Juste avant les vacances, j'ai eu droit à l'appel de la personne qui s'occupe de notre fils au siège de la
Défenseure des Enfants.
Je lui ai raconté notre histoire.
Mais le problème est que nous demandons le contraire de ce que les parents d'enfants en situation de handicap demandent généralement.
A savoir l'inscription effective et durable dans un établissement ordinaire, selon la loi de 2005 qui est une loi à double tranchant.
Arguant de cette loi, Monsieur le proviseur peut effectivement ne pas désincrire notre fils car il pourrait se le voir reprocher..
Mais la loi de 2005, dit aussi que l'accord des parents est prioritaire..
Nous avions déjà échangé, en 2005 sur la façon dont Fiston était traité par l'éducation nationale en Midi-Pyrénées, avec cette même personne qui sait que la scolarité de Fiston s'est révélée être vraiment douloureuse depuis longtemps et que les cours par correspondance sont devenus l'unique façon pour lui de faire des études..
Il trop dégoûté...
Bizarrement, d'ailleurs l'une des secrétaires du Cned m'a dit qu'une très grande majorité d'élèves inscrits venaient de notre Région.
Ce n'est pourtant pas la plus peuplée de France...
Il me semble donc qu'au niveau scolaire, il y ait quelques soucis qui viennent à l'appui de notre expérience.
Il semblerait également que les langues se délient par rapport à ce proviseur...
Ici et là, il seraient rapportées des histoires prouvant bien que l'Education proprement dite ne soit pas au coeur du Lycée, quoi qu'en dise Monsieur le proviseur..
Ah mais c'est vrai, j'oubliais, il es du style à porter la Rollex, avec toutes ses bagues aux doigts.. Ce qui, pour un proviseur est très intéressant à noter...
J'ai fait parvenir, hier, une autre demande concernant ce certificat de radiation que je finirai par obtenir d'une façon ou d'une autre, avec copie à l'inspecteur d'académie et au directeur du centre spécialisé, puis à la MDPH, enfin aux deux associations de parents d'élèves représentées dans ce lycée...
L'un des délégués m'a proposé son intervention sur le champ.
Et je me propose, je ne sais pas encore si je le ferai, un témoignage dans la presse.
Ma voisine m'a assurée pouvoir me fournir le nom d'une journaliste pouvant écrie l'article.
Surtout pour informer les familles de ce qui les attends dans ce lieu de prédilection.
Qu'elles soient informées..
Et qu'elles puissent choisir en connaissance de cause.
Car nous sommes tous différents les uns des autres.
Et aucun choix n'est condamnable.
Ce qui l'est en revanche c'est la "mésinformation" de ce que l'on peut trouver sur place et ce qui nous a desservi...
Nous approchons du but, j'en suis sure.
Et c'est tout à fait sereinement que nous attendons la suite...