titres qui m'employaient, j'ai perdu mes moyens de subsistance et ne touche plus aujourd'hui que 250 à 300 euros par mois (deux pages pour un magazine de la presse professionnelle), sans allocation ni aide d'aucune sorte. Je ne pourrai bientôt plus payer à la mère de mes deux enfants - qui touche le SMIG - leur pension alimentaire, ni le loyer de mon deux-pièces dans un village du Pays d'Aix où se loger est devenu hors de prix. Comme ces millions de Français qui ne parviennent plus à joindre les deux bouts. Un "intellectuel précaire", dit-on.

Lorsque j'ai créé Plume de presse, il y a bientôt deux ans (le 14 février), c'était pour ne pas rester inactif et verser dans l'auto-dévalorisation du chômeur de longue durée, pouvoir m'exprimer dans ce que je sais faire et produire même sans commande rémunérée. L'expérience s'avère éminemment positive. Ce blog est aujourd'hui classé 4ème de la catégorie politique par Wikio et vous êtes environ 4000 à venir le lire chaque jour. Une belle forme de reconnaissance, complétée par les référencements, au fil du temps et suivant les billets, par Rézo.net, Wikipédia, la revue de presse de Yahoo, De source sûre, Rue89, Politis.fr et Politis papier, l'Obs.com, Libération.fr et Libération papier, Acrimed, Bellaciao, Arrêt sur images ou encore le site de la Télé Suisse Romande. Las, tout cela ne me rapporte pas un centime. Il m'arrive fréquemment de passer quatre heures, entre la veille sur l'actualité, les recherches, la confrontation des sources et la rédaction, pour produire un billet quotidien. A cela s'ajoute la lecture des commentaires qui se doit d'être vigilante, puisque j'en assume la responsabilité juridique. Tenir ce blog est une vraie passion, mais elle est dévorante, et financièrement stérile.

Or mon seul projet concret aujourd'hui est l'écriture d'un livre. J'en ai trouvé l'éditeur, qui le présente comme suit sur son blog :

couv__bouquin_bonnet"L'écran de fumée créé par l'omniprésente communication présidentielle résiste mal à un travail de vérification journalistique point par point, jour après jour. Olivier Bonnet, auteur de "Plume de presse, le blog sabre-au-clair d'un journaliste engagé", se livre à cette dissection méthodique du discours et des actes, les remet en perspective et les confronte aux faits. Sous une plume acerbe et caustique, son analyse prend alors la forme d'une implacable démonstration : le "sarkozisme" repose avant tout sur une stratégie de l'imposture permanente."

J'essaie depuis plusieurs semaines, mais je ne parviens pas à avancer dans l'écriture tout en continuant à animer Plume. Voilà pourquoi la décision s'est imposée à moi de suspendre les publications sur ce blog, le temps d'achever l'ouvrage.


Il sera disponible dès ce mois d'avril 2008 au prix de vente public de 17,00 € + 2,90 (de port et d'emballage - au réel ). Pour le pré-commander dès maintenant, je vous invite à adresser votre chèque (19,90 €) à l'ordre de "Les Points sur les i" et au dos préciser "Olivier Bonnet" (pas de paiement en ligne puisque nous n'encaissons pas le chèque avant la parution du livre) aux : éditions les Points sur les i - BP 96 - 94 272 Le Kremlin-Bicêtre Cedex.

"Vous avez aimé le blog ? Vous aimerez le livre !"

Portez-vous bien en attendant. De mon côté, j'ai un gros travail à fournir.

Et merci encore de vos nombreux témoignages de sympathie et de vos encouragements constants, dans vos commentaires ou via les courriers électroniques que vous m'adressez. Ils me font chaud au coeur.

Je retiens la suggestion d'un lecteur : si vous êtes un généreux mécène, cliquez depuis la page d'accueil de Plume sur le bouton "Faire un don".

la République des blogs.

République des blogs Toulouse )2(



Une date est déjà avancée pour la seconde rencontre République des blogs qui s'articulera autour du thème de la Création d'activité en Midi Pyrénées : associations et entrepreneurs sont les bienvenus.

Cette République des blogs )2( est prévue pour le 5 mars 2008, à partir de 17h30, vous pouvez d'ores et déjà vous inscrire sur le wiki de la République des blogs.Inscrivez la date sur vos agendas, dès que possible vous pourrez télécharger la nouvelle bannière ici même pour l'annoncer sur vos blogs.

Toutes idées et conseils seront les bienvenues pour nous aider à organiser cet évènement.
Le BUENA VISTA n'étant pas chaud pour nous accueillir, nous recherchons un autre lieu pour nous retrouver, si vous avez des idées, contactez nous sur republogtoulouse@gmail.com.

11 février 2008

le Sarkostikque en dit ceci:

Nicolas Sarkozy de Nagy Bocsa est un nostalgique. Un vrai nostalgique même. Nostalgique de son couple qui a pris l'eau et fini par sombrer. A tel point qu'il envoit des SMS qu'un journaliste plus courageux que les autres et moins Sarkolatre décide de publier. Et paf, un procès.

Sa nostalgie va loin, même très loin .. en arrière. Puisqu'il veut ni plus ni moins réinstaurer la monarchie à Neuilly sur Seine.

Pour ceux qui n'auraient pas suivi ou rien compris, voire les deux à la fois, il faut savoir que Nicolas Sarkozy de Nagy Bocsa a dirigé cette ville pendant environ 20 ans. Ville la plus riche de France ou presque qui s'est fait prendre par un jeune Maire sans scrupule et doué pour la trahison.

Sarkozy sarkosi sarkosy sarkozi sarko cecilia president sarkostique martinon neuilly municipales
Merci à Placide

Un âne avec un bonnet UMP se ferait élire là bas. On pourrait peut-être même aller jusqu'à une moule (pour peu qu'elle ne soit pas congestionnée). Et Sarkozy pensait d'abord introniser un gars pas trop doué mais fidèle.


envoyé par sarkophage

Celui ci s'appellait Martinon (prononcer juste après Non ! Non ! Non !). Aujourd'hui on va pouvoir l'appeler "dissident" ou "boulet".

Image Hosted by ImageShack.us
Car la population de cette charmante ville sans logements sociaux (2% environ ...) ne veut pas de ce parachuté incapable de faire campagne.

Sarkozy sarkosi sarkosy sarkozi sarko cecilia president sarkostique martinon neuilly municipales
Merci à Chimulus

Sarkozy a donc compris qu'il allait encore un peu plus dévisser dans l'opinion et l'estime de ses sujets. Il a donc tiré les ficelles dans le sens de l'exécution dudit Martinon (n'oubliez pas le chant révolutionnaire juste derrière : Non ! Non ! Non !). Etant subtil comme un rouleau compresseur il a décidé de pousser son rejeton (celui du scooter en délit de fuite ???) à damer le pion à Martinon (vous avez chanté là ?!).


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C'est ainsi que Sarkozy va ressusciter une coutume morte avec la Révolution ou la restauration. Enfin morte depuis quelques temps déjà : la succession par le sang. Cela s'appelle une monarchie !


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Merci à Zuili

Sans doute parce qu'il n'y a qu'une famille capable dans ce beau pays. La famille Sarkozy ! Tout le monde attend les preuves de cette capacité bien cachée, mais peu importe pour le principal intéressé, il y croit !


Le plus délicieux serait bien que la liste de Jean Sarkozy de Nagy Bocsa se prenne une branlée aux municipales. Cela ne ferait que renouveller le goût familial pour le bouillon politique pourtant prévisible.


Sarkozy sarkosi sarkosy sarkozi sarko cecilia president sarkostique martinon neuilly municipales
Merci à Chimulus

En attendant le grand stratège de l'Elysée va parler à la France ce soir. Pour dire à son peuple qu'il ne l'a pas écouté et qu'il l'a même bafoué, mais que cela était pour son bien.

Sarkozy sarkosi sarkosy sarkozi sarko cecilia president sarkostique martinon neuilly municipales
Merci à Placide

Grands imbéciles que sont les 55% de Français qui ont dit Merde à cette Europe attrape couillons.


Sarkozy sarkosi sarkosy sarkozi sarko cecilia president sarkostique martinon neuilly municipales
Merci à Snut



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10 février 2008

Méditation

Il faut dire à tout esprit naissant qu'aucune cause ne vaudra jamais la mort d'un innocent.
[Daniel Balavoine]
Paroles de la chanson Petit homme mort au combat

Une carrière en vue

Quel passionné d'automobiles n'a pas souhaité un jour dessiner la voiture de demain ? Même si les candidats sont nombreux, les places sont chères. Il ne faut donc pas se tromper de formation. Voici un petit guide pour faciliter vos démarches.

Design Bertone BirusaSbarro,Gandini, Guigiaro, Zagato ou encore Bertone et Pininfarina, sont parmi les plus grands noms de l’automobile. Ne cherchez pas ces hommes à la tête de multinationales, mais plutôt aux commandes des principaux bureaux d’études des grandes marques. On leur doit notamment les Lamborghini Countach, Diablo, les Astra Coupé, la 406 Coupé, l’Aston Martin DB7 Zagato ou, dans un autre genre, la Renault Super 5.

Design Audi AventissimoDevant tant de merveilles, on comprend mieux l’engouement des enfants ou des adolescents qui veulent rentrer dans ce milieu fermé qu’est l’automobile. Malheureusement pour eux, les places sont rares et il est très difficile de concrétiser son rêve surtout si l’on choisit l’option design.Malgré tout, si vous décidez de persévérer dans cette voie, ne désespérez pas. Il existe d’excellente formation. Pour choisir la meilleure école, voici un petit guide des écoles qui enseignent le design automobile en France ou à l’étranger.
Pour plus d’informations sur cette profession, vous pouvez consulter le site de l’Agence pour la promotion de la création industrielle : www.apci.asso.fr

Olivier Pagès

Page suivante :
les écoles françaises

Oui, Monsieur le Premier ministre, nous sommes déçus et nous voulons continuer à négocier !

Politique pour les personnes sans abri et mal logées

Ce n’est pas sans raison que le Premier Ministre a considéré ce matin qu’il était normal que les associations soient déçues, à l’issue de sa rencontre avec elles. Effectivement, les 27 associations de solidarité engagées depuis le 18 décembre dans la définition d’une politique publique à l’égard des personnes sans abri et mal logées, font part de leur déception devant les propositions du Premier Ministre.

Les associations considèrent que ces propositions ne sont pas de nature à améliorer radicalement les conditions de vie des personnes sans abri et mal logées, qu’elles ne sont pas en mesure de fluidifier l’ensemble de la chaîne qui va de l’hébergement au logement. Cette insuffisante mobilisation de l’Etat face à un problème aussi grave est inacceptable.

Le Premier ministre a pourtant réaffirmé ce matin qu’il reprenait à son compte les orientations des associations, à savoir :
- engager une politique de prévention pour interrompre les processus qui conduisent à la rue ;
- aider les personnes sans abri à sortir de la rue ;
- appliquer la loi sur le droit opposable au logement.

Mais les moyens annoncés ne permettront pas de mettre en oeuvre ces orientations.
Au moment de passer aux actes, le gouvernement se dérobe.

Ainsi :

- Alors que le nombre de logements insalubres à traiter est de 600.000, le Premier Ministre annonce un plan de réhabilitation de 100.000 logements en 4 ans.

- Alors que des milliers de personnes vivent à la rue et qu’il faudra du temps pour résorber la crise du logement, aucune création de place d’hébergement n’est programmée.

- Alors que les objectifs 2007 de création de logement social prévu dans le Plan de cohésion sociale n’ont pas été atteints, on ne décèle aucune volonté politique de tenir les engagements de 2008. Les associations attendaient un signal plus fort pour une augmentation sensible du logement social et des mesures qui annoncent une rupture.

- Alors qu’elles constituent un mode de logement alternatif particulièrement adapté aux besoins de certaines personnes, l’objectif de création de maison-relais reste celui du Plan d’action renforcé pour les personnes sans abri (PARSA) et les délais de réalisation sont sans cesse allongés.

A lire ici.


D’ores et déjà, les associations annoncent une première mobilisation nationale le jeudi 21 février 2008.


Méditation

Sans haine, sans colère, presque sans peur : ce n'est q’un chant d'amour et d'acceptation, une lente et difficile montée vers la paix et la lumière. »

André Comte-Sponville, philosophe

Ni Pauvre Ni Soumis.

06.02.2008

Pacte de soutien : déjà plus de 3 000 signatures!

Plus il y aura de signatures, plus les revendications du Mouvement Ni pauvre, ni soumis auront d’impact sur les décisions du gouvernement.

- Pour faire connaître le pacte de soutien en ligne, téléchargez cette ecard en cliquant ici.

Procédure d’envoi : Dans Outlook, « Nouveau message », cliquez dans le corps du message. Selectionnez dans la barre d'outils « Insertion » puis « image ». Une fois l’image insérée dans la page, sélectionnez-la (clic droit) et « Insertion », puis « lien hypertexte », tapez le lien suivant dans la fenêtre, http://pacte.blogs.apf.asso.fr.

Puis envoyez – là à tous vos proches (amis, voisins, collègues, etc.).

- Pour faire circuler le pacte de soutien autour de vous, téléchargez le pacte de soutien dans sa version papier.

Procédure d’envoi : Une fois récoltées toutes les signatures de votre entourage, envoyez les à APF – Pacte de soutien NPNS – 17, Bd Auguste-Blanqui – 75013 Paris. Pensez à les envoyer une semaine avant la marche du samedi 29 mars 2008 pour que les signatures soient comptabilisées lorsque la délégation ira les remettre à l’Elysée.

- Pour solliciter les personnalités à soutenir le mouvement, téléchargez le courrier de soutien des personnalités, en cliquant ici.

L’engagement et la notoriété de personnages publics offriraient au message du mouvement Ni pauvre, ni soumis, une plus large portée. Nous mettons donc à votre disposition un modèle d’invitation à soutenir notre mouvement, en rejoignant la marche du samedi 29 mars 2008 et/ou en renvoyant un coupon de soutien. Parce que vous avez peut-être une personnalité dans votre entourage, n’hésitez donc pas à lui envoyer ce courrier en le personnalisant à votre signature !

Et faites nous part des réponses obtenues afin que nous puissions les rendre publiques.