De toute façon l'éducation nationale n'aime pas ce qui dérange ses certiitudes qu'elle assène allègrement, comme un bull-d'ozer, sans se remettre en cause le moins du monde.
Elle a raison.
Point final.
Et si vous ne vous soumettez pas, gare au vous, vous aurez droit aux contrôle des autorités, vous aurez droit à la mise au banc, vous serez moutons noirs à vie.
Mais des études ont été menées peu à peu sur les sujets qui dérangent..
A lire ci-dessous
Intellocide scolaire des enfants intellectuellement précoces !
Résumé : La maltraitance psychologique scolaire, le plus grand massacre silencieux d’enfants. 60% des enfants intellectuellement précoces sont en situation d’échec scolaire. Originaires de tous les milieux socioculturels, les études montrent que 47% souffrent de maltraitance psychologique scolaire, 24% de maltraitance physique scolaire, 25% déclenchent une pathologie suite à leur entrée à l’école et près de 60% font de l’inhibition intellectuelle. La pertinence de leurs réponses et la maturité avec laquelle ils peuvent débattre d’un sujet déstabilise. Il faut les faire taire ! Les maltraitances psychologiques causent de graves troubles de la croissance et du développement. Effets de l’inhibition ces enfants régressent, s’éteignent, arrêtent de penser… Ils meurent, se suicident intellectuellement... Leurs gesticulations sont autant d’appels au secours que beaucoup tentent d’étouffer car ils dérangent. Nous sommes en plein intellocide!
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Cécile, scolarisée à la maison, raconte "son" brevet..
Cécile répond à quelques questions sur le Brevet des Collèges qu'elle a passé en juin 2007. Elle n'avait pas mis les pieds dans un établissement scolaire depuis juin 2001 et sa dernière année de cours par correspondance remontait à la classe de 6ème.
Pourquoi j’ai passé le brevet ?
- Même si ce n’est pas un examen important, avoir ce diplôme peut être utile (on a toujours besoin de papier brouillon !) ;
- Ma sœur l’avait passé l’année précédente ; il me semblait donc normal que je le passe à mon tour ;
- Le brevet est aussi une sorte de défi et, en ce qui me concerne, je trouve qu’il est plus agréable de travailler en ayant un objectif en tête plutôt que de ne compter que sur ma propre volonté ;
- Passer le brevet permettait de révéler si oui ou non le travail effectué pendant l’année était payant car on a, en quelque sorte, validé mon niveau scolaire ;
- Derrière toutes ces raisons se cache une autre motivation : j’avais tout simplement envie de le passer !
- Deux mois avant le brevet, lorsque j’ai commencé à travailler sur des annales, je ne finissais jamais dans les temps (en particulier en français, math et histoire-géo). J’avais peur de devoir rendre un travail inachevé lors des épreuves. Finalement, après deux mois d’entraînement, j’arrivais à gérer mon temps et les jours du brevet, j’ai toujours fini avant le temps imparti. C’était vraiment la seule chose qui m’inquiétait avant le brevet.
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