On peut et l'on doit faire des économies à l'hôpital.
Article indiqué par l'auteur du Rocrocodile.
Voici mon propre commentaire.
88.Posté par Alluvions
Nous sommes largement dans ce qu'on appelle la "désinformation".
Non seulement les infirmières sont remplacées mais les médecins sont remplacés.
On ferme les lits parce qu'il n'y a plus de personnel et l'on s'arrange pour qu'il n'y ait plus de personnel suffisant pour assurer l'encadrement des lits.
C'est aussi simple que cela.
Mon fils a été opéré en région parisienne, dans un hôpital menacé de restructuration et les infirmières qui partent la retraite ne seront pas remplacées. Les postes de médecins sont programmés pour rester vacants dès que l'un d'entre eux part à la retraite.
Là où était mon fils, les infirmières avaient 2 étages de patients à gérer.
Sans compter tout le domaine administratif parce que les papiers à remplir qui sont nombreux, chez nous, leur prenait un temps fou pendant lequel il était impossible d'avoir une infirmière en cas d'urgence.
Ensuite, sur les faits divers d'erreurs médicales, d'infections nosocomiales plus ou moins graves, on fait courir le bruit que l'hôpital n'est plus sûr et qu'il faut le restructurer.
On nous ment de façon éhontée et les français gobent.
C'est seulement lorsqu'ils sont des soucis pour la santé d'un proche et qu'il vivent alors l'hospitalisation "pour de vrai" qu'ils arrivent à mettre un peu le doigt sur les dysfonctionnement de l'hôpital, non pas du fait du personnel sous pression constante mais du fait des réformes qui font tout le mal possible dans le domaine de la santé.
Peut-on m'expliquer l'administration à long terme, de produits côté en bourse ( style Lovenox) et les dérives liées à des "pandémies" imaginaires qui rapportent gros aux laboratoires?
Là, tout d'un coup, il n'y a plus de problèmes financiers liés à la santé.
ON s'en occupe si bien, n'est-ce pas?
Enfin, on s'occupe surtout de la santé des actionnaires de la santé.
Tant dans le domaine des laboratoires que dans le domaine de l'hôpital, suivi de près par tout un petit monde que nous ne soupçonnons pas.
On ne garde pas les personnes à l'hôpital, on les renvoie dès qu'elles ont repris conscience suite à une intervention.
On remplit les lits le plus rapidement.
L'être humain n'est devenu qu'un chiffre pour la plus grande joie des actionnaires qui se font soigner dans les meilleurs hôpitaux et qui ont suffisamment d'argent pour se payer les meilleurs soins et cela, sur le dos des citoyens français.
Quant aux politiques étrangères de santé, elles ne sont pas si bonnes que cela puisque l'on retrouve chez nous, ces mêmes étrangers qui viennent se faire soigner parce que, chez eux, la prise en charge de leur santé est tellement restreinte, qu'ils finissent par en mourir avant.
Une autre forme de nettoyage de population acceptable, sans doute.
C'est clair, on ne vous le dira pas.
Sous le prétexte fallacieux d'améliorer la qualité des soins, on nous sert de la" morphine médiatique", histoire d'endormir notre bon sens.
Voilà, ce qui se passe réellement dans les hôpitaux et les médecins, ceux qui ne cautionnent plus ce système, l'évoque régulièrement mais subissent par derrière, la pression.
On les change d'hôpitaux, on ferme leur service, on les maltraite en espérant les faire rentrer dans les rangs et marcher en ordre serré derrière les administrateurs financiers qui font la pluie et le beau temps à l'hôpital...
Tout ce que j'écris est vécu, entendu par des médecins et des personnels profondément impliqué dans la qualité de soins à l'hôpital et il y en a mais pas là où l'on pense les trouver...
Non seulement les infirmières sont remplacées mais les médecins sont remplacés.
On ferme les lits parce qu'il n'y a plus de personnel et l'on s'arrange pour qu'il n'y ait plus de personnel suffisant pour assurer l'encadrement des lits.
C'est aussi simple que cela.
Mon fils a été opéré en région parisienne, dans un hôpital menacé de restructuration et les infirmières qui partent la retraite ne seront pas remplacées. Les postes de médecins sont programmés pour rester vacants dès que l'un d'entre eux part à la retraite.
Là où était mon fils, les infirmières avaient 2 étages de patients à gérer.
Sans compter tout le domaine administratif parce que les papiers à remplir qui sont nombreux, chez nous, leur prenait un temps fou pendant lequel il était impossible d'avoir une infirmière en cas d'urgence.
Ensuite, sur les faits divers d'erreurs médicales, d'infections nosocomiales plus ou moins graves, on fait courir le bruit que l'hôpital n'est plus sûr et qu'il faut le restructurer.
On nous ment de façon éhontée et les français gobent.
C'est seulement lorsqu'ils sont des soucis pour la santé d'un proche et qu'il vivent alors l'hospitalisation "pour de vrai" qu'ils arrivent à mettre un peu le doigt sur les dysfonctionnement de l'hôpital, non pas du fait du personnel sous pression constante mais du fait des réformes qui font tout le mal possible dans le domaine de la santé.
Peut-on m'expliquer l'administration à long terme, de produits côté en bourse ( style Lovenox) et les dérives liées à des "pandémies" imaginaires qui rapportent gros aux laboratoires?
Là, tout d'un coup, il n'y a plus de problèmes financiers liés à la santé.
ON s'en occupe si bien, n'est-ce pas?
Enfin, on s'occupe surtout de la santé des actionnaires de la santé.
Tant dans le domaine des laboratoires que dans le domaine de l'hôpital, suivi de près par tout un petit monde que nous ne soupçonnons pas.
On ne garde pas les personnes à l'hôpital, on les renvoie dès qu'elles ont repris conscience suite à une intervention.
On remplit les lits le plus rapidement.
L'être humain n'est devenu qu'un chiffre pour la plus grande joie des actionnaires qui se font soigner dans les meilleurs hôpitaux et qui ont suffisamment d'argent pour se payer les meilleurs soins et cela, sur le dos des citoyens français.
Quant aux politiques étrangères de santé, elles ne sont pas si bonnes que cela puisque l'on retrouve chez nous, ces mêmes étrangers qui viennent se faire soigner parce que, chez eux, la prise en charge de leur santé est tellement restreinte, qu'ils finissent par en mourir avant.
Une autre forme de nettoyage de population acceptable, sans doute.
C'est clair, on ne vous le dira pas.
Sous le prétexte fallacieux d'améliorer la qualité des soins, on nous sert de la" morphine médiatique", histoire d'endormir notre bon sens.
Voilà, ce qui se passe réellement dans les hôpitaux et les médecins, ceux qui ne cautionnent plus ce système, l'évoque régulièrement mais subissent par derrière, la pression.
On les change d'hôpitaux, on ferme leur service, on les maltraite en espérant les faire rentrer dans les rangs et marcher en ordre serré derrière les administrateurs financiers qui font la pluie et le beau temps à l'hôpital...
Tout ce que j'écris est vécu, entendu par des médecins et des personnels profondément impliqué dans la qualité de soins à l'hôpital et il y en a mais pas là où l'on pense les trouver...
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