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20 février 2009

Conseillers d'Orientation Psychologue

Mail reçu hier d'une amie Conseillère d'Orientaion

Psychologue.Afin de promouvoir les services d'Information et d'Orientation et leurs personnels, l'Association des Conseillers d'Orientation Psychologues de France (ACOPF) a décidé de mettre en place une campagne de communication utilisant les nouveaux médias.


Pour faire parler des conseillers d'orientation-psychologues, les rendre plus visible dans le paysage médiiatique, nous vous proposons de générer une sorte de « buzz» sur un réseau communautaire interactif : le site Dailymotion. Rappelons qu'un « buzz» est une technique consistant à faire le maximum de bruit autour d'un objet (source : wikipedia).

 Pour nous, cet objet sera un « un diaporama humoristique» sur le thème de l'orientation.
Précisons que le schèma de diffusion d'un « buzz» correspond à la propagation d'une rumeur, il fonctionne par bouche à oreille et son efficacitè repose sur un principe de surprise.

 **C'est pourquoi, nous vous invitons à regarder dès maintenant ce diaporama humoristique.


 Durant la pèriode qui va suivre la réception de ce courrier  électronique, il faudrait qu'un maximum d'internautes se connectent sur ce site de vidéo en ligne, visionnent le diaporama humoristique, laissent des commentaires et attribuent une note [si possible positive ;-)
(NB: pour attribuer une note, il est nécessaire de vous inscrire sur le site).

 N'hésitez pas à vous connecter plusieurs fois par jour, et surtout à inviter tous vos contacts pour qu'ils se connectent à leur tour sur le site de vidéo en ligne. Plus nous serons nombreux à regarder cette vidéo, plus celle-ci grimpera dans les classements. Notre objectif est d'en faire une « vidéo star» et ainsi permettre sa diffusion en dehors du petit monde des COP.
Nous comptons sur votre mobilisation afin que notre tentative de « buzz» ne se réduise pas à un simple flop»

Cordialemenent.
Le CA de l'ACOPF.

19 février 2009

Restons positif

L'article ci-dessous fini d'une façon trop négative à mon goût et je crois fermement que nous avons les poyens de ré-inventer notre société plus juste, plus vivante.
Mais il faut se retrousser les manches et balayer notre vision ancienne des choses...

Et ne plus se laisser mener par le bout du nez..
par l'esprit de consommation à tout prix.
Et surtout n'importe comment.
Et nous pouvons le faire..

Comment faire un bon pot-au-feu de grenouilles

Hier soir soir, notre chef de l'état s'est exprimé.
Avec beaucoup d'emphase, comme d'habitude.
Il doit, c'est vrai se convaincre lui-même, de ce qu'il veut nous faire avaler.

Mais par-dessus tout, comme ceux qui n'ont pas grand chose à dire, il le dit bien.
On ne peut pas lui reprocher.

Le Courrier International reprend les réactions du correspondant du Times pour réagir.
Le malheur des uns fait le bonheur des autres.

""Après les critiques formulées par le chef de l'Etat contre la Grande-Bretagne, le correspondant du Times à Paris se devait de réagir. Ce qu'il a fait avec ironie et réalisme.""

En les écoutant, nous apprenons que notre pays est épargné par la crise, enfin moins touché que d'autres et grâce, justement à la politique sociale  française si critiquée et que l'on s'ingénie à casser.

 Il faudrait donc savoir:
Ou bien le social est nécessaire ou bien il ne l'est pas.

Et l'on fait le pari d'une crise à court terme.
En attendant, des gamins souffrent, des personnes âgées ne peuvent plus se soigner parce que ça coûte trop cher.
Monsieur le Chef de l'état veut mettre l'accent sur le travail mais lequel?
Le travail précaire?
Les salariés devenant corvéables à merci sous menace de la crise?
Ceux qui acceptent tout et n'importe quoi parce qu'ils n'ont pas le choix?
Parce que le système de culpabilisation existe la rancoeur des uns et des autres?

Facile de parler de valeur travail lorsque l'on ne crève pas de faim.
Et quelques tours de passe-passe  font le reste, comme le Père Noël, il nous fait prendre nos vessies pour des lanternes.
A nous de rester naïfs et préserver notre capital optimiste mais pas crédules.
Petit rappel



Autant en emporte le vent !
Les  carottes et les grenouilles font sans doute bon ménage!!

18 février 2009

Allo, allo, ici la planète des Mages.

On veut parler à la Terre, on veut dire à ses habitants combien ils doivent se préoccuper de nous donner raison car nous nous préoccupons de les rendre heureux.
Oyez bonnes gens, oyez nos paraboles pleines de bonheurs cachés.
Nous vous promettons le retour à la normal lorsque VOUS y croirez.
Ne voyez-vous pas que vous êtes les artisansts de votre propre malheur.
la pensée unique vous mange le choux. C'est pourquoi il ne se trouve plus que des choux à manger..
De bruxelles ou d'ailleurs, c'est toujours du choux...
Et surtout ne vous plaignez pas, il y a des gens plus malheureux que vous!

Allo, à l'eau et au vain !!!

Il s’agit d’une arche traversant le mince sillon de l’Ardèche, construit en pierres basaltiques et autres, à plus de 10m de hauteur. Situé sur la commune de Thueyts, à deux pas du Bourg, le Pont du Diable est un détour obligatoire lors de votre découverte de l’Ardèche. Baignades et randonnées vous y attendent dans un décor tout bonnement idyllique. La légende dit que "Le Pont du Diable" fut construit par le diable en personne à la demande des filles de Thueyts, édifice que les hommes ne pouvaient réaliser du fait de la difficulté de la tâche. De la sorte les filles et hommes pouvaient assouvir leurs amours coupables à l’abri des regards de l’autre côté de la rive. Lors de la construction du Pont, le diable en profita pour étendre son dévolu sur le gouffre. La nuit, et ce encore aujourd’hui, on pouvait entendre les lamentations des âmes ayant traversé le pont, on dit que ce sont les âmes des habitants de Thueyts qui ne sont pas revenus de l’autre côté du pont, des habitants prisonniers du diable

 


 


17 février 2009

Handicap et Scolarité sur le site du Conseil National du Handicap

Bernadette Céleste et le Docteur Anne Postel-Vinay
Vie scolaire et universitaire

Le forum Vie scolaire et universitaire est piloté par Bernadette Céleste, directrice de l’Institut national supérieur de formation et de recherche pour l'éducation des jeunes handicapés et les enseignements adaptés (INS HEA), Maître de conférence en psychologie du développement, Université Paris X Nanterre et par le Dr. Anne Postel-Vinay, pédiatre à l’hôpital Necker-Enfants Malades (AP-HP).

Sachant que la nouvelle loi veut que tout enfant ou adolescent présentant un handicap soit inscrit dans l’école la plus proche de son domicile et constatant que la formation des professeurs des écoles, embryonnaire et segmentée, ne prépare pas à ce défi, ce forum s’est engagé à faire de la formation une priorité pour tous les acteurs du monde scolaire.

Cet engagement se traduit concrètement dans les démarches et revendications associatives ou syndicales, dans les orientations et décisions politiques, dans les cursus initiaux, dans les programmes de formation continue, etc. Ceci, dans la perspective d’une formation commune pour une culture commune.

A écouter la vidéo sur leur site, ici...

16 février 2009

Comme un lundi

Aujourd'hui a lieu mon entrée dans cette beau groupe de femmes engagées.

Nous avons toutes les raisons de notre engagement.

Les petits ruisseaux font les grandes rivières.
Par ordre d'apparition

Le Rocrodile , Laure
Annie
Hypos
Nelly
CC 

Puis il y a
 Quitterie
Olympe

Merci à vous toutes de m'avoir laisser la parole.

15 février 2009

Congé parental, hausse du chômage et enfants soumis au contrôle de l'état.

Dans la convention Internationale des droits de l'enfants, il est stipulé que les administrations, institutions doivent donner aux parents les moyens d'élever leurs enfants, en terme de présence affective et fiancière.


CONVENTION INTERNATIONALE
DES DROITS DE L'ENFANT


ONU : 20 novembre 1989
(Texte intégral)

Interligne
Préambule
Les États parties à la présente Convention, Considérant que, conformément aux principes proclamés dans la Charte des Nations Unies, la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humains ainsi que l'égalité et le caractère inaliénable de leurs droits dont le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde,
Ayant présent à l'esprit le fait que les peuples des Nations Unies ont, dans la Charte des Nations Unies, proclamé à nouveau leur foi dans les droits fondamentaux de l'homme et dans la dignité et la valeur de la personne humaine, et qu'ils ont résolu de favoriser le progrès social et d'instaurer de meilleures conditions de vie dans une liberté plus grande,
Reconnaissant que les Nations Unies, dans la Déclaration universelle des droits de l'homme et dans les Pactes internationaux relatifs aux droits de l'homme, ont proclamé et sont convenues que chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés qui y sont énoncés, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou de toute autre opinion, d'origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation,
Rappelant que, dans la Déclaration universelle des droits de l'homme, les Nations Unies ont proclamé que l'enfance a droit à une aide et à une assistance spéciales,
Convaincus que la famille, unité fondamentale de la société et milieu naturel pour la croissance et le bien-être de tous ses membres, et en particulier des enfants, doit recevoir la protection et l'assistance dont elle a besoin pour pouvoir jouer pleinement son rôle dans la communauté,
Reconnaissant que l'enfant, pour l'épanouissement harmonieux de sa personnalité, doit grandir dans le milieu familial, dans un climat de bonheur, d'amour et de compréhension,
Considérant qu'il importe de préparer pleinement l'enfant à avoir une vie individuelle dans la société, et de l'élever dans l'esprit des idéaux proclamés dans la Charte des Nations Unies, et en particulier dans un esprit de paix, de dignité, de tolérance, de liberté, d'égalité et de solidarité,
Ayant présent à l'esprit que la nécessité d'accorder une protection spéciale à l'enfant a été énoncée dans la Déclaration de Genève de 1924 sur les droits de l'enfant et dans la Déclaration des droits de l'enfant adoptée par les Nations Unies en 1959, et qu'elle a été reconnue dans la Déclaration universelle des droits de l'homme, dans le pacte international relatif aux droits civils et politiques (en particulier aux articles 23 et 24) dans le pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (en particulier à l'article 10) et dans les statuts et instruments pertinents des institutions spécialisées et des organisations internationales qui se préoccupent du bien-être de l'enfant,
Ayant présent à l'esprit que comme indiqué dans la déclaration des droits de l'enfant, adopté le 20 novembre 1959 par l'assemblée générale des Nations Unies, "l'enfant, en raison de son manque de maturité physique et intellectuelle, a besoin d'une protection spéciale et de soins spéciaux, notamment d'une protection juridique appropriée, avant, comme après la naissance",
Rappelant les dispositions de la Déclaration sur les principes sociaux et juridiques applicables à la protection et au bien-être des enfants, envisagés surtout sous l'angle des pratiques en matière d'adoption et de placement familial sur les plans national et international (résolution 41/85 de l'Assemblée générale, en date du 3 décembre 1986) de l'Ensemble de règles minima des Nations Unies concernant l'administration de la justice pour mineurs ("Règles de Beijing"- résolution 40/33 de l'Assemblée générale, en date du 29 novembre 1985) et de la Déclaration sur la protection des femmes et des enfants en période d'urgence et de conflit armé (résolution 3318 (XXIX) de l'Assemblée générale, en date du 14 décembre 1974),
Reconnaissant qu'il y a dans tous les pays du monde des enfants qui vivent dans des conditions particulièrement difficiles, et qu'il est nécessaire d'accorder à ces enfants une attention particulière,
Tenant dûment compte de l'importance des traditions et valeurs culturelles de chaque peuple dans la protection et le développement harmonieux de l'enfant,
Reconnaissant l'importance de la coopération internationale pour l'amélioration des conditions de vie des enfants dans tous les pays, et en particulier dans les pays en développement,


Et je croyais que"l'enfant" avait son mot à dire, la convention indique bien que l'on doit tenir compte de ce qu'il veut, lui.

Si tous les petits français pouvaient envoyer une pétition à Sarko, je crois que cela  ferait du poids dans la balance.
Car il me semble bien que les grands absents de ces décisions, ce sont bien nos enfants.

Voir le 20h sur le JT de France 2 sur le sujet... 


Tout le monde en parle...






 Et puis en ces temps de hausse du chômage, est-ce bien raisonnable ?
Dans quoi les parents vont-ils travailler ?

Jusqu'à quand les parents vont-ils payer pour leurs employeurs?





Un politique amputée de l'intelligence.

Comme le souligne cet article sur le Site officiel du Parti Socialiste, la politique du handicap menée par le gouvernement actuel reflète d'abord l'image qu'il veut donner de son action  qui n'engage que ceux qui la font et la  fonde, dans les flots de l'auto-satisfaction.

Le handicap, nous le vivons au quotidien avec Fiston atteint de neuropathie sensitivo-motrice
(ou Charcot-Marie-Tooth) transmis par son père.

Son père qui, après s'être décidé à consulter un neurologue, a fait une demande de reconnaissance de travailleur handicapé auprès de la MDPH en Janvier 2008.

Il n'a reçu sa notification qu'en Novembre 2008.

Il y a donc déjà un souci à ce niveau-là.

Le temps que mettent les commissions d'orientation à se définir par rapport à la personne ayant des besoins spécifiques.

Quand il y a urgence, comment fait-on?

Quant à Fiston, tous ceux qui viennent me lire régulièrement savent combien est difficile sa scolarité.

Il a été reconnu à l'âge de neuf ans comme atteint de cette maladie.

Il en a seize aujourd'hui.
Et toutes ces années et spécialement les quatre dernières ont été un combat quotidien pour obtenir un minimum de soutien.
La discrimination permanente qu'il a subit pour ne pas être "suffisamment" handicapé.
Pour être trop intelligent.
Et parce que nous ses parents dénonçons les dérives du système.
Nous estimons que ne rien dire équivaut à laisser la porte ouverte aux abus de toutes sortes.

Et c'est notre rôle d'interpeller la société et ses différents acteurs.
Je ne peux pas tous les citer.

Mais par exemple, j'ai interpellé le Conseil Général sur la mauvaise prestation de la société de transport.
Eh bien, personne n'a daigné reconnaître le bien fondé de ma démarche.
On m'a juste conseillé de changer de transporteur.
Il est vrai que le directeur est lui-même handicapé.
alors, je leur ai posé une colle. J'ai dérangé cet ordre établie de pitié envers un "plus faible".
Cela doit-il justifier un dysfonctionnement permanent de cette société payée par les deniers publics.

J'ai pourtant ouï dire quelques vérité dérangeantes sur cet entrepreneur, handicapé ou pas, c'est avant tout
un HUMAIN avec tout ce que cela peut comporter de qualités certes, mais aussi de défauts.
Mais il est handicapé, donc joue cette espèce de bien-pensance et de compassion déplacée qui fait que
l'on n'éduque plus...
Le pire est que je n'étais pas la seule à râler.

Le pire est que le papa d'un autre élève, faitgué par ces manquement s'est formé aux transports de personnes handicapées et assure lui-même le transport de mon fils.
C'est lui qui vient le chercher pour l'amener à  ses séances de kiné.

Et je reviens à l'éducation.

Le copain de Fiston s'est fait volé son I-Phone et son I-Pod par un des élèves de la classe d'UPI, dans ce lycée d'élite.

Le voleur a daigné reconnaître le vol de l'I-Phone mais n'a jamais reconnu avoir été en possession de l'I-Pod que lui a prêté le copain de Fiston.

Personne ne s'inquiète de lui faire rendre cet appareil tout en sachant combien ce jeune est menteur et déplacé, nocif à la bonne ambiance de la classe.

L'un de ceux qui harcèlait Fiston.

Il n'y a pas eu sanction et pourtant, je suis intervenue pour des faits moins graves, voire inéxistants au sujet de
Fiston.

On sanctionne des soi-diant fautes mais pas le vol ?

Mais Fiston et moi avons constaté l'arbitraire de ces attitudes liée au manque de connaissance du handicap.
Plus le jeune est handicapé ou en situation sociale compliquée, moins on intervient de façon à ce que les jeunes apprennent à vivre en société avec leurs pairs.
Or le handicap ne dispense pas d'éducation.

Mais la véritable éducation est de leur apprendre le respect mutuel.

Car cette attitude du handicapé qui est souvent violente et vindicative fait qu'on les rejette.

Mais j'ai bien compris que la société leur jette qu'un regard de pitié qui lui permet de se dédouaner
de ses responsabilités dans le devenir de ces futurs hommes et de femmes, citoyens de demain.

Et  j'en reviens à Fiston, les professionnels du Centre spécialisés se sont trompés deux fois de suite.
Aucun adulte responsable ne s'est excusé auprès de lui.

Et c'est ce que j'ai toujours dis à ceux qui me prêtaient une oreille attentive.

Les excuses, ce n'est pas à moi qu'on les doit mais à mon adolescent  de fils, bafoué, nié dans sa personne.
On exige de lui qu'il se comporte en  personne autonome mais lorsqu'il s'agit de respecter cette autonomie,
en s'adressant à lui directement,tout d'un coup, cela dérange car la hiérarchie a peur de perdre son pouvoir.

Il n'est guerre facile pour des adultes de se justifier auprès d'un jeune, de reconnaître son erreur.
Fais ce que je te dis, mais surtout laisse moi faire ce que je veux, car le pouvoir est à moi.

Orgueil quand tu nous tiens!

Il y a à ce niveau un vrai travail à faire.
Ici, là où ailleurs.




La personne handicapée que l'on rejette aux confins de la pauvreté.
Et je pense à Janine, atteinte de SEP (sclérose en plaque).

Je vous laisse prendre connaissance du courrier qu'elle adresse au  médecin conseil de la CPAM de Nîmes.

Coucou et voilà le courrier qu'on vient d'envoyer, suite à un refus de prise en charge de déplacements pour aller me faire soigner chez un Kiné ...
Particulièrement au fait et efficace en ce qui concerne ma SEP.
Utilisez le ...Diffusez le ...Bises Janine Bruno

<<  Bellegarde le 13 / 02 / 2009

A : C.P.A.M.
      Madame le Médecin conseil
      14 rue du Cirque Romain
       30 921 Nîmes cedex 9



Madame,

A la suite de votre courrier me refusant des déplacements « Bellegarde-Tarascon » afin de me faire soigner par un Kinésithérapeute, spécialisé dans ma pathologie (SEP, évolutive rapide et particulièrement sévère), je doute fortement de votre qualité et de vos compétences de « Médecin ».

Je pense , je suis sûre, que vous êtes devenue exclusivement « comptable » des deniers de la Sécurité sociale et que, vous appliquez à la lettre, sans état d’âme, les directives de votre ministère.

Les malades sont coupables du déficit de la Sécurité sociale… 
Ils doivent le payer !Cher !
Quitte à ne plus se soigner.

Et ce ne sont pas les labos (Sanofi Aventis, près de 8 milliards d’€ de bénéfices nets = + 9% par rapport à 2007 … Roche : 7,3 milliards… ) … Les taxes non perçues sur le tabac et l’alcool … Les fleurs à certaines entreprises et à l’état qui ne payent pas toutes leurs cotisations… Les taxes non payées sur les emplois aidés…

Qui sont responsables de ce gouffre… Entretenu. 
Bien évidement…
Ce sont les malades !
Même si ils ont cotisé toute leur vie.
Il ne me reste que peu de chose à faire.
- Trouver un praticien compétent à plus de 50 Kilomètres. ????????? C’est le sens de votre lettre. Et je connais de très bons thérapeutes à Marseille : je fais partie du réseau PACASEP.

- Arrêter de me soigner. Ce qui coûtera bien plus cher, m’obligeant à aller dans des centres de Rééducation spécialisés, au moins deux fois par an.

- Souhaiter que la Ministre de la santé et ses « mandataires » soient rapidement atteints d’une maladie dégénérative rapide et évolutive. Tout en ne survivant qu’avec l’AAH. On a le droit, même malade, de rêver !

- Perdre le plus minime espoir de ralentir l’avancée de ma maladie. Et abandonner tout combat… Cesser de vivre pour résumer.

« Cotiser selon ses moyens, être soigné selon ses besoins. » Tel est le principe fondateur de la Sécurité sociale, défini pendant la Seconde Guerre mondiale par le Conseil national de la Résistance. 
Mais aujourd'hui le droit à la santé pour tous serait partiellement remis en cause au nom de la lutte contre le déficit de la Sécu… La logique de rentabilité réclamée par l'Etat n'est pas toujours compatible avec la logique médicale. Comme le dit un médecin, il est plus rentable d'amputer un patient que de prendre le temps de le soigner... »

Dormez bien… 
Reniez votre serment d’Hippocrate.
Janine Thombrau


Quand à l'emploi,  en période de récession,  ils restent les plus touchés.
Je connais beaucoup de ces jeunes qui désespèrent de trouver un emploi.

La société à vraiment d'autres chats à fouetter.
Les effets de communications,
cela prend du temps à trouver les mots rassurants pour endormir le peuple.

On peut toujours s'adresser aux médiateurs pour remettre à l'endroit ce qui est fait en dépit du bon sens.

Par exemple, j'avais demandé une révision de mon AEEH.
Baissée parce que nous avons changé de département.
Baissée parce que  fiston devait entrer en centre spécialisé.
Baissée ensuite parce que Fiston est entré en centre spécialisé, en l'espace de 5 mois.

J'ai du arrêté de travailler pour m'occuper de lui.
Finalement après avoir rencontré les professionnels de la MDPH (assistante sociale et médecin), je n'ai pu
obtenir que la relève au complément précédent.

Alors que ma voisine dont le fils est handicapé en fauteuil a pu obtenir un compément 6, je n'ai que le complement 3.

Et pourtant, son fils est en centre, lui aussi, tous les jours.

Elle peut travailler sans soucis, elle en a le temps.
d'autant qu'elle est bien plus jeune que moi...

C'est là que je ne comprends plus.
La politique n'est pas la même pour tous.


Depuis quelques temps, je forme un projet pour aider Fiston à étudier à son rythme, ainsi que d'autres jeunes dans son cas.
Car il y en a plus qu'on ne l'imagine.

Projet qui me trotte dans la tête depuis tant d'années.
Sur le principe de la scolarité en ligne.