Rechercher dans ce blog

26 juin 2008

Absence de 2 ou 3 jours. Je serai là.

27-28 juin : Assemblée générale statutaire de l'AFM et Journées des familles
Vous serez plus de 2 300 à vous retrouver au Parc Floral, de Paris, pour suivre l'Assemblée générale statutaire de l'AFM et participer à ses Journées des familles.
Au programme de ces deux jours : une plénière d'information "Refuser, résister, guérir : hier, aujourd'hui et demain" (vendredi de 14h30 à 16h30) retransmise en direct sur le site AFM, un village d'information avec des rencontres médecins-chercheurs, des projections-débats... L'Assemblée générale statutaire se tiendra samedi de 14h à 16h. Les adhérents qui ne pourront pas y être présents pourront la suivre sur le site AFM, dans leur espace réservé.

Vivre, naître et mourir (suite): une histoire de resistance.

en complément de ce billet là. En plus il y a une pétition à lire et signer.
menfin !

Vivre, naître et mourir.



Naître, vivre, mourir.


L'humanité est maudite si, pour faire preuve de courage, elle est condamnée à tuer éternellement.

Jean Jaurès.




Une Autre Vie : Economie sur l'assurance maladie.

Des économies sur l'assurance maladie ?

Des économies ??? Alors que le directeur de l’assurance-maladie estime à 250 millions d’euros son plan de déremboursement, le déficit de l’assurance-maladie pour 2009 sera de l’ordre de 7 milliards. On remet en cause un des principes essentiels de l’assurance-maladie, la solidarité avec ceux qui sont atteints d’affections les plus graves, pour une mesure qui ne sera pas en adéquation avec le problème de financement des soins posés.

Il faut bien comprendre que les choses ont changé, que les dépenses de santé augmentent, en raison de la démographie et des progrès de la recherche médicale, que le traitement des pathologies lourdes ( les affections de longue durée ) a changé. Il est donc effectivement urgent de réorganiser le dispositif de remboursement des soins en faisant que tous les acteurs de la santé prennent leurs responsabilités.

Il faut que le prix des médicaments baissent !!

Mais le problème, c'est qu'il ne suffit pas de proposer des dérembourssements de soins pour croire que mécaniquement le prix des médicaments va baisser ou que les mutuelles vont plus rembourser...à ce petit jeu et ce manque de décision courageuse de la part du gouvernement, ce sont bien sûr les français qui paient à l'arrivée ! (d'autant plus que depuis l'application des franchises médicales et les premiers déremboursements intervenus sous le gouvernement Raffarin, tous les français n'accèdent plus aux soins ! Tous les français n'ont pas la CMU ou une mutuelle !)
Enfin je rappelle qu'en 2000 les comptes de l'assurance maladie était en excédent ! (avec une conjoncture économique permettant d'injecter de l'argent sans pour autant trouver l'équilibre budgétaire, mais il faut savoir ce que l'on veut !!! L'Etat n'est pas une entreprise qui doit être rentable !) Le déficit de l'assurance maladie c'est 7 milliards d'euros soit 1/3 du financement de la loi Tepa et du bouclier fiscal (les cadeaux fiscaux).

Voici le témoignage de jophonge qui m'a touché et qui justifie pour moi la nécessité d'une solidarité maintenue à un haut niveau, dans l'assurance maladie :
...Etant épileptique , et prenant des médicaments depuis 1965 , je rejette cette façon de procéder et préfère prendre certains comprimés qui ne sont en rien des potions magiques , mais limitent les effets négatifs de cette maladie . Alors que l'épilepsie temporale (la forme la plus résistante aux comprimés ) devrait m'amener à n'y voir que les aspects négatifs je m'insurge contre ceux qui veulent voir chez les médecins des "dieux capables de soigner tout avec une baguette magique" !!! Les neurologues ont compris que la guérison ne devait pas être le seul but pour tous les patients mais aider les patients à mieux vivre avec cette Merde de Maladie !!! Je ne demande pas à certains bien portant de me comprendre , il est plus logique que leur machines enraye vers les 60/65 ans , profitez de votre vie en bonne santé mais arrêtez de nous donner des leçons sur "Comment vivre quand on est malade " et si vous refusez la solidarité , je n'ai pas à vous convaincre , vous êtes libre pour le moment ,mais ne croyez pas que votre belle machine ne vous rappellera pas que vous êtes des malades en puissance !!!!

A signaler: Question irlandaise et constitution.

Images " la bulle immobilière « a laissé l’Irlande avec un endettement des ménages effrayant, à hauteur de 176% du PIB. Le pays fait maintenant face à un quadruple choc : une contraction de crédit, une hausse des taux d’intérêts depuis Francfort, un plongeon de la livre sterling et du dollar, et un net ralentissement de ses exportations sur les marchés anglo-saxons. » "

On peut rajouter que l'Irlande va connaitre aussi les joies de n'être plus subventionnée par l'Union européenne (c'est un des pays les plus riche par tête), de n'être plus à la tête du dumping fiscale (certains font mieux qu'eux désormais) et la joie énergétique d'être complètement décentrée du centre du continent européen.

Lire la suite...

25 juin 2008

Enfants de professeurs sur le même pieds d'égalité avec les autres?

Victor, un élève de CP, a parié que M. Martin, le nouveau maître de la classe, allait tourner sa moustache avec ses doigts et qu'il enlèverait ses chaussures. Et M. Martin l'a fait. Victor serait-il un devin ou, comme il l'affirme, a-t-il le pouvoir mystérieux de faire faire ce qu'il veut à son professeur ? s'interrogent ses camarades avec fascination et un brin d'inquiétude. Non, rien de tout cela. En fait, Victor, le héros du roman des Premiers j'aime lire (Bayard) de septembre, est simplement... le fils de M. Martin. Car, on l'oublie parfois, les enseignants ont aussi des enfants. Et pour cette classe à part, la frontière entre la maison et l'école devient poreuse. D'autant plus si les uns et les autres se croisent dans le même établissement ou encore se retrouvent ensemble dans la même classe !

Combien d'enfants vivent-ils leur scolarité en famille ? Combien sont-ils à s'entendre dire : «C'est pas juste, ta mère t'aide» ou «Fais gaffe, ton père va le savoir» ? Aucune enquête ne permet de le dire avec précision, mais les résultats du recensement de la population de 1999 donnent une indication. Ainsi, sur les 11 millions d'enfants âgés de quatre ans à dix-huit ans, 601 000 ont déclaré avoir une mère enseignante ou institutrice et 385 521 un père enseignant ou instituteur.

Les enfants d’enseignants ont plus de chances que les autres de suivre un parcours scolaire sans faute.

Une minorité, certes, mais qui n'en est pas moins particulière. Ces parents profs sont-ils des parents comme les autres ? Leurs enfants, des enfants comme les autres ? Comment les uns et les autres portent-ils et supportent-ils leur double casquette ? Les seules études objectives sur cette catégorie à part s'intéressent à la réussite scolaire des élèves d'enseignants. Là, les chiffres le confirment, naître fils ou fille de prof est une valeur sûre : les enfants d'enseignants ont plus de chances que les autres, quels qu'ils soient, de suivre un parcours sans faute. De la maternelle au supérieur, ils se concentrent dans les meilleures filières (il arrive qu'ils soient regroupés dans les mêmes classes !), ils ne «décrochent» presque jamais, ne suivent que marginalement des études professionnalisantes et sont surreprésentés dans les plus grandes écoles. Ainsi, selon l'évaluation du ministère de l'éducation nationale, ils représentaient 7,6 % des admis à la session 2003 du bac général, mais ont fourni 8,9 % des mentions «assez bien», 12 % des mentions «bien» et 17 % des mentions «très bien». Comment s'explique ce phénomène général qui perdure de génération en génération ? «La raison principale réside dans le fait que tous les parents qui exercent le métier d'enseignant sont des initiés, explique Marie Duru-Bellat, sociologue à l'université de Bourgogne et chercheur à l'Institut de recherche sur l'économie de l'éducation (Irédu). Comme ils sont logiquement les mieux informés sur le système scolaire, à chaque fois qu'il y a un choix à faire, ils font le bon», observe-t-elle.

Une explication admise par les intéressés eux-mêmes. Pour autant, doit-on considérer que tous les parents-profs vivent leur condition à l'identique et se comportent de la même manière avec leurs enfants ? «Non, affirme Marie Duru-Bellat, car il n'existe pas de profil type du parent prof et de l'enfant de prof.» En effet, comme tous les parents, ceux qui enseignent les mathématiques, les langues ou le dessin ont un tempérament, une histoire, des convictions et des valeurs qui leur sont personnels. Et comme tous les élèves, ceux qui rejoignent leurs parents sous la bannière de l'école sont d'abord des enfants, eux aussi uniques et tous différents. Chaque situation, chaque attitude éducative est le résultat de la combinaison de multiples facteurs. Ainsi, Anne, professeur de lettres dans un lycée de Marseille, est particulièrement attentive à développer chez ses enfants d'autres qualités que les seules qualités intellectuelles, telles que l'engagement, le sport et l'expression artistique. Au point que Charlotte, son aînée, actuellement en troisième n'hésite pas à dire à son propos : «Maman, c'est un prof super-cool avec nous. Elle nous répète sans cesse : "Ce n'est pas seulement l'école qu'il faut aimer, mais la vie."» Il est vrai que cette mère prof qui déborde de vitalité a grandi auprès de parents profs qui, selon elle,

«ne pensaient qu'aux notes et ne jugeaient leurs enfants qu'à travers elles». «J'avais l'impression que toute une partie de moi-même n'était pas aimée ni encouragée, avoue-t-elle, et je n'ai pas voulu reproduire la même chose avec mes enfants.» Autre exemple, celui de François, professeur d'éducation physique et sportive dans un collège situé en zone d'éducation prioritaire et père de deux filles dont la première vient d'entrer en CP. «Quand je discute avec l'autre professeur d'EPS (éducation physique et sportive) du collège, dit-il, je réalise que nous n'avons pas les mêmes valeurs. Ainsi, pour moi qui fus élevé à la dure, comme on dit, la notion d'effort a toujours été plus importante que les résultats, alors que pour lui, "seul le résultat compte". Bien évidemment, cette différence se retrouve dans notre manière d'enseigner et d'élever nos propres enfants.»

Lire la suite...

j'ai des amis dans l'enseignement. Ces parents n'aident pas plus leurs enfants que les autres. Par leur fils jugé très en avance a obtenu un saut de classe sans difficulté ni rien à prouver.
Je sais à quel point ils tiennent à la démocratie de l'enseignement, eux ne demande rien mais on leur propose des solutions que d'autres n'arrivent pas obtenir.

Sur le site de Déclic Magazine.


Quatre nouveaux guides Déclic pour accompagner les familles
Actualités du handicap > handicap et famille

Nouveaux guides Déclic
Faciliter la vie quotidienne, partager les expériences et les émotions des familles, découvrir les meilleurs soins et les méthodes efficaces, décrypter le "monde du handicap", parfois si opaque... Tout ce qui fonde la démarche du magazine Déclic est aujourd’hui décliné dans trois nouvelles collections de guides : « Mon enfant » autour d’un handicap ou d’une pathologie ; « Vie quotidienne » pour aider l’enfant à gagner en autonomie et « Point de vue » pour donner la parole à des parents ou des professionnels.

Témoignages, reportages photos, cas pratiques, conseils de pros, chroniques, ressources, la mine d’informations recueillies depuis quinze ans par l’équipe de journalistes de Déclic a été réactualisée et ordonnée pour toujours mieux vous accompagner.

Des proches d’enfants handicapés se racontent


couverture par amour pour nos enfantsInjeno (Initiatives de parents de jeunes épileptiques du Nord) est une toute jeune association, mais elle offre déjà aux parents des services et outils multiples. Sa dernière réalisation ? Un recueil d’une quinzaine de témoignages de proches d’enfants handicapés, des mamans surtout, mais aussi des papas, des frères ou des sœurs : Par amour pour nos enfants.
Lire la suite...
A ses côtés à l’hôpital


Site fondation Ronald McDonald
« Ici, c’est comme une deuxième maison, je peux faire la cuisine, rester indépendante, m’isoler si j’en ai envie ou au contraire échanger avec d’autres parents dont l’enfant est également hospitalisé

24 juin 2008

La France va bien

D'un côté on nous abreuve d'une propagande sur le pouvoir d'achat, voir Une Autre Vie et
Toulouse By Blogs et de l'autre, on forme le projet de baisser les remboursements de la Sécurité Sociale.
Jusqu'à quand allons-nous accepter de nous faire entuber?
Jusqu'à quand allons-nous servir de vaches à lait?
Cela n'empêche pas que certains trouvent encore la France trop cher et partent s'intaller à Monaco.
On y paye encore moins d'impôts.

23 juin 2008

Maladies neurolmusculaires: la fatigue enfin reconnue.



La fatigue est parfois le premier et le seul symptôme de la maladie neuromusculaire. C’est un sentiment subjectif et diffus, qui la rend difficile à appréhender. Pourtant toute fatigue est vraie et repose sur une base physiologique de plus en plus connue. Trop souvent négligée, elle a fait pour la première fois l’objet d’une session dédiée.

La fatigue dans les maladies neuromusculaires est à la fois une fatigue musculaire et centrale, rappelait Guillaume Millet de l’université Jean Monnet à Saint-Etienne. Il existe en effet des modifications des messages nerveux au niveau du cortex cérébral et de la moelle épinière, qui expliquent pourquoi la fatigue n’est pas seulement la résultante d’une faiblesse musculaire.
Les scientifiques manquent d’outils pour l’évaluer de manière objective. Même pour les malades, la fatigue n’est pas facile à décrire. « Cela reste une expérience complexe et difficile à expliquer», rappelait Benjamin Gallais, psychologue à l’Institut de Myologie (Paris). Beaucoup de malades hésitent d’ailleurs à en parler. La fatigue est trop souvent assimilée à de la fainéantise et ils ne souhaitent pas subir ce type de stigmatisation.
Il est cependant important d’en parler pour la prendre en charge rapidement. La fatigue limite en effet l’activité et le manque d’activité augmente la fatigue en retour : il faut éviter qu’un tel cercle vicieux se mette en place.
Aujourd’hui, les praticiens sont davantage sensibilisés à l’importance de ce symptôme, ce qui devrait faciliter le dialogue. Le psychologue est également présent pour aider le malade à en parler. « Son rôle est de permettre de mieux comprendre ce qui relève du subjectif, à travers son histoire personnelle, ses représentations », explique Benjamin Gallais.
La fatigue n’est pas un symptôme anodin. Le Dr Léonard Féasson et deux de ses patients se sont prêtés en direct à un jeu de questions/réponses pour en témoigner. Elle affecte toutes les composantes de la vie : comportement (limitation des activités), affect (image de soi, sensation d’échec), humeur (impatience, tension), capacités cognitives (mémoire, concentration), sensations (manque d’énergie, perte d’élan)… D’où l’importance de l’évaluer et de la prendre en charge. « Il ne faut pas oublier la fonction protectrice de la fatigue », a insisté Benjamin Gallais. « C’est un signal d’alarme qu’il faut savoir écouter et comprendre ».

> Vidéo : Le Dr Léonard Féasson, médecin à la consultation maladies neuromusculaires du CHU de Saint Etienne, a présenté la fatigue comme un symptôme à part entière de la maladie neuromusculaire, certes difficile à cerner mais lourd de conséquences.



> Vidéo : Le Dr Léonard Féasson a donné la parole à deux de ses patients au cours de la session. Eliane et Roger ont été amenés à « disséquer » leur fatigue pour mieux en comprendre les conséquences. Un partage d’expérience unique dans un congrès de professionnels.



> Vidéo : Benjamin Gallais, en thèse à l'Institut de Myologie (Paris), parle de cette plainte récurrente des malades avec son regard de psychologue.



Benjamin Gallais a également présenté les premiers résultats d’une étude (2008) qu’il mène actuellement à l’Institut de Myologie sur la fatigue et la dystrophie myotonique de Steinert de type DM1.
• Les plaintes principales des patients :
- fatigue : 33%
- douleurs : 23%
- myotonie : 13%
- équilibre/chutes : 13%
- limite de la marche : 13%
- faiblesse musculaire : 10%

• 40% des patients sont au-dessus du seuil de somnolence, 73% au-dessus du seuil de fatigue excessive.

• Les études de corrélation restent à faire, mais les scores obtenus aux différentes échelles (tests de fatigue, psychopathologie et neuropsychologie) vont dans le sens d’un lien étroit entre fatigue et dépression, anxiété et troubles cognitifs. En effet, les patients fatigués ont souvent une anxiété (43%), une dépression (27%) ou des troubles cognitifs (70%) associés.

sources

Journées des FAmilles à l'AFM

27-28 juin : Assemblée générale statutaire de l'AFM et Journées des familles
Plus de 2 300 personnes se retrouveront au Parc Floral de Paris. Au programme de ces deux jours : une plénière d'information "Refuser, résister, guérir : hier, aujourd'hui et demain" (vendredi de 14h30 à 16h30) retransmise en direct sur le site AFM, un village d'information avec des rencontres médecins-chercheurs, des projections-débats... L'Assemblée générale statutaire se tiendra samedi de 14h à 16h. Les adhérents qui ne pourront pas y être présents pourront la suivre sur le site AFM, dans leur espace réservé.

27 septembre : Journée nationale sur les maladies neuromusculaires
Comme tous les deux ans, l'AFM organise une journée nationale sur les maladies neuromusculaires à destination des familles, le 27 septembre 2008, dans toutes les régions de France, sur le thème du conseil génétique. Si vous souhaitez y participer, rapprochez-vous de votre service régional pour vous y inscrire.


Une mise au point sur une dérive de commentaires.





Anonyme a dit...

Enfin un blog de gauche. Il est déjà bien sectaire. Sarko, c'est le diable. Il est à l'origine de tous les malheurs.
Pinocchio

20 juin 2008 19:34


le petit grognard a dit...

A Pino : toi ici !

21 juin 2008 00:46


Anonyme a dit...

Je suis trop con ! Je me suis laissé prendre par le titre.
C'est super chiant ces comptes blogger. On ne reprendra plus à laisser un commentaire ici.

Pinocchio

21 juin 2008 08:00

Mais Pinocchio est revenu le lendemain
Pinocchio a dit...

Les vrais Shadoks se trouvent sur toulousoscopie.

22 juin 2008 19:54

Christie a dit...

S'il vous plaît , que vous reconnaissiez le blog en question d'accord, mais ici, c'est MON blog et pas celui d'un autre ou d'une autre..
je vous prie de rester courtois. De toutes façon tant que l'on se battra les uns contre les autres, ce sera la pagaille.
Je suis de gauche, fondamentalement de gauche, bien qu'issue d'une famille de droite parfois conservatrice mais je me suis faite MA vision de la vie qui n'est pas Bisounours, tu le sais Petit Grognard..
J'ai suffisamment bourlingué pour savoir plus ou moins ce que je veux et en plus mes expériences sont édifiantes à droite comme à gauche.
(je mets plus ou moins tout le monde dans le même sac).
Nous sommes dirigés par des personnes qui ne savent même pas ce que vit monsieur tout le monde, quel que soit le parti.. Sarko effectivement comme les autres.
Et dire de Sarko ce qu'il y a dire, est normal, il se met en première ligne et prétend facilement être le Bon Dieu.
Or, il n'est que ce qu'il est (de la poussière à plus ou moins long terme) et que ça ne lui donne pas le droit de gouverner comme il le fait dans le mensonge pour préserver sa côte de popularité, bien que ce ne soit pas nouveau. Ils le font TOUS, quelque soit le parti.
Et tant que nous resterons nous dans cette gué-guerre des mots, des idées et du partisanisme, nous ne ferons rien de bon.
C'est à nous français de prendre notre vie en main (et nous en avons les moyens) pour faire évoluer notre vie.. Nous sommes les artisants de notre avenir et suffisamment intelligents pour le créer de façon plus humaine.
De ce point de vue là Bayrou avait raison.
Droite et gauche confondues peuvent travailler main dans la main à condition de se respecter et de trouver le consensus au-delà de notre partisanisme, j'insiste sur ce point.
Mais il faut le vouloir nous à la base.
Sommes nous mûrs ou ne le sommes nous pas ? Sommes-nous intelligents ou ne le sommes nous pas?
Je souhaite que oui du fond du coeur.
Le sectarisme vient de la profondeur de nos propres convictions.
Lorsque nous sommes nous-même sectaires, nous croyons le reconnaitre où que nous soyons.Et c'est cela qu'il faut combattre en priorité.
Il y a quelques temps, j'ai croisé une maman d'enfant en situation de handicap. Nous voulions agir en commun mais au cours d'une conversation, elle me déclare qu'elle est de droite.
Point final ce à quoi je répond que droite et gauche peuvent bine travailler ensembles. Et voilà qu'elle me dit "NON" tellement catégoriquement que du coup, je me suis dit que je n'avais rien à faire avec elle.
Elle a voté Sarko et râle parce que je veux témoigner sur l'année scolaire de mon fils mais elle tremble parce que Sarko a dans ses cartons la fermetures des centres pour handicapés (même s'il dit que non).. qui peut le croire, en tout cas elle ne le croit pas. Et du coup elle me demande de me taire.
Ce que je ne ferai pas. mais si nous acteurs de notre vie pouvons changer les choses, prenons -nous en main. et cessons cette guerre civile qui ne nous donnes rien.
Voilà, soyons plus intelligents qu'EUX. TOUS bords confondus.

21 juin 2008 09:02




Christie a dit...

A petit Grognard.
je ne sais pas quel est le blog cité par Pinocchio. mais ce n'est pas la peine de se rentrer dedans pour un titre de blog. par contre je suis allée lire Toulouscopie et ce que j'ai lu ce matin ne m'a pas laissée indifférente et même, j'ai trouvé que c'était bien exprimé.
et cela m'a rendu Pinocchio sur cet article bien sympathique.

21 juin 2008 14:16



Christie a dit...

finalement la réponse Pinocchio que j'avais cru intelligent me fait douter énormément quand à sa capacité à la tolérence..

23 juin 2008 10

C'est cet article là qui me donne envie de réagir.


Il y a en ce moment une dérive. Je le regrette.

République des blogs Toulouse )4(

Nicole Belloubet ne pourra venir mais sera représentée pour cette 4° République des blogs, vous pouvez ici ou dans les commentaires poser vos questions sur le thème de "La culture à Toulouse", ou les questions que vous aimeriez lui poser...

A vos claviers !

Gabriel

"Le budget fourni par la mairie pour la culture correspond pour le moment à 14% du budget global. Comptez-vous l'augmenter ?"

Dante

"Je suis membre d'une compagnie de théâtre amateur et lorsque j'ai contacté le Centre Culturel Henri Desbals pour proposer de venir y présenter notre création (spectacle), voici ce qui m'a été répondu: "Nos activités sont essentiellement basées sur la musique et nous n'accueillons que les professionnels"...
Deux questions:
1/ La Mairie de Toulouse considére-t-elle normal qu'un centre culturel toulousain oriente exclusivement ses activités sur un secteur de la culture alors qu'il a pour mission, à la base, d'être un lieu d'expression de toutes les cultures et de leurs multiples formes?

2/ Les compagnies de théâtre amateur parviennent difficilement à trouver des lieux pour présenter leurs créations. Quelles sont les propositions de la mairie de Toulouse pour faire face à cette problématique?"

Jacme

1 - Qu'es-ce que le tecnocràcia en matièra culturala ?
2 - ou est la politique pour l'emploi de l'occitan à la commune de Tolosa ?
3 - faut-il un chargé de mission pour l'occitan quand le budget pour l'occitan est déjà décrété en baisse ? Que faut-il penser du service communication qui ne sait pas employer l'occitan ?
4 - pourquoi les libraires de Tolosa ont été éliminé du Marathon des mots au seul profit de Leclerc et Renaissance ? Que doive penser les petits commerçants de cette iniciative économique pour le centre cité ? Une aide pour Nalhós/Nailloux ?
5 - quelle politique linguistique à Toulouse pour augmenter les cours d'occitan dans les écoles publiques de la ville ?
6 - quelle politique d'enseignement de l'histoire pour éviter que les architectes toulousains ne pensent que Montfort fut un grand homme pour la ville ? (cf le projet architectural Pierre & Passion à Auta(Riba)
7 - quelle politique d'enseignement de la geographie afin d'éviter que les tomates que les toulousains et toulousaines n'achètent viennent de Turquie ou de l'Adalousie ?
8 - la présence de M.Cohen auprès de M.Mélenchon, à Colomiers, alors qu'un débat de l'A.N. se déroulait sur les langues de France est-il un acte politique ?
9 - lo Conselh Regional prepausa un questionari sobre l'aumentacion dels poders de la region, que ne pensa la carga de la cultura ?
10 - Toulouse 2013 es en concurréncia ambe Bordeaux 2013, perqué par far aiçò junt alara que Bordèu vòl trabalhar ambe Bilbo e Tolosa ambe Barcelona ? Estauviar de l'enèrgia s'eriá pas estat rasobalba?
Son questions francament politicas. E las auriá pausadas tanben a l'anciana municipalitat se debat democratic i aviá agut.

22 juin 2008

Où les Shadoks nous expliquent comment pomper au mieux.


Je pompe cette fois encore chez Nicolas qui nous fait un
très joli lien.

Et qui nous raconte comment sa mère se retrouve à
l'hôpital en crise.

Il vaut mieux être jeune, riche et en bonne santé.

En attendant les Shadoks pompent et prient.

Rejoignez la campagne d’EAPN pour un revenu minimum adéquat !

Actuellement, 24 Etats membres sur 27 sont déjà dotés d’un mécanisme de revenu minimum; toutefois, ils pâtissent de nombreuses failles au niveau de leur accessibilité et de leur adéquation. Il est temps d’affirmer haut et fort qu’un revenu minimum adéquat est le prérequis fondamental d’une UE fondée sur la justice sociale et l’égalité des chances pour tous !

Le Revenu Minimum peut être défini comme un revenu non contributif garanti qui permet aux personnes, qui ne peuvent subvenir à leurs besoins, de recevoir un montant minimum de revenu en espèces.

Actuellement, 24 Etats membres sur 27 ont mis en place des régimes de revenu minimum; toutefois, il existe de nombreuses faiblesses au niveau de l’accessibilité et de l’adéquation de ces régimes.

La pauvreté n’est pas qu’une affaire d’argent (voir explicatif sur la pauvreté d’EAPN);néanmoins, disposer de suffisamment d’argent est une condition sine qua non d’une vie dans a dignité.

Les mécanismes de Revenu Minimum constituent également la pierre angulaire de la protection sociale.

Dans un contexte marqué par l’insuffisance des avancées dans la lutte contre la pauvreté, trois raisons poussent EAPN à faire campagne maintenant en faveur du revenu minimum:

  • Les régimes de revenu minimum ne sont pas accessibles à tous et les niveaux ne suffisent pas à garantir un niveau de vie décent.
  • Les mécanismes de revenu minimum sont assortis de plus en plus d’éléments de contrainte et sont associés à une image négative des personnes en situation de pauvreté; ce qui sape un des principaux éléments positifs du Modèle social européen.
  • La volonté européenne d’aller plus loin dans la question du revenu minimum se heurte à l’absence d’engagement politique.

Dans ce contexte, EAPN appelle les États membres de l’UE :

  • A reconnaître que les dispositifs de revenu minimum adéquat sont un élément essentiel du système de protection sociale et le fondement sur le quel construire une société décente.
  • A garantir à chacun le droit essentiel d’avoir accès à un revenu minimum adéquat qui lui permette de vivre dans la dignité.

Que pouvez-vous faire?

  • Informez-vous! Téléchargez les informations sur la question du revenu minimum (notamment une note d’information, etc.) disponibles ci-dessous.
  • Faites passer le message! Faites circuler le poster et le matériel de campagne, faites en sorte que votre organisation s’engage dans la campagne (voir le guide de campagne)

Nous vous tiendrons régulièrement informés du déroulement de la campagne tant au niveau européen que national. Nous comptons sur tous ceux et toutes celles qui se soucient de la justice sociale pour apporter leur soutien à la campagne.

Téléchargez le matériel de campagne:

  • Une brochure présentant la campagne d’EAPN pour “un revenu minimum adéquat”. Autres langues: Néerlandais - recto - verso.
  • Un poster et une carte postale de la campagne imprimables. Autres langues: Néerlandais - recto - verso
  • Une lettre type à envoyer à vos décideurs politiques au niveau national (Autres langues: Néerlandais - à usage du réseau national belge - à usage des organisations et des particuliers)
  • Une lettre type à envoyer à vos décideurs politiques au niveau européen;
  • Une note d’information présentant le contexte politique de la campagne d’EAPN ;
  • « Revenu minimum : mythes et réalités », une note du Professeur Veit-Wilson qui présente des arguments solides en faveur de l’idée qu’un revenu minimum adéquat est le prérequis fondamental pour une vie dans la dignité pour tous.
  • Un guide de campagne présentant une vue d’ensemble de la campagne d’EAPN pour un revenu minimum adéquat ainsi que des conseils et astuces sur le genre d’activités que vous pouvez organiser.
  • Fiche d'évaluation de la campagne à utiliser par les réseaux nationaux et les organisations européennes