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02 mars 2008

Discrimination: état des lieux entre mensonges et réalités. ) 1 (

Courrier adressé au professeur principal de Max sur la discrimination .

Le 7 Mars 2007,


Madame,


Bientôt aura lieu le Conseil de Classe.

A cette occasion , je vous informe à nouveau, qu'il s'agit cette fois de tenir compte des difficultés personnelles de mon fils, liées à sa maladie (variante de la myopathie), maladie dégénérative et évolutive.

La fatigue, un emploi du temps inadapté, le stress ont provoqué une aggravation, ainsi que la puberté (changement hormonal plus la croissance!)

Un dysfonctionnement du Projet d'Accompagnement Individuel reccurent du à une incompréhension entre le Centre National d'Enseignement à Distance et l'Inspecteur d'Accadémie au premier trimestre (il nous a fallu presque 3 mois avant d'obtenir l'autorisation de cours par correspondance) ont largement compliqué la scolarisation de Max en milieu ordinaire.

Votre refus de le considérer comme différent de par sa maladie, je cite vos propres paroles:
"S'il vient au collège, alors il est comme les autres!" et ce, malgré la loi de 2005 qui oblige la scolarisation des enfants en situation de handicap EN TENANT COMPTE de leur besoins spécifiques.

Ce refus est une discrimination plus sournoise. Les conséquences psychologiques sont les même que celles provoquées par un rejet net.

En outre, Max ne peut être comparé qu'à lui-même.
Les réflexions du style:"Sans la note de Vie Scolaire - moyenne générale du trimestre de16- ton niveau est bien moins bon "-15,8- de moyenne générale ( si on exclu effectivement cette note arbitraire).

Il a eu l'une des pires notes données dans ce contexte, car souvent absent. mais comme l'info ne nous parvenait jamais ou parfois juste au dernier moment, ceci me parait bien facile de juger...

Cependant pouvez-vous m'expliquer mathématiquement la différence entre 15,8 et 16 ? En tout cas pas celle que vous avez suggéré?

Autre réflexion: "Les meilleurs sont d'une catégorie au-dessus de toi !"
Peut-être faudrait-ils les évaluer dans le MEME contexte?

L'on m'affirme qu'un enseignant n'est pas obligé de se remettre en cause (son autorité s'en trouverait dégradée, soit, mais en ce cas, soyez aussi éxigente avec vous-même que vous pouvez l'être avec vos élèves.

C'est à vous les enseignants de bien vouloir montrer l'exemple!

en vous remerciant

La maman.

Je précise que cette prof d'anglais n'a jamais eu Max en cours puisque les cours d'anglais étaient pris par correspondance. Néanmoins, elle ne s'est jamais privée de jugements, bien arbitraires !

J'oublie de préciser aussi que j'ai donné un ultime rendez-vous à cette professeure, en souhaitant me faire accompagner d'une personne atteinte de la maladie et sur fauteuil, afin d'apporter des précisions sur les difficultés de mon fils.
Il n'y jamais eu de suite donnée à cette proposition.
L'on m'a ignorée, purement et simplement...

Ce que je peux dire encore est que la principale adjointe de l'année de cinquième de Max dans ce collège, à la fois témoin et partie prenante, a été OBLIGEE de partir parce que sa volonté de responsabliser l'équipe enseignante et administrative a été mal perçue par l'ensemble du collège.

Qu'elle ait demandé sa mutation ou bien que l'on ait poussée cette professionnelle hors pair a du partir . le résultat est le même: elle ne pouvait pas rester dans un tel établissement avec autant de mauvaise fois que nous avons pu y rencontrer.

Un an après son départ, la principale essayait encore de la démolir alors que j'avais les preuves que son adjointe ETAIT dans le vrai.

Une honte!!


Sur quelle bases, la halde a-t'elle fait son enquête, si enquête, il y a réellement eu ?