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09 mai 2008

Nicoletta et le handicap de sa maman.


Nicoletta : "Je n'ai pas eu une maman comme les autres"
Actualités du handicap > handicap et famille

NicolettaDe Nicoletta, on connaissait l’enfance dans un milieu modeste, l’adolescence rebelle. On ne savait rien de Jeannette, sa maman déficiente mentale. On découvre dans La maison d’en face, le livre de souvenirs de la chanteuse, le lien profond et rare qui a uni la mère et la fille, au-delà des rôles traditionnels et des tabous de la France d’après-guerre.
La maison d’en face, éd. Florent Massot, 19,50 €
La rédaction de Déclic a rencontré Nicoletta le 27 mars, à Lyon, lors de son tour de chant gospel. Découvrez des extraits vidéo de l’interview.

Sur le site des surveillants de prison.

Retour sur la vie de Julien, qui s'est pendu en prison à Meyzieu

Article http://libelyon.blogs.liberation.fr/info/2008/02/retour-sur-la-v.html

On dirait une chambre d’enfant. Un lit bateau en bois, un poster de Charlot au mur, un singe en peluche près de l’oreiller. Julien avait 16 ans. Il s’est pendu samedi 2 février, dans sa cellule de l’établissement pénitentiaire pour mineurs (EPM) de Meyzieu . Il y était incarcéré depuis un mois et demi. Rachida Dati, en visite ce samedi à l'EPM, a demandé une enquête administrative. Le père de Julien aussi veut comprendre. Pourquoi son fils est mort dans cette prison, pourquoi il y est resté malgré plusieurs tentatives de suicide...

Cliquez pour voir la suite du texte
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Julien, 16 ans depuis septembre, est né d’un père qui s’appelait Mohamed mais a changé pour Sébastien, et d’une mère fragile, partie lorsque l’enfant avait huit mois. Elle a voulu le revoir, lorsqu’il avait 9 ans, mais il a refusé, a sauté par la fenêtre le jour où elle est venue. Il vivait chez son père et sa belle-mère, avec ses quatre frères, dans une assez grande maison d’un lotissement de Montélimar. «Il ne parlait pas beaucoup, dit Sébastien, technicien en radio protection dans des centrales nucléaires. Il était moyen à l’école, mais poli, respectueux. Il était gâté à la maison, il ne manquait de rien.» De rien sauf d’une mère.

08 mai 2008

Etre petit, ça coûte cher!

Quand je serai grand, je pourrai faire des économies ou sinon, je n'ai plus qu'à signer cela chez Nicolas.

La Bannière de Solidays.



Solidays 2008


Recommandé par des Influenceurs

En solidarité pour lutter contre le sida.
Pour que cette bannière n'ait plus lieu d'être!

07 mai 2008

Actucomage: Le discours anti-chômeurs, en comprendre les motivations.

>> Mobilisations, luttes et solidarités
Comprendre le discours anti-chômeurs.

Pourquoi 61% de Français sont-ils pour le durcissement des sanctions à l'encontre des privés d'emploi ? Pourquoi le gouvernement peut-il surfer sur cette vague aussi inique que répressive avec l'assentiment de l'opinion ?

Pourquoi, alors que l'argument des «500.000 emplois non pourvus» ne tient pas la route face aux 269.815 offres proposées ce jour sur le site de l'ANPE (en opposition à ses 598.234 CV disponibles, ses 1,905 million de chômeurs officiels et ses 3,85 millions d'inscrits), l'escroquerie intellectuelle continue-t-elle de fonctionner ?
Pourquoi, alors qu'à l'heure actuelle plus de 7 millions de personnes sont concernées par le chômage, le sous-emploi et la pauvreté en France, persiste-t-on à nous faire croire qu'elles en sont responsables et qu'il faut les contrôler ou les punir davantage ?
Pourquoi la majorité des chômeurs se sent, elle-même, coupable et non victime ?

Pourquoi, sur une banderole célèbre, les chômeurs - déjà considérés comme des déviants fraudeurs ou paresseux - sont-ils relégués au même rang que des pédophiles sans que cela ne choque ? Pourquoi accuse-t-on la porte sur laquelle on vient de se cogner d'être responsable de la douleur qu'on éprouve, et lui assène-t-on parfois un coup de pied supplémentaire ?

A lire d'urgence l'analyse du sociologue Renaud Tarlet : une démonstration limpide sur la façon dont, par besoin de cohérence quand il est confronté à une dissonance sociale anxiogène, l'esprit humain laisse le fantasme et le conformisme prendre le pas sur la raison et l'humanisme en s'inventant des boucs émissaires...

Une dangereuse tendance à la facilité qui nous rappelle qu'on n'est, effectivement, pas loin d'une époque qu'on se promet - en théorie - de ne jamais oublier, mais qu'en pratique on répète sans cesse en cas de crise. Entretenue, pour le grand bénéfice de ceux qui nous dirigent.

La Fin de la Pauvreté?

Le dimanche 18 Mai, experts, artistes, acteurs sociaux et citoyens se mobilisent autour du film documentaire « LA FIN DE LA PAUVRETÉ ? » de Philippe Diaz.

Ce film, écrit et réalisé par le cinéaste activiste Philippe Diaz, est sélectionné à la Semaine Internationale de la Critique dans le cadre de la Journée « Cinémas politiques ».

Il sera projeté officiellement le Lundi 19 Mai à 14h00 au Palais Miramar, et sera suivi d’un débat en présence des experts et du réalisateur.

Avec tant de richesses dans le Monde, pourquoi y a-t-il encore tant de pauvreté ?

S’aventurant au-delà des réponses « populaires » sur les origines de la pauvreté, « LA FIN DE LA PAUVRETÉ ? » se demande si ses véritables causes ne viennent pas d’une orchestration des pays riches pour exploiter les plus pauvres, de l’époque coloniale à aujourd’hui.

Les experts internationaux aussi bien que les victimes nous apportent des éléments de réponse, condamnant le colonialisme, l’économie de marché, la dette du tiers-monde, l’appropriation des terres et des autres ressources naturelles, qui entre autres condamnent les pays du tiers-monde et tous ceux qui s’efforcent de survivre dans un environnement toujours plus hostile.


N’est-il pas temps de se demander pourquoi aujourd’hui 25% de la population mondiale consomme plus de 85% des ressources de la planète ?

Marchons ensemble comme des affamés.

Journées nationales de lutte contre les maladies orphelines

Les 14 et 15 juin 2008 : Journées « Nez Rouge

Inscrites au calendrier national des appels à la générosité du public et initiées par la FMO, les journées « Nez Rouges » ont pour vocation de sensibiliser le grand public à la problématique des maladies orphelines et de collecter des dons dans un esprit de fête et de bonne humeur.

Les 14 et 15 juin prochains, le public sera invité à faire un don ou à acheter un nez rouge auprès des bénévoles de la FMO, mais également à venir partager des moments de solidarité lors d’événements festifs organisés dans plusieurs villes de France.

Placés sous le haut patronage de Monsieur Christian Poncelet, Président du Sénat, les « Nez Rouges » sont accueillis à Paris au Jardin du Luxembourg le samedi 14 juin prochain. Associations, malades et grand public sont conviés à une journée de solidarité et d’information autour d’un espace de rencontre et d’échanges, d’une exposition et d’animations familiales et conviviales.

Vous aussi participez aux « Nez Rouges » !

· En faisant un don pour aider les malades

· En organisant une action de soutien


06 mai 2008

GANDHI APPARTIENT A NOTRE AVENIR

Voici un article de Jean-Marie Muller à l’occasion du 60ème anniversaire de la mort de Gandhi.

Le 30 janvier 1948, vers cinq heures de l’après-midi, dans le jardin de la demeure où il réside à New Delhi, Gandhi se rend au lieu de la prière, un homme s’incline alors devant lui comme en signe de respect et tire sur lui trois balles de revolver. Gandhi s’affaisse et meurt aussitôt. Soixante ans après sa mort, quelle image les Occidentaux perçoivent-il de celui qui conduisit son peuple à l’indépendance ? Quelle idée se font-ils de la non-violence pour laquelle il vécut et mourut ? Certes, son nom et son visage nous sont devenus familiers et, ce¬pendant, sa pensée et son action nous restent largement méconnues. Généralement, nous nourrissons pour lui l’admiration lointaine que nous portons volontiers aux personnages que la légende a auréolés d’un halo de sagesse. Gandhi reste ainsi largement ignoré au milieu même de sa notoriété. Le prisme déformant de l’idéologie de la violence nécessaire, légitime et honorable qui domine notre culture nous fait encore percevoir la non-violence comme un idéalisme sans prise sur la réalité. Généreux, peut-être, mais irresponsable.

Gandhi faisait volontiers remarquer que la non-violence était aussi vieille que les montagnes. En effet, il n’a pas "inventé" la non-vio¬lence. Celle-ci s’enracine dans les plus anciennes traditions religieuses, spirituelles, philosophiques et sapientiales qui constituent le patrimoine universel de l’humanité. Gandhi revendiquera explicitement l’héritage des grands sages qui l’ont précédé dans la recherche de la vérité. Cependant, son apport est essentiel pour la compréhension de la non-violence. Il y a un avant et un après-Gandhi à la fois dans la réflexion philosophique sur le principe de non-violence qui fonde l’humanité de l’homme, et dans l’ex¬périmentation politique des méthodes de l’action non-violente qui permet¬tent la résolution pacifique des conflits.

C’est en 1920 que Gandhi traduit en anglais le mot sanscrit ahimsa par « non-violence ». Celui-ci est employé dans les textes de la littérature hindouiste, jaïniste et bouddhiste. Il est formé du préfixe négatif a et du substantif himsa qui signifie le désir de nuire, de faire violence à un être vivant. L’ahimsa est donc la reconnaissance, l’apprivoisement, la maîtrise et le renonce¬ment au désir de violence qui est en l’homme et qui le conduit à vouloir écarter, exclure, éliminer, meurtrir l’autre homme. Lorsqu’il tente de défi¬nir la non-violence, Gandhi énonce d’abord cette proposition toute négative : "La non-violence parfaite est l’absence totale de mal-veillance à l’encontre de tout ce qui vit." Ce n’est qu’ensuite qu’il affirme : "Sous sa forme active, la non-violence s’exprime par la bien-veillance à l’égard de tout ce qui vit."

Pour Gandhi, la non-violence n’est pas seulement, elle n’est pas d’abord une méthode d’action, elle est une attitude, c’est-à-dire un regard, un regard de bonté envers l’autre homme, surtout envers l’homme autre, l’inconnu, l’étranger, l’intrus, l’importun, l’ennemi, un regard aussi de compassion envers l’homme opprimé, celui qui subit l’injustice, l’humiliation, l’outrage. La non-violence est, selon Gandhi, le principe même de la recherche de la vérité. L’histoire est là pour attester, aujourd’hui comme hier, que la vérité devient un vecteur de violence dès lors qu’elle n’est pas fondée sur l’exigence de non-violence. Si la vérité n’affirme pas l’inhumanité absolue de la violence, alors il viendra toujours un moment où la violence apparaîtra naturellement comme un moyen légi¬time pour défendre la vérité. Seule, la reconnaissance de l’exigence de non-violence permet de récuser une fois pour toutes l’illusion, véhiculée par toutes les idéologies, de recourir à la violence pour dé¬fendre la vérité. La recherche de la vérité sur le chemin de la non-violence exige de mettre en oeuvre des moyens d’action qui soient en cohérence avec la fin poursuivie. Dans les conflits sociaux et politiques, la vérité doit se traduire par l’action. La force de la vérité est alors la force de l’action vraie, c’est-à-dire de l’action juste. L’apport décisif de Gandhi est de nous délivrer du choix bipolaire, imposé par l’idéologie dominante, où nous n’aurions le choix qu’entre la lâcheté et la violence. Cette idéologie exerce un véritable chantage sur nos consciences : si nous n’acceptons pas la violence, c’est que nous sommes des lâches. Dès lors, nous choisirons la violence pour ne pas apparaître lâches. Gandhi nous ouvre une troisième possibilité en nous proposant de choisir entre la violence, la lâcheté et la non-violence. Ne nous méprenons pas sur le sens de son propos. Il ne nous conseille pas de choisir la violence pour ne pas être lâche. Il nous conseille de choisir la non-violence pour n’être ni violent ni lâche.

L’humanité ne parviendra certainement pas à relever les défis auxquels elle se trouve confrontée aujourd’hui si elle ne rejoint pas les intuitions essentielles de Gandhi. Il nous invite à revisiter les héritages de nos traditions historiques - aussi bien philosophiques, religieuses que politiques -, et à prendre conscience de toutes les complicités que nos cultures ont entretenues avec l’empire de la violence. Nous pourrons alors mesurer l’urgence de développer une culture de la non-violence. Ce qui menace la paix, partout dans le monde et dans chacune de nos sociétés, ce sont les idéologies fondées sur la discrimination et l’exclusion - qu’il s’agisse du nationalisme, du racisme, de la xénophobie, de l’intégrisme religieux ou de toute doctrine économique fondée sur la seule recherche du profit - et qui toutes ont partie liée avec l’idéologie de la violence. Ce qui menace la paix, en définitive, ce ne sont pas les conflits, mais l’idéologie qui fait croire aux hommes que la violence est le seul moyen de résoudre les conflits. Cette idéologie enseigne le mépris de l’autre, la haine de l’ennemi, elle arme les sentiments, les désirs, les intelligences et les bras. Elle instrumentalise l’homme en faisant de lui un meurtrier à la conscience tranquille. C’est donc elle qu’il faut combattre en premier lieu. La violence ne peut que construire des murs et détruire les ponts. La non-violence nous invite à déconstruire les murs et à construire des ponts. Cette tâche est autrement difficile. L’architecture des murs ne demande aucune imagination : il suffit de suivre la loi de la pesanteur. L’architecture des ponts demande infiniment plus d’intelligence : il faut vaincre la force de la pesanteur. Les murs qui séparent les hommes ne sont pas seulement les murs de béton qui divisent la terre qu’il faudrait partager. Il existe aussi des murs dans le cœur et dans l’esprit des hommes. Ce sont les murs des préjugés, des mépris, des stigmatisations, des rancœurs, des ressentiments, des peurs. Seuls ceux qui, à quelque camp qu’ils appartiennent, auront la lucidité, l’intelligence et le courage de déconstruire ces murs et de construire des ponts qui permettent aux hommes, aux communautés et aux peuples de se rencontrer, de se reconnaître, de se parler et de commencer à se comprendre, seuls ceux-là sont des artisans de paix qui sauvegardent l’avenir de l’humanité. « La violence, affirmait Gandhi, est un suicide. » En ce début du XXIe siècle, le moment n’est-il pas venu de prendre conscience que la violence est décidément incapable d’apporter une solution humaine aux inévitables conflits humains qui constituent la trame de notre existence et de notre histoire, de comprendre que la violence n’est jamais la solution, mais qu’elle est toujours le problème ? Les images de fer, de feu, de sang et de mort qui constituent la matière première de l’actualité nous apportent chaque jour la preuve que la violence est incapable de construire l’histoire, mais qu’elle ne peut que la détruire. Face à la tragédie de la violence, face à son inhumanité, face à son absurdité, face à son inefficacité, le moment n’est-il pas venu, par réalisme sinon par sagesse, de prendre conscience de l’évidence de la non-violence ?

* Philosophe et écrivain, Jean-Marie Muller est le porte-parole national du Mouvement pour une Alternative Non-violente (MAN). Il est l’auteur notamment de Gandhi l’insurgé (Albin Michel) et du Dictionnaire de la non-violence (Le Relié Poche).

Source ici

05 mai 2008

Sur le site de AIPSH

LE COMBAT CONTINU !

Suite à la mobilisation de tous, handicapés, Auxiliaires de Vie, Syndicats, Élus Locaux, Associations et le soutien Citoyen. Les Pouvoirs Publics ont débloqué une Enveloppe Budgétaire à titre exceptionnel pour permettre au Service d’Auxiliaires de Vie de l’A.I.P.S.H de continuer à fonctionner pendant seulement quelques Mois .

Mais à ce jour, aucune décision écrite n'est parue !

Nous ne crions pas Victoire ! - Rien n’est gagné !

Ce sursis ne doit pas être un somnifère pour nous calmer et nous faire taire.

Nous restons vigilants. Il nous faudra encore, se mobiliser, se battre, pour défendre, le Maintien et la Pérennisation des SERVICES AUXILIAIRES DE VIE PRESTATAIRES, qui nous garantissent une Autonomie de Vie, une Sécurité, avec un Personnel qualifié, compétent et diplômé d’Etat.

Des tables rondes sont prévues. Les usagers du SAV, les familles, les Auxiliaires de Vie y participeront activement afin quelles ne soient pas seulement et uniquement réservées à des "Experts" et autres "Technocrates" de l’handicap. "

SIGNER LA PETITION C'EST DÉJÀ UN DÉBUT !

A;lire sur le Blog de Une Grosse Dame dans un Jardin Anglais.

Les pas perdus qui nous mènent en enfer

Ca a commencé un matin, vers 7h. Ca n'a pris qu'un instant, un petit instant où l'accident vasculaire cérébral a eu lieu. La seconde d'après, le vieil homme était étendu par terre, il ne parlait plus, il ne bougeait plus. Réaction, intervention, soins. Six mois plus tard et une hémiplégie gauche en cadeau, il sortait de la clinique de rééducation où il avait été assisté et entraîné à réutiliser sa jambe droite et à remarcher lentement mais surement.
Ce que je vais vous raconter maintenant, c'est ce qui s'est passé dans la vie de cet homme et de ses proches, ce que je vais vous raconter, ce sont ces petites étapes qui font que l'enfer devient plus proche à chaque instant, ce que je vais vous raconter, ce sont ces tentatives de tendre les bras plus loin, de porter la tête plus haut pour rester hors de cette masse bourbeuse et aspirante qu'est le handicap au quotidien.
Le passage de l'état valide à celui de handicapé est une chute vertigineuse, un gouffre sans fond, le gouffre de la dépression. L'homme, c'est un vieil homme, un homme qui a joui de chacun de ses membres pendant 80 ans. Marcher, piétiner, courir, s'arrêter, se lever, s'assoir, ralentir, accélérer... toutes cette vie si simple que l'on a connu sans se poser de question. Exit, la marche, exit l'indépendance, exit la vie, exit l'autonomie.
La suite.

Cet article qui nous rappelle que nous sommes tous mortels, exposés à la fragilité de la vie d'où la nécessité de prendre conscience du fait que notre vie dépend toujours de celle des autres, que nous le voulions ou non.
Il est donc nécessaire de rester solidaires, c'est tous ensembles que nous pouvons lutter contre les difficultés de la société. Et c'est bien parce que nous avons perdu cette notion que les difficultés nous rattrapent et nous envahissent.

Allez Voir cette vidéo puis celle-ci.
Toutes les violences sont à bannir.
Là-bas comme chez nous.