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05 mars 2009

Merci à tous mes compagnons de blogs.

Aujourd'hui, je tiens à remercier mes compagnes et compagnons de blogs...

Cela fait plusieurs mois que j'expose mes batailles aux regards des lecteurs, que je raconte nos "aventures" liées au handicap de Fiston et à ses capacités intellectuelles hors normes...


Et je veux remercier tout particulièrement M. pour l'initiative du blog, je n'y aurais jamais pensé.

J'ai tout découvert en même temps, le maniement de l'ordinateur, internet et la rédaction du blog.

Je suis donc arrivée par hasard sur le blog de Fanette, il y a un peu plus de deux ans.
Son écriture enjouée me plaisait, avec ses passions, avec son côté emporté parfois, mais surtout, ce côté humain, en filigrane.

Quelque chose de profond, une façon de parler de la vie, une façon de sérieuse d'aborder les sujet qui dénotait une recherche importante, de la motivation aussi et puis une vision de la vie originale.

Un côté baroudeur du Net.

Transformée en Rocrocodile bien mâture pour continuer sur son propre chemin.
Et je lui ai laissé un commentaire qui me mettait au défi de rédiger l'histoire de Fiston.

Et puis de Fil en Aiguille,

"Je t'ouvres un blog et tu vas t'y mettre.."
Quelle panique, moi qui ne connaisait presque rien à l'ordinateur.

Et puis, oui, un défi à relever, mon côté baroudeur également et puis aussi, une folle encie de me servir de cet outil formidable que peut-être internet pour témoigner.

Et je m'y suis mise... Est apparu Nicolas.
Nicolas qui m'a guidée, discrêtement, laissant parfois des commentaires un peu abrupts mais
bienvenus qui m'ont permis de faire des corrections bienvenues pour rendre mes pages plus lisibles.

Je lui sais beaucoup plus de délicatesses qu'il ne veut bien en montrer.

Nicolas, que je crois parfois absent de la lecture de mon blogs surgit l'improviste pour ici ou là.
Et me remet sur les rails.
 

Je suis aussi une part de son oeuvre.
Je le remercie donc du fond du coeur.

Et puis j'ai été amenée à rencontré en chair et en os, mon crapaud préféré...
Gentil jeune homme à qui je souhaite le meilleur.

Et puis sont apparues d'autres lecteurs tels que Zoridae, Balmeyer, Maxie, MichBellGeek qui fête son anniversaire aujourd'hui et à qui je renouvelle tous mes bons veux les plus amicaux.

Et puis  dans le désordre Steph et Mimile, Flopy, Menfin, Mes Miams à Moi, Mathieu, Gaël, Didier Goux, Boby, Daydreamer, OH 91, Philippe David, Jean-Jacques, Flèche, Manuel, FERV100ce, Bisanne, Vagabonde, Hypos
et toutes les Femmes Engagées.


Et je sens que je vais en oublier, mamamia..


comm and come


Ce que je voudrais dire, c'est que toutes ces actions, je les ai menées parce que je me suis sentie soutenue et ce n'est pas moi toute seule qui ai réussi mais NOUS

Un "nous" collectifs fait de tous vos soutiens pour aller vers la dénonciation de tous ces abus envers le handicap et ce dans beaucoup de domaines.

La poltique actuelle n'est toujours pas à la hauteur et je ne sais pas si Monsieur Monatgné va changer grand-chose.

Car il existe déjà un
Conseil National du Handicap et la Halde et malgré les lois, si les finances et la volonté politique n'y sont pas, alors Monsieur Montagner gagnera un titre de gloire en plus et de mon estime en moins.

J'ai des raisons personnelles pour le penser.

Mais voilà..
Faire semblant pour calmer le peuple et aller tous azimuts.

Et puis tiens un truc rigolo:

Il paraîtrait que ce ceux qui travaillent le plus ne sont pas les plus performants entendu sur Europe 1 ce matin..
On préconise la paresse pour garder plus longtemps ses facultés intellectuelles en éveil.

Travailler trop nuit à la santé
Lire comme suit:

Une étude de l’institut finlandais de santé au travail d’Helsinki montre qu’une durée de travail supérieure à 55 heures par semaine affecte les performances intellectuelles des quinquagénaires. L’équipe a étudié la relation entre un temps de travail hebdomadaire élevé et les capacités cognitives autour de 50 ans chez plus de 2.000 salariés britanniques.
«Une durée de travail excessive pourrait être un facteur de risque jouant un rôle négatif sur la fonction cognitive», conclut l’Institut national de recherche et de sécurité (INRS).
«Long Working Hours and Cognitive Function», Marianna Virtanen et al. American Journal of Epidemiology, volume 169, n°5, p.596-605 (1er mars 2009)
Lisez l’article de Sabine Casalonga paru dans le JDLE le 27.02.09


Ce qui m'a fait rire..
Certains devraient en prendre de la graine.
Suivez mon regard..

Ils en font vraiment trop..

Mais peut-être pas assez là...