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26 janvier 2008

Cabanas Buena Onda : Une page de pub pour la bonne cause !




Les cousins de Max, Olivier et Pierre (d'origine franco-espagnole) avec Christophe (d'origine grecque), leur ami, ont pris le temps de construire ces cabanes au Mexique.

Ils ont créé leur entreprise de tourisme. C'est une bonne adresse. Ils sont sympas et ne manquent pas de charme, ni de volonté, ni d'énergie, ni de courage.
Ils ont grandi petit à petit.
Olivier a rencontré Yara, mexicaine et ont un enfant.
Pierre à rencontré Simona , italienne et voyagent beaucoup.
Christophe s'est lui aussi marié avec une jeune mexicaine mais je n'en sais pas plus.

Suite à un voyage au Mexique, il y a quelques années, ils ont donc décidé d'y créer leur entreprise.
Le pays leur plaisait, l'accueil des gens, la possibilité de faire quelque chose de leur vie et de leur temps, l'envie aussi !
Les familles se forment , s'agrandissent ..

Pour ceux qui cherchent un adresse au Mexique, Cabanas Buena Onda, Punta Zicatela

Voir la page du Petit Fûté :

Mexique Le Petit futé. Country guide

de Dominique Auzias, Jean-Paul Labourdette - 2007
À la Punta Zicatela ou Brisas de Zicatela BUENA ONDA. ... Les cabanas Buena Onda se trouvent à la pointe Zicatela, peu fréquentée et sauvage. ...

Il vaut mieux leur téléphoner, ce sera plus rapide.

25 janvier 2008

Social, économie et politique
Emploi des «seniors» : beaucoup de bruit… et de tartufferie
Jeudi, 24 Janvier 2008

A nouveau, ces jours-ci, on parle de remettre les «seniors» au travail.

Par ordre d’entrée en scène, d'abord Christine Lagarde. La ministre de l'Economie et de l'Emploi a annoncé mardi que 600 millions d'euros seraient mobilisés dès le début février pour relancer l'emploi des seniors, et que des mesures "incitatives" devraient permettre aux quinquas (et plus) au chômage de retrouver plus facilement un travail.

Le site de son ministère annonce effectivement : «En 2008, le plan d’action concerté pour l’emploi des seniors est poursuivi et renforcé.» Trois axes sont décrits :
1) Taxation des cessations anticipées d’activité «afin de renforcer le maintien dans l’emploi des seniors» ;
2) Reprise de la communication gouvernementale sur l’emploi des seniors, essentiellement à destination des entreprises : chroniques radio, insertion dans la presse professionnelle…
3) Renforcement de «l’offre de service du service public de l’emploi à destination des seniors» (triplement du nombre de seniors bénéficiaires du contrat initiative emploi, élargissement à certains seniors de l’accompagnement réalisé dans le cadre du contrat de transition professionnelle dans 7 bassins d’emploi).
Ceux qui attendaient un plus large déploiement de mesures (incitatives ou coercitives) impliquant les employeurs en seront pour leur frais ! Existe-t-il seulement des échanges de vues entre Madame la Ministre et les syndicats patronaux ? Nous ne le saurons pas.

Mercredi est venu le tour de Jacques Attali, qui présentait le rapport de la «Commission pour la libération de la croissance française». Nicolas Sarkozy s’est, à cette occasion, montré très intéressé par la partie traitant de l’emploi des seniors ; il a même témoigné d’une volonté de lutter contre leur exclusion avec une détermination qu’on ne lui connaissait pas sur ce sujet…
Quelles sont donc ces recommandations si enthousiasmantes ? Au plan du diagnostic, la commission Attali semble vouloir poser le problème à son juste niveau («Les jeunes, les femmes, les seniors trouvent particulièrement mal leur place dans l’économie», «La France doit mieux gérer l’ensemble de ses ressources humaines, en particulier les laissés-pour-compte d’aujourd’hui : les jeunes et les seniors»). Or, passant au constat chiffré, on découvre qu’elle a choisi un indicateur qui se voudrait alarmiste alors qu’il est loin d’être le plus inquiétant : «Le taux d’activité des personnes de plus de 55 ans en France est le plus faible de tous les pays de l’OCDE : ainsi, en 2003, le taux d’activité des 55-59 ans s’élève à 54%.» Certes, 54%, c’est peu ; mais le taux d’emploi des plus de 50 ans est bien pire encore : 37% à peine ! Considérer le taux d’activité (qui regroupe les salariés et les non-salariés), c’est choisir délibérément de minimiser la gravité de la situation !

Au plan des recommandations (que la commission nomme «décisions» avec beaucoup de… volontarisme), on ne trouve hélas rien de bien nouveau :
1) «Permettre à chacun de retarder, s’il le désire, son départ à la retraite» ;
2) «Lever toutes les interdictions de cumul emploi-retraite» ;
3) «Limiter la possibilité de recours aux dispositifs de préretraite aux seules restructurations économiques»…
Jusque-là, la commission développe donc un hors-sujet complet par rapport au chômage des seniors.

Quelques propositions existent toutefois, plus en rapport avec le sujet (mais pourquoi diantre ont-elles été regroupées dans la "décision 133" sur le départ à la retraite ?) :
• «Réduire le coût du travail des seniors en abaissant de 65 à 55 l’âge au-delà duquel l’entreprise et le salarié sont exonérés de cotisation d’assurance chômage et en favorisant une flexibilité accrue dans la gestion des rémunérations» (mais que signifie «flexibilité accrue» ?)
• «Inciter les entreprises à équilibrer les montants consacrés à la formation sur l’ensemble des tranches d’âges»
• «Structurer et renforcer les services dédiés aux 55-65 ans au sein des structures publiques de placement (type ANPE ou APEC), afin de faciliter la recherche d’emplois pour les seniors et de promouvoir leur valeur ajoutée»
• «Favoriser les initiatives d’acteurs privés, d’agences d’intérim, cabinets de recrutement ou d’associations visant à mettre en relation seniors et employeurs»
• «Aider les seniors à créer des entreprises et à s’insérer dans associations et les ONG qui peuvent bénéficier massivement leurs compétences»
• «Investir les régions d’une responsabilité particulière dans l’application de ces dispositifs»…

Toutes ces récentes (?) propositions sont finalement bien peu innovantes et leur mise en œuvre ne produirait sans doute que peu d’effets. Qu’on n’en soit pas surpris : il n’existera jamais de solutions efficaces à partir d’un diagnostic… bâclé !

Confusion, ou malveillance ?

Difficile d’espérer une amélioration sur le front du chômage des seniors tant que politiques et médias ne sortiront pas des confusions, glissements et autres hors-sujets.

«Un quinquagénaire, c’est jeune !» plaisantait mercredi Nicolas Sarkozy en commentant les propositions de la commission Attali. Bel exemple de hors-sujet : la question n’est pas, en effet, d’entretenir l’idée d’une quelconque jeunesse – n’en déplaise au Président, quinquagénaire lui-même. Les salariés expérimentés ne sont pas plus jeunes qu’ils ne sont «vieux» : ils sont expérimentés, point. Avec de la distance, de la sagesse, de la fougue - aussi.

«Aidons les seniors à retrouver un emploi !» déclarent les politiques… «Les seniors devront se résoudre à travailler plus s'ils souhaitent, eux aussi, gagner davantage», traduisent sans vergogne Les Echos ! Qu’elle est lourde, cette tendance - assez récente - qui voudrait inverser les rôles en reprochant aux «seniors» de déserter le monde du travail alors que ce sont les employeurs qui les rejettent !

Presque aussi lourde que celle - beaucoup plus ancienne - qui assimile les «dispensés de recherche d’emploi» à des préretraités (ignorant totalement que les conditions de ressources sont radicalement différentes). Les Echos, dans le même article, vont même jusqu’à voir dans l’annonce de Mme Lagarde une volonté d’«inciter les chômeurs de plus de 50 ans à retrouver un travail malgré la dispense qui leur est faite, à partir de 55 ou 57,5 ans, de rechercher un emploi».

Quand prendra-t-on la vraie mesure de l’exclusion des seniors ?

Pour – simplement – VOIR l’exclusion qui frappe ceux qu’on nomme «seniors» (première ambigüité, dès le titre !), il suffit de s’en donner les moyens. Des moyens trop rares bien que, pourtant, gratuits : ceux de l’ouverture d’esprit et de l’honnêteté intellectuelle.

L’ouverture d’esprit consisterait d’abord à se saisir du sujet dans sa globalité ; par exemple, qui se soucie de la dimension psychologique dans les motivations - les réflexes ? - des employeurs ? Autre exemple : accepter de mettre à plat une par une les raisons invoquées par les employeurs pour rejeter les seniors.

L’ouverture d’esprit, ce pourrait être de regarder cette situation autrement qu’à travers le prisme - réducteur - du régime de retraite ; autrement qu’en se tournant toujours du côté des chômeurs, démarche forcément faussée, quelle qu’en puisse être l’intention. Demander enfin clairement aux employeurs : «Voici où nous en sommes au niveau national ; concrètement, dans votre entreprise, où en êtes-vous et que faites vous ?»

L’honnêteté intellectuelle, se serait d’accepter de regarder les choses en face. Par exemple, on sait par de trop nombreux témoignages que l’exclusion frappe dès la quarantaine. Or, pour éviter de constater que la fièvre est trop forte, on s’obstine à utiliser le mauvais thermomètre : les statistiques de l’emploi ne concernent que les tranches «moins de 25 ans», «25-49 ans» et «plus de 50 ans». Pas de risque, dans ces conditions, de s’inquiéter de ce qu’on ne mesure pas pour les quadragénaires !

L’honnêteté intellectuelle, se serait aussi de refuser les mensonges. Lorsqu’on parle de recourir à l’immigration pour pallier un prétendu manque de main d’œuvre, on insulte les centaines de milliers de travailleurs expérimentés, mais dont les employeurs ne veulent plus. Comment accepter de voir dans un JT un chef d’entreprise du secteur de l’informatique se plaindre de ne pas trouver de candidats «malgré la meilleure bonne volonté» alors que tous les salariés qui l’entourent ne dépassent pas la - petite - trentaine ?

Gérard PLUMIER, auteur de L'Abécédaire de l'indifférence (toujours - hélas - d'actualité !)

Punition dans centre d'éducation spécialisé. Courrier à la FCPE.



Cette punition a été choisi sans tenir compte des enfants , sans les entendre , sans chercher à savoir, s'ils pouvaient la faire, sans prévenir les parents.

Mon fils qui est surdoué et le plus jeune de la classe a subit une punition qu'il a trouvé injuste et arbitraire.

La discussion que j'ai eu avec la proviseure adjointe et ses collègues m'a montré que l'on était comme a l'armée et que ces enfants étaient quasiment délinquants.

"Ces enfants, vous ne savez pas ce qu'ils peuvent faire!" a été la réflexion que j'ai entendu par toute l'équipe de l'Education Nationale.

L'assistante sociale a reconnu qu'il y avait un clivage entre l'équipe de l'éducation nationale et l'équipe soignante.

Que si on lui avait demandé son avis, elle aurait déconseillé tout comme le médecin généraliste.

Mon fils rentre tous les soir à la maison avec de grosses douleurs dues à la déformation de ses os du pied.


Ce soir-là, j'ai du recoller les morceaux avec du Dolipranne.

Les occasions de prendre des antalgiques sont nombreuses, je ne comprends donc pas que l'on fasse sciemment ce genre de" maladresse", le terme de maladresse étant un euphémisme.


Quand à ce genre de sanction , elle n'est attribuée qu'après trois avertissements. Mon fils n'en a jamais eu.

Pis, le bulletin scolaire (16,68 de moyenne générale sur le trimestre fait éloge,de ses qualités d'enfant raisonnable).

Voici donc le courrier adressé à l'association de parents d'élèves:

Madame, Monsieur,


Suite à une absence d'un professeur, la classe de mon fils( 3 eme en établissement adapté) a été punie pour n'avoir pas prévenu les surveillants qu'ils étaient seuls et sans surveillance.

La punition a consisté en un travail d'intérêt général.

Ils ont du nettoyer six véhicules utilitaires utilisés pour amener les enfants au centre et les ramener à leur domicile.

Je ne suis pas contre le principe de la punition mais, celle -ci a été attribuée sans tenir compte des capacités physiques des élèves, ni de leur état de santé malgré la présence sur place de l'assistante sociale, d'un médecin généraliste, et de spécialistes.

Les élèves sont dans ce centre parce qu'ils ont des soucis de santé, ils ont en situation de handicap et certains sont sous morphine et en fauteuil.


On leur a pourtant demander de passer l'aspirateur dans les utilitaires.

Ce jour-là, contrairement aux habitudes , aucun surveillant n'est venu signaler l'absence du professeur.

Comme me le dis mon fils, si nous allons trop tôt , on nous renvoie en classe sans ménagement car c'est que le professeur est seulement en retard.

Si nous prévenons trop tard , nous nous faisons sermonner.

Dans le classique, il existe à l'entrée un tableau d'affichage indiquant les absences des professeurs.
Dans ce centre , il n'y en a pas.

Rien n'indique si le professeur est simplement en retard ou absent.


Cette punition a eu pour effet de provoquer une grosse crise d'allergie chez mon fils (allergique aux acariens , niveau 5 sur 6).

Lorsque je me suis adressée aux personnes responsables du choix de la punition, l'on m'a répondu que les élèves devaient apprendre l'autonomie.

Et qu'ils devaient être traités comme des enfants "normaux."


Ce qu'ils ne seront jamais pour 99,99% d'entre eux.

Si ces enfants sont en internat pour la plu-part, loin de chez eux, tributaires de la vie de groupe, non par choix mais par nécessité, c'est bien parce qu'ils ne sont pas comme les valides.

On ne peux donc pas dire qu'ils doivent être traités rigoureusement comme les valides.

Ce raisonnement est un raisonnement de valides!


Deux des élèves, dont mon fils ont contesté cette décision qui leur paraissait démesurée et sans rapport avec leurs capacités physiques.

Mais ils n'ont pas été entendus.

L'une des élèves a déclaré que la gestion des punition était très inégalitaire.

Que ce n'était pas la première fois qu'un punition leur était attribuée de cette façon.

Ce que les surveillants m'avaient déjà déclaré.

C'est sans doute la première fois qu'un parent réclame , conteste la légitimité d'une telle sanction dans ce contexte.

D'après le règlement intérieur, il est conseillé au élèves et aux parents de ne pas s'opposer aux punitions et sanctions.

Et ce, alors que la loi a changé en 2000.


De plus d'après les textes de loi officiels, le caractère humiliant et dégradant des punitions n'est pas acceptable.

L'élève doit être respecté au même titre que chaque personne de l'établissement. Ce qui est écrit dans un paragraphe du règlement intérieur.

Parce qu'ils sont en situation de handicap, les enfants sont souvent traités plus durement que les enfants valides.

En lisant le magazine Déclic, j'en ai eu la confirmation par des témoignages de parents qui réagissent contre cet état de fait.

La notion de respect est apparemment à sens unique.

Que le travail auprès d'enfant en situation de handicap soit difficile, certes.
Mais le travail dans ce centre est fait sur la base du volontariat.

Le handicap fait peur. Et c'est sans doute la raison pour laquelle on essaie de le gommer autant que faire se peut.

je voulais intervenir à plus haut niveau mais mon fils a peur des retombées.
Il veut faire sa scolarité tranquille.
Déjà qu'il décroche !

Il est trop rapide pour le niveau offert.

Quelle solutions? Nous en avons essayé beaucoup.

Sa déprime fait que je n'en rajouterai pas davantage à ses difficultés.
Je me dis que les cours de seconde, première et terminale seront sans doute plus passionnants.



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04 mars 2008

Punition dans un centre d'éducation spécialisé et réparation.

Je reviens sur cet article publié , en janvier dernier.
Il s'agissait d'une punition collective attribué à la classe de Max dans un centre d'éducation spéciale.
j'ai rencontré ce matin ,dans le cadre de la signature d'un document administratif, le proviseur du centre.
Nous avons reparlé de cette punition. Le directeur s'est excusé au nom de l'équipe administrative et éducative.
Puis il m'a simplement dit que, suite à mon courrier concernant la réaction de Max par rapport à cette punition: le déclenchement de l'allergie, d'une part et le sentiment d'humiliation ressenti d'autre part, il acceptait l'idée de revoir la notion de punition collective et surtout le type de punition à mettre en place.
j'ai eu, face à moi, un homme intelligent et sensible, comprenant fort bien les sentiments des élèves et surtout, respectueux de leur vécu et de leur bine-être.
Voilà, ce que je tenais à signaler.
Partout, lorsque l'intelligence se met au service de l'être humain, il est possible d'espérer un monde plus agréable, plus sociable pour les plus fragiles.
Merci à ce Monsieur.


24 janvier 2008

Le Rapport Attali: ce que j'en pense.

Suite à un commentaire déposé chez Nicolas J, et sur ces conseils de blogages, j'en profite pour reprendre mon commentaire afin le mettre en ligne ci-dessous.

Dans le domaine du logement social, je constate que seules les villes de 50000h et plus seront écologiques, les autres on s'en tape!

Par contre, on table sur la construction pour créer de l'emploi (donc artificiel, comme en Espagne où on ne se fait plus trop d'illusions-enfin, ceux qui réfléchissent!).

Moins taxer le mouvement mais, moi, qui voudrais une HLM du côté de Puteaux, Neuilly ou le 92, pourquoi faut-il que je passe systématiquement par Sarkozy ou ses acolytes pour l'obtenir (parce que les places sont chères!).

Il y a quelques années, j'ai refusé l'aide de Monsieur le Conseiller Général des Hauts-de-Seine (notre bien aimé président actuel ) et le piston du président des laboratoires Bayer ainsi le piston plus modeste sur Puteaux (en cause: cette politique d'immigration profondément hypocrite).

J'ai préféré faire ma valise et débarquer dans cette belle région Toulousaine.

Pourtant, cet appartement près de Paris aurait résolu pas mal de nos difficultés.

Mon fiston aurait pu être scolarisé à Vaucresson, dans une école adaptée au handicap mais avec un bon mélange d'élèves valides et non-valides. C'était l'école de référence, pour nous.

Notre demande avait obtenu l'accord de l'ancienne Commission d'Education Spéciale (aujourd'hui cette commission est validée par la Maison du handicap.)
Il ne nous manquais que le logement.

J'ai donc sollicité par courrier tous les représentants, élus du 92 et du 75, oubliant que Monsieur le Conseiller Général des Hauts-de-Seine était Monsieur Sarkozy à l'époque.

Erreur impardonnable, sans doute, mais il était urgent pour nous d'obtenir ce logement pour éviter l'internat à notre fiston.Il ne l'aurait pas supporté.

Et j'ai eu la surprise de recevoir, peu de temps après, un courrier qui m'indiquait que Monsieur Nicolas Sarkozy avait bien pris note de notre demande et qu'il m'engageait vivement à faire la demande auprès de ses services,et suivrait de près notre dossier.

Mais voilà, j'ai pas pu cautionner sa politique, en tant que ministre de l'intérieur sur l'immigration.

En parlant d'immigration , on renvoie quantité d'étrangers en situation irrégulière et dans ce rapport, je lis qu'il en faut plein pour :

Faire baisser les coûts du travail, donc mieux manipuler ces ânes bâtés de français et assimilés qui se croient tout permis.

Les autres, on les remet dans les charters lorsqu'ils sont pressés à point.
Enfin, si j'ai bien compris .

Quant à supprimer la carte scolaire, bof , c'est déjà fait, de façon non officielle.
En plus les établissements :collèges et lycées disposent de finances permettant d'avoir des outils à disposition.

J'aurais préféré lire que l'on embaucherait d'avantage de profs pour que les élèves soient mieux suivis... ça, c'était plus mieux !

Bon je résume ce que j'ai compris.

Ah oui, les frais d'agences sont moins élevés ailleurs, mais les prix des logements sont "hors de prix " justement et c'est bien pour ça que les étrangers viennent acheter chez nous, malgré les frais d'agences élevés, alors ?

Mais p'têt bien que j'ai raté un truc.

Je suis peut-être pas assez intelligente pour bien saisir la nuance . Après tout , je ne suis qu'une citoyenne lambda .. Lambada ?

Et la réponse de Nicolas qui me permets de mettre le lien chez lui .

Blogger Nicolas a dit...

Mc,

Par rapport à ton début de commentaire, il s'agit de créer des nouvelles villes écolos ! Pas de laisser tomber les patelins...


Enfin , je remercie Nicolas de m'avoir donné son avis et de m'avoir aidée à refaire ce billet.
Ce n'était pas grossier mais plutôt une preuve de respect. C'est, en tout cas, comme ça que je l'ai compris.

23 janvier 2008

Lu sur un site de témoignages de personnes surdouées.

Je me permet de rempiler malgrés la fin des discussions sur le sujet pour amener une partie de réponse à une question qui s'est posée à maintes et maintes reprises:

Citation:
Que deviennent les enfants "surdoués" en grandissant?

En effet, certains m'ont considèré comme un enfant surdoué. Et par expérience je peus vous dire que beaucoup de choses vrais ont déjà été dites concernant les enfants surdoués durant cette discussion. Mais je me permettrais d'y ajouter mon avis avant de répondre à cette question.
Etre surdoué, c'est avant tout un ensemble de paramètres qui amènent à voir le monde différement des autres personnes(enfants et adultes). Le terme "surdoué" ne qualifie que les traits extérieurs de ces personnes, d'où pas mal d'abus comme vous l'avait plusieurs fois cité, mais comment pourrait-il en être autrement.
Le mode de personnalisation de notre société ce fait par les actes de ses individus, ainsi les surdoués ne sont qualifiés que par leurs capacités extraordinaires ou, du moins, les plus remarquables.
Malheureusement cela reviens à enfermer ces enfants dans un systeme de valeur purement lié à leurs faits et non à leurs personnalités; ce qui ne leurs laissent pas beaucoup de choix: murir prématurément ou/et refuser toutes actions les différençants des autres enfants.

Le bonheur des surdoués c'est les portes qu'il forment entre leurs mondes et le monde où vivent le reste de la population, elles sont d'ailleurs également leurs boués de sauvetage.
Ces quelques lignes, non exaustives evidemment, peuvent expliquer les grandes différences de déroulement et de résultante à l'enfance d'un surdoués. Maintenant quant à ces instinct grégaire pseudo-élitiste qui voudrait que nos enfants soit tous des surdoués, je pencherais plutot pour un simple reflet de notre société: toujours plus fort, toujours plus haut, soit le meilleur et fait nous honneur.
Personnellement maintenant.
Je n'ai jamais voulu sauter de classe pour rester avec le peu d'amis que j'avais, et pour quelques lacunes en orthographe que vous avait pu remarquer.
Il est très difficile de suivre une scolarité normale quand chaque acquis, depuis la primaire, deviens une discussion argumentée prof-éléve (sans "s" car les autres élèves comprennent tous juste la notion discuté).
Les instituteurs appuiés par la suite par les parents d'élèves mon commander de me taire puisque de toutes façons je connaissais presque toutes les notions du programmes (parfois mieux que les instituteurs) et que pour le restes je le comprennais avant même qu'ils aient finis les expliquations.
Rejetés des adultes, rejetés des enfants, je me suis adapté(très grandes capacité de la vie), sinon cela m'aurait mener au suicide. ...ils sont trop différent...
Au collège, je me suis faits passé pour un rigolo-sportif;
j'étais d'ailleurs très bon en sport également... Mais mes passions de l'époque été plutot décalée par rapport à mes camarades. Quand eux fumaient, couraient derrière le sexe opposé, ou faisaient le mur pour aller à la boum organiser par un tel, je préfèrais perfectionner mes notions de physique quantique, lire ce que Freud avait écrit sur la vie en socièté, ou même tout simplement jouer au scrabble ou au trivial pursuit avec ma mère.
Au lycée est venu une prise de conscient: ...je suis trop différent et inapte à la vie sociale.... J'ai donc inconscientament pris sur moi de changer, et de devenir un "enfant normal". Entreprise utopique... mais il est possible de bloquer son cerveau et même de le faire régresser dans ces capacités intellectuels par la fainéantise(ralentis sement des processus) ainsi que par oubli du passé (effacement des acquis).
Opérations psychiques inconscientes mais très éprouvantes voire douloureuses. S'en suit donc un epuissement qui boucle ce cercle de régression intellectuel.
Résultat: 5 années de lycée dont un premier passage au bac avec un résultat de 2.48 et une dispense pour raison de "conditions psychiques défavorables"pour la deuxième année de terminale S.
Cela fait donc 2 ans que je suis demandeur d'emploi sans diplome et sans expérience, que je n'ai pas réussi a briser ce cercle régressive. Je garde toujours une logique et une vision du monde très particulière amplifier par diverses problèmes d'ordre psychologique voire psychatrique, ainsi qu'un Q.I. supérieur à 150 sur l'échelle de Wechsler. Cette enfance si particulière, je les somatisé ce qui n'arrange rien.
Le suicide qui est présent dans mon esprit depuis l'age de 7 ans, après de longues periodes à en être passé très près, et maintenant réservé au jours de "cafard mutant" (espèce de gros cafard sortant avec l'arrivé de l'hiver )
Je ne témoigne pas pour vous attristez ou pour me faire plaindre(je déteste ça) mais plutot parce-que je considère que le savoir et la connaissance doivent être partager si on veut avancer vers un monde plus ouvert et comprehensif.
Comprendre est pour moi beaucoup, beaucoup plus important que de juger car cela permet un échange à l'égale, et pourquoi pas amical, plutot qu'un réquisitoire.
En espèrant avoir pu éclairer sur certains points les personnes qui auront eu le courage de lire mon message vu sa longueur. ( c'est bientot fini ) Je rappellerais pour finir que mon exemple n'est qu'un parmis tant d'autres et n'est donc pas une vérité générale.Et que toute vision des choses par définition n'est que subjective, y compris la notion de surdoués; même si là je parle de subjectivité collective.
Sur ceux, à une prochaine sur les différents forums.

La discution sur le forum est ici.


J'ai gardé l'écriture telle quelle sans corriger les fautes d'orthographe.

Abbé Pierre ., un an après sa mort.

Hommage à l'abbé Pierre


Un an après la disparition de son fondateur, la Fondation rend hommage à l'abbé Pierre :

Le slam de Hakim

... raconte le combat de l'abbé et le quotidien des personnes à la rue.
"Cette chanson jette un pavé pour faire rentrer dedans ceux qui sont dehors."



Livre d'or

Le livre d'or de l'abbé Pierre

la Fondation a tenu à rassembler 365 messages, témoignages de sympathie et de reconnaissance, parmi les milliers reçus pendant plusieurs semaines l'année dernière.

Editions Embrasure/DDB
160 pages, 19 euros.

En librairie à partir du 7 février 2008

>> En savoir plus

Clip 22 janvier

Le combat continue

Diffusion gracieuse pendant toute la journée d'un spot, "Le combat continue", réalisé par Michel Nougué sur M6, W9 et Paris Première.

Nolwenn Leroy, Patrick Bosso, Véronique Mounier, Aïda Touhiri et Marc-Olivier Fogiel ont participé bénévolement au tournage.

Sur le site du Secours Populaire

La misère et la pauvreté dans les villages de France

Méconnue, cachée, la misère existe bel et bien dans les campagnes françaises. Denis, "vivant dans un coin du sud de la France", a laissé un témoignage émouvant sur le forum "Le dire pour agir".

Les Cahiers et le forum "Le dire pour agir" permettent au Secours populaire de collecter des témoignages de personnes en difficulté et ce, pour mieux comprendre leurs besoins et leurs attentes… Ce moyen d’expression est une porte ouverte aux idées nouvelles, pour une société plus solidaire.

Emouvant, pénible, voire poignant, chaque témoignage mérite une attention particulière.
Denis, "vivant dans un coin du sud de la France", a laissé l'un d’eux sur le forum "Le dire pour agir". Il parle de la misère et de la pauvreté dans les villages de France, préoccupation qui fut au coeur du Congrès national du SPF les 23-24 et 25 novembre 2007, et dont le thème était "France et monde, solidarités dans les zones rurales".

Le témoignage de Denis

"Bonjour à tous d'abord,

Je me présente, je m'appelle Denis, j'ai 37 ans, je vis dans un coin du sud de la France... Je voudrais par ces quelques lignes parler de la précarité et de la misère dans les villages de France.
A la télé, dans les médias en général, on nous parle des pauvres dans les villes comme Paris, cela c'est la misère qui se voit aux yeux de tous...
Maintenant il y a une autre misère, celle qui ne se voit pas, celle qui est cachée, au fin fond des campagnes françaises. Celle-ci est terrible, terrible parce qu’elle est isolée aux yeux de tous, cachée, bien cachée même, dans des petits villages où services publics et autres ont disparu.
Cette misère là est cachée parce que ceux qui la vivent ont honte de dire qu'ils n’ont que le RMI pour vivre, qu'ils ont aussi des coupures d'électricité, qu'ils vivent sans chauffage, sans lumière, sans manger à leur faim et vivant dans des logements insalubres...
Et puis, il y a sans cesse cette peur au ventre d'être "insulté" dans les ruelles du village parce qu’il y a un RMiste qui y vit. Et bien cette vie-là est bien réelle, elle est réelle parce que cela est mon quotidien. J'habite dans un petit village du département du Gard, je suis seul, sans famille, sans ami. Avant j'avais un boulot. J'ai travaillé 13 ans à l'usine et j'ai eu un accident dans la vie. Maintenant je me retrouve au RMI avec des difficultés.
Les fêtes de fin d'année, je les ai passées seul, mais on se dit qu'on a encore de la dignité, un honneur à respecter. Alors on ne demande rien à personne, même pas un bout de pain, et pour pouvoir s'acheter quelque chose, et bien on économise pendant une année. L'autre jour, je me suis fait insulter parce que chez moi, je possède un ordinateur connecté à Internet, en disant, que c'est du luxe, pour vous dire à quel point les gens deviennent méchants. Enfin bref, si à l'heure actuelle le fait de posséder un ordinateur est un critère de luxe, et bien où va-t-on ?
Voila j'espère que mon témoignage représente aussi tous ceux qui sont dans la misère, et qui vivent dans les petits villages de France.

Cordialement à tous et bonne année 2008.

Merci au Secours populaire français qui, par ce site Internet, permet à des gens isolés de se faire entendre."

Denis

Un site pour enfants précoces.

Notre enfant fut décelé tardivement, trop tardivement pour mettre en place des automatismes qui auraient pu lui épargner de nombreuses difficultés. Des difficultés avec le mode d'apprentissage proposé par notre système éducatif et des difficultés sur le plan de l'intégration sociale. Considéré comme un "extra-terrestre" aux yeux de ses camarades et enseignants, notre enfant s'est même cru "fou" dans ce monde qui ne le comprenait pas. Les soucis existaient aussi sur le plan familial, le cantonnant parfois à une maladresse de parents ignorants.
L'année de son entrée au collège, notre fils a fini par s'enfoncer dans la dépression face au mutisme du corps enseignant qui ne consentait "nourrir un éléphant seulement brindilles par brindilles".

Depuis quatre ans nous avons fait du chemin. En position de parents conscients, nous sommes enfin capables d'apporter les outils nécessaires au bon développement de notre enfant et nous sommes heureux de constater des changements. Le voici plus serein et prêt à croquer la vie !

Ce site fut réalisé dans un premier temps pour informer notre entourage familial ainsi que les enseignants croisés sur notre chemin. Il s'agit donc d'un regard personnel établi avec une expérience de maman d'enfant précoce. Le contenu évolue ainsi au fil de cette expérience. Ce site est aujourd'hui destiné à aider toutes personnes confrontées à la particularité des enfants précoces. Que vous soyez parents ou enseignants, vous trouverez ici des réponses à vos interrogations, des explications, des références et des adresses utiles pour vous permettre de faire les bonnes démarches.

Je remercie les parents qui m'envoyent régulièrement des messages de sympathie et je m'excuse pour les demandes d'informations qui seraient restées sans réponse. Mon emploi du temps ne me permet pas toujours de répondre... Vous pouvez cependant trouver les informations nécessaires dans le site ou en contactant une association de votre choix dans la liste des liens utiles du site.

Comme je suis webdesigner et que "chaque individu est différent des autres et qu'Internet doit être adapté à tout le monde.../..." je tente de réaliser un site de plus en plus convivial en suivant une politique d'accessibilité de plus en plus proche des normes actuelles. Je suis également ouverte à toutes suggestions ou participation pour faire évoluer ce site.

Pour information : Ce site n’est lié à aucune association, parti politique, groupement, congrégation, etc..
Parents d'enfants précoces , je vous invite à visiter le site de " l'ENFANT PRECOCE."



Pour Max , la précocité fut découverte assez tôt mais cela n'a rien changé à la difficulté car , lorsqu'un handicap vient se rajouter à la différence intellectuelle, les repères sont encore plus flous.

Aujourd'hui , et nous en reparlions ce matin , Max me faisait remarquer que le centre adapté , bien qu'il lui convienne pour quelques raisons, n'est pas la panacée.

Personne ne se moque de lui mais il n'a pas plus d'amis que dans le classique , il est trop fort en classe. Près de 17 de moyenne générale pour le dernier trimestre.

Les cours adaptés sur le plan moteur le rassure mais il a le vague sentiment de ne pas être au niveau du classique. Ce qui , dans son cas, n'est pas très inquiétant car il a largement les moyens de récupérer , voire de dépasser les autres.

Ce qui provoque son sentiment d'étrangeté , je crois que c'est aussi cette différence de réflexions, de façon de penser, de voir la vie.

Max EST différent. Tous ses profs le sentent, disent.

Les profs de maths sont heureux de l'avoir dans leurs cours. Pour eux , c'est comme un cadeau , la cerise sur le gâteau.

Sa façon d'apprendre est rapide , précise, efficace.

A tel point que le prof de maths que Max avait en soutient l'an passé en complément des cours du CNED est venu de Montauban à Ramonville , lui soumettre quelques problèmes de mathématiques et lui donner un cours. Comme ça , pour le plaisir (120 km aller-retour).

Mais c'est pour Max , une revanche sur le handicap.

Ce handicap qui le fatigue , l'empêche de faire ce qui lui plait.
Sa passion : la voiture. Il aurait voulu être pilote de course !

Mais il est tellement fatigué par les heures de présence en établissement que lorsqu'il rentre , il ne fait plus rien .

Il n'en a plus l'énergie.


L'idée d'aller faire du kart ( il y a une association qui les adapte pas très loin de chez nous ) le séduit mais il ne s'en sent pas le courage !

Et pourtant ,cela l'aiderait énormément à reprendre confiance ne lui , il en a besoin.
Car le fait d'être trop différent le déstabilise , l'empêche de canaliser toute son énergie positive .

22 janvier 2008

Humain et Terre.









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Trouvé sur le site de Attention A La Terre. Un moteur de recherche qui donne 1 euro à chaque clic à une association humanitaire.

Chez Nicolas J



Je viens de lire avec stupeur et merci pour l'info que nous descendions du pin goin
Il y a le pin syvestre, le pin parassol , le pin deslandes et donc le pin goin.
Voilà le scoop de la journée !
Bonne journée à vous tous et à moi-même !

L'APF mène l'enquête.

Actualités
Enquête sur les besoins en adaptation scolaire et scolarisation des élèves handicapés

La loi du 11 février 2005 a donné au CNEFEI (Suresnes) le statut d'Institut national supérieur de formation et de recherche pour l'éducation des jeunes handicapés et les enseignements adaptés (INS HEA). A ce titre, il intervient au coeur du dispositif de l'adaptation scolaire et de la scolarisation des élèves handicapés à besoins éducatifs particuliers. Il assure tout particulièrement la formation des enseignants du 1er et du 2nd degré qui s'orientent vers l'enseignement spécialisé.

Aujourd'hui, pour mieux répondre à l'ensemble de ses missions, l'institut enquête en ligne afin de mieux saisir les besoins en information de toutes les personnes concernées par la scolarisation des élèves en situation de handicap, de maladie ou en grande difficulté scolaire.


Les résultats de cette enquête seront communiqués sur le site de l'Association des paralysés de France au mois de juin.

Sur le site de SOSSES

Alors que les places financières dévissent( j'aime bien ce billet d'éconoclaste), SOS...SES...prend de la hauteur avec une conférence de Michel Serres (philosophe).
Via JP-blog, j'apprends que le 11 décembre 2007, Michel Serres, à l'occasion des 40 ans de l'INRA, donne une conférence sur la révolution culturelle et cognitive engendrée par les nouvelles technologies.

La suite sur Sosses.A consulter sans modération.

21 janvier 2008

Méditation

« Celui qui déplace la montagne, c’est celui qui commence à enlever les petites pierres. »

Confucius

20 janvier 2008

Sur le site de la FCPE, quelques notes à consulter.

* PE 31 (4 page départemental)
PDF - 163 ko
PE31 n° 355 - Décembre 2007
PDF - 197.4 ko
PE 31 n°354 Octobre / Novembre 2007
PDF - 250.1 ko
PE 31 n°353 Septembre 200

Sur le site de la FCPE

Adresse

100 avenue Frederic Estebe

31200 TOULOUSE

Télephone

05 34 40 57 70

Fax

05 34 40 57 79

Événements :


Les 26 et 27 janvier 2008 - Ecole et handicap : quelles réponses ?
"Ecole et handicap : quelles réponses ?" organisé par le comité régional FCPE d’Ile-de-France, les 26 et 27 janvier 2008 au Lycée Honoré-de-Balzac (accueil à partir de 8h30)
(118, Bd Bessières, Paris 17è – Métro : Porte-de-Clichy).
Bulletin d’inscription à retourner à la FCPE IDF, 14 rue d’Astorg 75008 Paris
Téléchargement de l’inscription au http://www.fcpe75.org ou Renseignements au 01 42 65 05 98,
10/11/12 mai 2008 - Congrès national de la FCPE
En 2008, le congrès national de la FCPE aura lieu à Epinal.