Véronique Roelandts a pris l’habitude, dès son adolescence, d’exprimer ses sentiments sous forme d’écrits.
Elle est devenue, à 40 ans, une enseignante très engagée* dans la prévention du mal être par la remise à jour de valeurs humaines essentielles.
Persuadée qu'il est important de stimuler la créativité de ses élèves, elle a remporté, ces dernières années, de nombreux prix.
Face à la tristesse, au sentiment d’injustice et de révolte qui surgit en elle lors du décès de la maman d’une de ses jeunes élèves et au souvenir de sa propre adolescence, elle a éprouvé le besoin pressant de rédiger ces lettres pour ses enfants.
Après avoir fait illustrer son texte, elle a eu envie de le publier pour le partager, ce qu’elle aurait fait volontiers anonymement sous le pseudonyme de ”Skalyne”, mais elle s’est vite rendu compte de la nécessité de s’impliquer personnellement pour donner à son livre une chance d'exister.
Elle a cependant gardé ce pseudonyme, auquel elle s’identifie si bien, puisqu’il unit en un seul mot la spontanéité, la force de réaction (ska) à l’expression de l’amour par la tendresse
(câline).
source.
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