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24 janvier 2009

Tristesse, souvenir

Merveilleuse chanson de Simon et Garfunkel adaptée par Richard Anthony et Marie Laforêt en 1966.

"Autrefois, je ne savais pas
Qu'il est des mots qu'on n'entend pas
Mais un soir une ombre est venue
Qui m'a dit : "Écoute un peu plus
Une voix te parle en mots inconnus
Entends-tu
La voix du silence ?"

Je m'en suis allé promener
Les peupliers se sont penchés
Pour me raconter des histoires
Qu'ils étaient les seuls à savoir
Et le vent et la mer
Doucement me parlaient
J'entendais
La voix du silence

Et depuis j'ai vu des gens
Jetter des mots à tous vents
Et qui discouraient sans parler
Qui entendaient sans écouter
En proposant des chants
Que nulle voix n'a jamais repris
Et leurs cris
Couvrent la voix du silence

Les hommes ne voient plus les fleurs
Ils en ont pris des rides au coeur
Ils espèrent en faisant du bruit
Meubler le vide de leur vie
Et même au ton, sans un bruit
En gouttes de rosée étouffée,
Etouffée comme la voix du silence

Toi tu dors à mon côté
Et je n'ose pas parler
De peur que mes mots se confondent
Avec le bruit que fait le Monde
Mais je t'aime tant
Qu'un jour enfin tu comprendras
Tu m'entendras
Dire les mots du silence"



Il y a 6 mois, disparaissait ma soeur et tout d'un coup, me reviens une pensée persistante , nostalgique.
Je n'y peux rien et cette chanson, je lui dédie à chaque fois.
Elle est morte dans la nuit du vendredi  à samedi,
le 11 juillet 2008
Ma soeur est morte de la maladie du silence.

La République des Blogs, Anniversaire

Pour son anniversaire, la RDB s'est offert une virée toulousaine imprévue.
Rendez-vous donné au Bibent de Toulouse, un Bar-Restaurant de luxe, nous avons décidé d'un commun accord que l'endroit ne convenait pas à nos histoires de marins de haute mer.

Etaient présents par ordre d'apparition

L'auteure du Rocroco
L'auteur de l'Anarcho-Monarchiste
L'auteur de Vue de Droite
Philippe David qui a profité de son passage à Toulouse pour faire la promotion de son livre

"Journal intime d'une année de Rupture"
 .


Journal intime d'une année de rupture


Recommandé par des Influenceurs


Dante, lecteur de Hyarion


Et votre "servitrice", auteure de ce présent blog.


Nous avons donc hissé les voiles vers d'autres eaux plus profondes.

Arrivés devant un bar-Brasserie  "Le Père Léon", nous nous isntallâmes.

Mais le bon Père, soucieux du respect de sa "clientèle" sans doute, vint nous signifier la fermeture de son établissement dans les dix minutes suivant l'arrivée de Dante, lecteur de Hyarion.
Pauvre Dante ne pût se désaltérer.

Nous n'avions que juste le temps de finir nos verres et...dehors.

Nos conversations auraient-elles génées les personnes présentes?
Le responsable aurait-il été choqué de l'échange d'opinion sur le sujet brûlant l'actualité de la guerre isaëlo-palestinienne?

Conflit que nous ne pouvons pas résoudre.
Conflit généré par d'innombrables violences de part et d'autres, toutes justifiées en soi pour le chaque camps adverse.

Et si compliquée est la situation que la paix ne peut commencer que par désarmement total des belligérants et une éducation à la PAIX.

Une éducation dès le plus jeune âges alors que chez les israëliens comme chez les palestiniens, la violence de la guerre est servie dans le biberon.

Tu vengeras ton père, ta mère,tes frères et tes soeurs.
Au  nom de quelle religion?

Celles des armes et des bénéfices liés à cette activité, sans aucun doute.
C'est mon opinion sur le conflit.

Aurions-nous  donc été trop volubiles, trop blagueurs, trop indisrêts à déranger l'atmosphère pépère tranquille et rétrograde des lieux ?

Ma foi, Le Rocroco et moi avons eu cette idée saugrenue mais persistante que notre présence n'était pas bienvenue en ces lieux doublement étoilé.
Idée que nos compagnons de fortune ont partagé avec nous.

Hôtel-restaurant et pas refuges  UAT pour des électrons libres potaches et indépendants.
Nous n'étions pas à Radio-Bistrot et qu'on le sache!

Une fois le couperet tombé, nous nous remîmes en route à la recherche d'une auberge accueillante. un lieux de repos.

Pour que fantaisie s'exprime sans choque  nos hôtes.

Toutes voiles dehors, reluquant les devantures de boutiques, nous nous échouâmes là.

Là, c'est le Filochart.

Rien que le nom, nous amènes à cette effervescence de l'idée, en cela aidée par de bonnes bières dont elles seraient la spécialité.
Pour ma part, ce fut une boisson de "petite fille", ainsi demandais-je à l'aimable jeune homme le descriptif de breuvages "adaptés" à ma petite nature.

Rien que l'odeur de l'absinthe sous sa forme alcoolisée ne me convient guère at aurait plutôt pour effet, celui de provoquer en  moi, jets incoercibles et rejet mécaniques forts dommageables pour les chaussures de mes ami(e) de vadrouille.

Et je conclus sur un jus de poire !

Et nous passâmes une soirée de thérapie par le rire
Dans une atmosphère nous rappelant celle de nos vingt ans.

Une atmosphère très UAT...Radicalement radicale...
Si radicale qu'un jeune homme, un peu émoussé se permis de nous arroser de son verre en le posant d'une façon incompréhensiblement violente sur notre table, provocant ainsi un raz-de-marrée brun.

Une façon de nous baptiser sans doute et nous souhaiter la bienvenue dans ce monde
d'antifascistes radical...

Vive Toulouse By Night..
Une cure de jouvence sous forme en joyeuse compagnie.

Mais l'heure passant, se faisant tardive pouvait laisser la place à d'autres public dont nous ne faisions sans doute plus partie.

Ce fut l'heure du couvre-feu pour nous, carcasses plus annelées..

Et pour conclure



Georges Brassens - Les Copains d'abord
envoyé par Quarouble



Santiano de Hugues Aufray

C'est un fameux trois-mâts fin comme un oiseau.
Hisse et ho, Santiano !
Dix huit nœuds, quatre cent tonneaux :
Je suis fier d'y être matelot.

{Refrain:}
Tiens bon la vague tiens bon le vent.
Hisse et ho, Santiano !
Si Dieu veut toujours droit devant,
Nous irons jusqu'à San Francisco.

Je pars pour de longs mois en laissant Margot.
Hisse et ho, Santiano !
D'y penser j'avais le cœur gros
En doublant les feux de Saint-Malo.

{Refrain}

On prétend que là-bas l'argent coule à flots.
Hisse et ho, Santiano !
On trouve l'or au fond des ruisseaux.
J'en ramènerai plusieurs lingots.

{Refrain}

Un jour, je reviendrai chargé de cadeaux.
Hisse et ho, Santiano !
Au pays, j'irai voir Margot.
A son doigt, je passerai l'anneau.

Tiens bon la vague tiens bon le vent.
{Tiens bon le cap tiens bon le flot.}
Hisse et ho, Santiano !
Sur la mer qui fait le gros dos,
Nous irons jusqu'à San Francisco. 

23 janvier 2009

Quand la religion se fait complice du crime.

Le pape Benoît XVI a décidé de lever les excommunications prononcées contre quatre évêques consacrés il y a 20 ans par Mgr Marcel Lefebvre, le défunt archevêque français ultraconservateur. Une réhabilitation qui fait débat, l’un de ces évêques ayant nié l’existence des chambres à gaz dans un récent entretien télévisé.

Il y a du souci à se faire.
Comment un pape peut-il lever les sanctions contre des hommes qui continuent de nier l'existance des chambres à gaz et oser parler de religion à des millions de personnes persuadées de l'honorabilité de de ce chantre du"Vivre ensemble".
Voilà quelque chose qui me répugne, viscéralement.
De quoi devenir mécréant, agnostique ou bien changer carrément de religion..

Et ce n'est pas les prêtres qui se voient dans l'obligation de quitter les ordres pour raison de vie commune avec des femmes nécessaire à l'expression de leur foi, comme en ont témoigné 
Soeur Emmanuelle ou l'Abbé Pierre.


22 janvier 2009

La République des Blogs, Anniversaire au Bibent.

Tous au Bibent Place du Capitole à 18h30

Le Ferdillon étant en travaux, sa renaissance étant prévue pour mi-février, changement de gérant, le Ferdillon devient le Fairfield. La République des blogs fêtera sa première année d'existence place du Capitole pour marquer le coup.

Nous nous retrouverons tous devant le Bibent à partir de 18h30 !!!
Vous pouvez commencer à nous joindre au 06.68.01.42.68. Nous vous attendons nombreux.

21 janvier 2009

Les mots ont un sens, les chiffres aussi

Lisez plutôt ceci.
Notre santé à un sens pour l'industrie pharmaceutique et leurs actionnaires.
la sécurité sociale n'est plus qu'un vague souvenir de son concept originel.

Lire aussi l'article de La Lettre de Jaurès
Nous ne sommes que des pions que l'on manipule.
De la chair à canon d'une certaine façon.

20 janvier 2009

La précocité intellectuelle dérange

On peut accepter le handicap en se donnant bone conscience et en essayant de faire pour le mieux mais la précocité intellectuelle dérange.
De toute façon l'éducation nationale n'aime pas ce qui dérange ses certiitudes qu'elle assène allègrement, comme un bull-d'ozer, sans se remettre en cause le moins du monde.
Elle a raison.
Point final.
Et si vous ne vous soumettez pas, gare au vous, vous aurez droit aux contrôle des autorités, vous aurez droit à la mise au banc, vous serez moutons noirs à vie.

Mais des études ont été menées peu à peu sur les sujets qui dérangent..

A lire ci-dessous

Intellocide scolaire des enfants intellectuellement précoces !
Résumé : La maltraitance psychologique scolaire, le plus grand massacre silencieux d’enfants. 60% des enfants intellectuellement précoces sont en situation d’échec scolaire. Originaires de tous les milieux socioculturels, les études montrent que 47% souffrent de maltraitance psychologique scolaire, 24% de maltraitance physique scolaire, 25% déclenchent une pathologie suite à leur entrée à l’école et près de 60% font de l’inhibition intellectuelle. La pertinence de leurs réponses et la maturité avec laquelle ils peuvent débattre d’un sujet déstabilise. Il faut les faire taire ! Les maltraitances psychologiques causent de graves troubles de la croissance et du développement. Effets de l’inhibition ces enfants régressent, s’éteignent, arrêtent de penser… Ils meurent, se suicident intellectuellement... Leurs gesticulations sont autant d’appels au secours que beaucoup tentent d’étouffer car ils dérangent. Nous sommes en plein intellocide!

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Cécile, scolarisée à la maison, raconte "son" brevet.. 
Cécile répond à quelques questions sur le Brevet des Collèges qu'elle a passé en juin 2007. Elle n'avait pas mis les pieds dans un établissement scolaire depuis juin 2001 et sa dernière année de cours par correspondance remontait à la classe de 6ème.
Pourquoi j’ai passé le brevet ?
  • Même si ce n’est pas un examen important, avoir ce diplôme peut être utile (on a toujours besoin de papier brouillon !) ;
  • Ma sœur l’avait passé l’année précédente ; il me semblait donc normal que je le passe à mon tour ;
  • Le brevet est aussi une sorte de défi et, en ce qui me concerne, je trouve qu’il est plus agréable de travailler en ayant un objectif en tête plutôt que de ne compter que sur ma propre volonté ;
  • Passer le brevet permettait de révéler si oui ou non le travail effectué pendant l’année était payant car on a, en quelque sorte, validé mon niveau scolaire ;
  • Derrière toutes ces raisons se cache une autre motivation : j’avais tout simplement envie de le passer !
Qu’est-ce qui m’inquiétait avant d’y aller ?
  • Deux mois avant le brevet, lorsque j’ai commencé à travailler sur des annales, je ne finissais jamais dans les temps (en particulier en français, math et histoire-géo). J’avais peur de devoir rendre un travail inachevé lors des épreuves. Finalement, après deux mois d’entraînement, j’arrivais à gérer mon temps et les jours du brevet, j’ai toujours fini avant le temps imparti. C’était vraiment la seule chose qui m’inquiétait avant le brevet.
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19 janvier 2009

La difficulté de vivre des surdoués.

Psychologie - La dure vie des surdoués

Devenus adultes, les surdoués ne mènent pas forcément une existence enviable. Pour la première fois, une psychologue, Jeanne Siaud-Facchin, s’est penchée sur leur cas.

Sophie Coignard
La dure vie des surdoués
Igor (à g.) et Grichka Bogdanov © Sipa
Que deviennent, une fois adultes, les enfants surdoués ? Des adultes surdoués ? Là est la question. Les particularités des jeunes sujets dotés d’un QI élevé et d’un raisonnement différent de leurs semblables sont désormais un sujet acceptable socialement. Il a fallu du temps, mais les neurosciences, notamment l’imagerie médicale, montrent que le cerveau de ces enfants ne fonctionne pas selon le même mode que les autres. En revanche, jamais il n’est question de leur destin d’hommes et de femmes. Sont-ils toujours ces êtres à part, dotés d’une curiosité insatiable, d’un questionnement métaphysique obsédant, d’une hypersensibilité parfois invalidante, d’un mode de pensée arborescent qui fonctionne comme un turbo de l’intelligence ?

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18 janvier 2009

Passer son bac en candidat libre et devenir ministre: Jean-Louis Borloo

CV de stars
Jean Louis Borloo
Ancien chef scout, il a emmené une troupe vers le cercle polaire, dans des paysages d’une pureté absolue. Aujourd’hui, le ministre de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement durable et de l’Aménagement du territoire considère que le Grenelle de l’Environnement est une lame
de fond dans la société française.

Pour l’homme de loi devenu homme politique, oui, le Grenelle de l’Environnement a profondément modifié le comportement des Français. La preuve : grâce au succès du bonus-malus écologique appliqué aux voitures, le principe sera étendu à d’autres familles de produits. Plus ils sont écolos, moins ils sont chers. C’est le moteur
de la croissance : une société sobre en carbone est une société en développement. Élémentaire pour sauver la planète.
NAISSANCE, le 7 avril 1951, à Paris, dans le 15e arrondissement. Son père est employé d’une caisse de retraite. Le ministre a un frère et une sœur.
PREMIER SOUVENIR. À 3 ans, le premier jour de l’école, le gamin s’échappe. Il est midi, il dépasse la petite guitoune de la sortie sans avoir à se baisser, puis prend le bus. Deux stations plus tard, il est à la maison.
ÉTUDES. L’école l’ennuie. Peu doué, dit-il, il rencontre beaucoup de difficultés, au lycée Janson-de-Sailly. Il quitte le système scolaire et, avec un copain, à la campagne, prépare le bac, qu’il passe en candidat libre. Il tente hypokhâgne, puis s’inscrit en fac, à Nanterre (92). En 1972, il est licencié en droit et en philosophie, puis en histoire et en sciences économiques. À l’orée des années quatre-vingt, il devient avocat au barreau de Paris.
CHEF SCOUT. De 9 ans à 20 ans, il appartient aux scouts unitaires de France. Avec un copain, Marc Dugois, il emmène une troupe en Finlande vers le cercle polaire, parmi les microsociétés. Un des enfants se tord de douleur. Il l’installe sur un radeau confectionné avec des fûts métalliques et finit par trouver un médecin. Il emprunte une vieille R12 et roule à tombeau ouvert jusqu’à l’hôpital de Lahti. L’enfant est opéré et sauvé in extremis d’une péritonite.
AU VOLANT. Il obtient son permis de conduire un mois après ses 18 ans, tant son désir de rouler est fort. Et se souvient même de la date précise, le 3 mai 1969 !
VOYAGE. À 18 ans, il part seul à New York. Comme de nombreux étudiants américains, il rejoint la côte ouest en covoiturage. Il découvrira ensuite le Mexique et le Guatemala. Un périple de trois mois.
PREMIER JOB. Étudiant, il est pompiste dans une station-service de la rue La Boétie. Il est
aussi journaliste pigiste sur Europe 1. Plutôt du côté de la machine à café.
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Comme quoi, personne n'est obligé de passer par l'école pour obtenir le bac...

Un coup de gueule payant.

Enfin!
Cela ne changera rien à la décision de Fiston de ne plus retourner au lycée, mais la semaine dernièr, il  a été annoncée à la classe d'Unité Pédagogique d'Intrégration qu'ils pouvaient supprimer une matière, celle dans laquelle ils se sentaient le moins à l'aise.

Et ce, sans avoir à faire une seconde en deux ans comme l'équipe éducative s'est ingéniée à me l'expliquer et vouloir me le faire avaler.

La dispense d'option, nous l'avons sollicitée et obtenue dans le circuit ordinaire et sans aucune prolongation, alors pourquoi, tout d'un coup, cela deviendrait-il la norme ?

Chercher l'erreur.
Et sans doute est-ce la raison pour laquelle le médecin du centre moralise pour:
"Qu'une solution soit trouvée dans le cadre d'une scolarité adaptée. Le proviseur ayant déclaré qu'il souhaitait rencontrer Fiston pour un entretien contradictoire."

Sauf que l'entretien a déjà eu lieu lors de la première réunion de mise en place d'aménagements de scolarité.
Au cours de laquelle chacun a crié au scandale face aux aménagements demandés, notamment la suppression des cours de sciences économiques et sociales  imposés à toute la classe.

Et dans le but de nous faire comprendre que nous étions de mauvais élèves, monsieur le proviseur avait fait rétention de l'autorisation de cours par le CNED pendant un mois et demi, malgré l'intervention que j'ai demandé à la médiatrice.

Et monsieur le proviseur entendait bien nous taper sur les doigts, ce qu'il ne s'est pas privé de faire.
De plus ce bonhomme a honteusement affirmé qu'il pouvait signer ce papier sur notre demande (ce qui est un mensonge éhonté) au moins sur les cours d'histoire-geo. Pourtant, c'est bien moi qui suis à l'origine de l'idée et du mail au médiateur.
Puisque tout le monde était d'accord sur ce point particulier.

Restait une autre source de conflit, le fraçais que l'on nous refusait de prendre pas le CNED en entier alors que la proviseur-adjointe nous "mettait dans l'obligation de suivi par correspondance" pour rattrapper les deux heures supprinmées.

Toute cette hypocrisie me rend malade.
Heureusement, j'ai conservé les mails échangés.

Ce que je comprends est que tout est bon pour les autres mais pas pour Fiston.

Qu'il faut vraiment se fâcher pour faire prendre conscience du dysfonctionnement de leur classe d'UPI.
Qu'il y aurait encore quantité de choses à changer.
Et que Fiston ne veut plus subir la pression scolaire, ni la pression des suivis de scolarité.

Il n'a pas oublié la réflexion de la coordonnatrice entre le SESSAD et le lycée.
La fatigue, la fatigue?
Mais de quelle fatigue parle t'on?
Et d'abord, c'est quoi la fatigue?
Ce qu'elle a nié avoir dit lors de notre entretien privé.

Cette femme que j'ai rencontré pendant deux heures et demi.
A qui j'ai expliqué toutes les motivations de Fiston.
Qui n'a pas ouvert son bec lors de la seconde réunion, alors que mon gamin lui avait bien dit haut, clair et fort, que NOUS, ses parents représentions SA parole contre celle de ses adultes en qui il n'a pas la moindre confiance.
Ce que tout le monde peut comprenndre.

Et ça rien ni personne ne peut le faire changer d'avis.
Et puis quand je réalise le cinéma qui a été fait au cours des réunions pour la mise en place et le suivi du projet personnel de scolarisation, je me dis, que moins nous solliciterons d'aide, moins nous aurons à justifier la nécessité de ces aides.
L'objectif reste l'obtention du bac et non pas la classe de seconde  en trois ans

Cela reste un défi de taille.